• gif etoiles scintillantes dorees Héléna Noguerra "Jamais je ne t'ai dit..." gif etoiles scintillantes dorees


    Jamais je ne t'ai dit que je t'aimerai toujours, ô mon amour
    Jamais tu ne m'as promis de m'adorer toute la vie
    Jamais nous n'avons échangé de tels serments me connaissant, te connaissant
    Jamais nous n'aurions cru être à jamais prises par l'amour
    Nous qui étions si inconstantes, pourtant
    Pourtant, tout doucement, sans qu'entre nous, rien ne soit dit, petit à petit
    Les sentiments se sont glissés entre nos corps qui se plaisaient à se mêler
    Et puis les mots d'amour sont venus sur nos lèvres nues, petit à petit
    Des tas de mots d'amours se sont mêlés tout doucement à nos baisers
    Combien de mots d'amour

    Jamais je n'aurais cru que tu me plairais toujours ô mon amour
    Jamais nous n'aurions pensé pouvoir vivre ensemble sans nous lasser
    Nous réveiller tous les matins si surprises de nous trouver si bien dans le même lit
    Et ne désirer rien de plus que ce si quotidien plaisir d'être ensemble aussi bien
    Pourtant, pourtant, tout doucement, sans qu'entre nous, rien ne soit dit, petit à petit
    Nos sentiments nous ont liées bien malgré nous, sans y penser, à tous jamais
    Des sentiments plus forts et plus violents que tous les mots d'amour connus et inconnus
    Des sentiments si fous et si violents, des sentiments auxquels avant nous n'aurions jamais cru

    Jamais, ne dis jamais que tu m'aimeras toujours, ô mon amour
    Jamais, ne me promets de m'adorer toute la vie
    N'échangeons surtout pas de tels serments me connaissant, te connaissant
    Gardons le sentiment que notre amour au jour le jour
    Que notre amour est un amour sans lendemain

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    Mon amour, c'est tes yeux
    Quand je ferme les miens
    C'est ce corps tout petit, tout recroqueville
    Qui se blottit contre le mien
    Et vient chercher ce que j'ai peur
    De ne pas savoir lui donner
    Un souffle, un apaisement profond
    Des larmes, un cœur ouvert, pour un cœur blessé
    L'hiver, l'été, tous les jours que Dieu fait
    Qui vient chercher force et tendresse
    Un trop plein d'amour, un chemin où aller
    Une envie à suivre, des émotions à vivre
    Un tout donner et tout vivre
    Un nid de soleil, pour mettre à l'abri sa vie
    Oui, tout ce que j'ai si peur
    De ne pas savoir lui donner
    Tout ce que j'ai peur de pas savoir mériter
    La confiance, le respect, la force
    Pourtant le destin nous a réunies
    Unies, à cœur et à cris
    À peurs et à larmes

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    Je voudrais des bras immenses
    Pour faire 10 fois le tour de ton corps
    Et l'envelopper tout entier
    Que rien ne l'atteigne, le protéger
    Et combattre alors ses ennemis
    En le gardant là, bien à l'abri de moi
    Dans la force que je ressens pour lui...

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  • Nous rêvions d'un bain de minuit, sous la lune, avec juste une petite brise de nuit qui se lève. Je te tiens par la main, on avance les pieds dans l'eau. Tu as chaud. Je prends ta deuxième main et me mets face à toi. Le vent soulève tes cheveux et ramène les miens vers l'avant, tout en pagaille. Ça te fait sourire, on se regarde avec tendresse.
    Sans lâcher tes mains, j'entoure ta taille et t'embrasse en te serrant très fort, face à cette mer sans vagues, avec la lune et les étoile au-dessus et le sable qui fait comme des étincelles quand le foule de nos pieds.
    Je lâche enfin tes mains pour glisser les miennes sous ta nuisette, pour venir toucher la rondeur et la douceur de tes fesses. Ça m'émeut énormément. Je te déshabille avec toujours cette envie de te serrer aussi fort que tu m'as manqué, te serrer nue, là, contre moi. Tes mains imitent les miennes, passent sous ma nuisette, la relèvent, caressent mon dos, puis la retirent et la jettent au loin, sur le sable, afin qu'elle rejoigne la tienne.

    On s'embrasse encore. Je te reprends la main. On avance un peu plus vers l'eau. On y entre doucement, elle est douce. Je viens me glisser derrière toi, mets une main sur ton sein. Tu colles ton dos contre ma poitrine, bascule ta tête en arrière et m'offres ton cou, tes joues et tes lèvres que je caresse et embrasse très tendrement. Je t'effleure à peine, comme si j'avais peur de casser, d'abîmer, de déchirer. Ma main serre un peu plus fort ton sein, par moments. Ma joue vient contre la tienne. Mes lèvres glissent dans ton cou. Tu remontes légèrement ta tête sur mon épaule pour venir au plus près de mon cou.
    On ne ressent plus que le glissement de l'eau sur nos peaux, sa douce caresse. Je me mets face à toi, mes deux mains sur tes joues. Je t'embrasse toujours, appuie un peu sur tes épaules pour t'inviter à t'assoir dans l'eau. Je m'assois alors sur tes jambes, les bras autour de toi.
    L'eau nous disparaît, elle est comme notre bulle, elle la remplace, elle nous isole, elle nous inonde. Elle laisse deviner mais ne montre rien. Elle n'enlève rien aux sensations.
    J'ai envie du creux de tes reins. J'y pose mes doigts et te sens te cambrer, respirer à fond. Je suis toute en émotion, j'aime tellement lorsque tu t'offres ainsi.

    J'ai à nouveau envie de venir m'assoir derrière toi, comme si nous étions dans un bain. Ma bouche adore embrasser ton cou. Je te serre de mes épaules, de mes bras.
    Je laisse monter l'émotion, je laisse faire l'amour. Cet amour qui sait si bien tout bien faire, me guider, te guider. L'amour qui prend tout nos corps, nos esprits, nos pensées. Il devient notre don, notre offrande l'une à l'autre. Il laisse venir s'installer la magie. Il est juste là, doux, caressant. Il nous emporte, il ferme nos yeux, il fait battre nos cœurs, il fait frémir nos peaux, il fait gonfler nos poitrines, il fait palpiter nos sexes.
    Il pose ma main sur ton sexe et me serre fort, contre toi. Il me fait vire en toi, te fait vivre en moi. Il est tout ce qu'il y a de plus beau. Il sait tout ce qu'il faut faire, alors je le laisse faire...

    Mon doigt écarte déjà tes petites lèvres. Malgré l'eau, je sens l'humidité et la chaleur, même si ce ne sont pas les mêmes. Il entre doucement, il est bien dans son enveloppe d'eau, dans son grand bain d'amour tout chaud. Lui veut tout pour toi et moi, j'aime tellement qu'il soit en toi, qu'il te sente réagir de l'intérieur, qu'il sente que tu aimes. J'aime sentir que tu m'aimes. J'aime te faire l'amour ainsi.
    Mon doigt a envie de te donner du plaisir tout de suite. Il caresse alors directement le bon endroit et te sent réagir fortement. Tes deux mains enserrent ma nuque et agrippent mes cheveux. Tu es belle à en pleurer...
    Je sens que tu n'es pas loin d'exploser. Mon sexe commence à onduler avec le tien, ils sont collés l'un à l'autre. Un deuxième doigt entre en toi, parce que j'ai ce besoin d'être en toi, de sentir que je peux être en toi, te faire vibrer, réagir, aimer, donner, tout donner. L'amour les guide, je le laisse faire. Il appuie légèrement juste à l'endroit que tu aimes. Je sens ton sexe qui se crispe, tes bras qui se tendent, tes mains qui empoignent mes cheveux. J'aime vivre ce moment-là, ce moment avec une intensité féroce et sauvage.
    Je te serre plus fort encore. On va partir ensemble, fusionner, n'être plus qu'une seule, toi et moi. Fusion des corps, des esprits, des plaisirs...

    Je te veux en moi. Je me veux en toi. J'ai besoin de toi. Nos corps se relâchent, se laissent porter par l'eau, soufflent, sereins, tièdes, doux. Je suis si bien. Nous n'avons pas froid, nous sommes juste bien. Je me relève et t'emmène t'allonger un peu plus loin, sur le sable. Tu sais comme j'ai besoin de ce moment de réconfort qui m'est si précieux.
    J'ai pour toi un amour immense, des pensées permanentes, des envies, une imagination débordante, une force irrésistible. Je veux tout pour toi. Je veux que tu sois tout et plus jamais rien. Je te veux grandir. Je te veux fière, belle et droite. Si un jour j'arrive à cela, je ne serai plus moi, je serai plus moi...
    Je t'aime.

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    Tu as changé moi, toi
    Tu me découvres à moi-même
    Et j'aime ces découvertes
    Cet amour pour toi qui me sublime
    Ces envies possessives et tendrement sauvages
    De ton corps avec qui je suis bien
    Ces envies d'être auprès de toi
    Chaque heure et chaque instant
    Ces envies m'éloignent
    De ce que je ne veux plus être
    Avec toi, je me sens plus forte, plus confiante
    Et je me sens grandir
    N'aie pas peur de mes envies
    Même pas de celles que j'ai gardées pour moi
    Parce que je t'aime
    Et que jamais...

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  • ... Malgré son envie, elle fut surprise par ma brutalité. Mais elle n'avait pas peur, elle n'avait jamais peur de moi. Je le savais car, loin de me résister, elle s'abandonnait, comme soulagée que je cède à mes pulsions et... à ses envies.
    J'optai soudain de lier ses poignets au-dessus de sa tête avec un bout de rien. C'était la première fois que je faisais cela. Je tremblai intérieurement et l'observai du coin de l'œil, car après l'acte vint le doute... Ma crainte, encore ma peur de mal faire, de faire mal. Je guettai une sonnette d'alarme mais tout son corps et son être montraient un tel plaisir, un tel soulagement, que je décidai de continuer à avancer.
    Son corps s'était cambré, tendu comme un arc prêt à lâcher sa flèche. J'épousai de mon corps cette merveilleuse cambrure, posant ma tête sur sa poitrine offerte... Je sentais bouillir et vibrer cette plage torride que je caressai de tout mon corps...

    Etendue ainsi sur elle, je laissai monter la vague de bonheur et de désir qui me gagnait, semblant venir de son corps... Mes doigts voulurent la caresser mais son corps appelait mes griffes, mes dents, ma folie, mes emportements.
    Mes mains se firent serres et, doucement, emportèrent son cœur. Elles arpentaient doucement son corps, volaient sur ses moindres courbes... Il se vrillait, se tordait sous mes doigts sorciers. Mon sexe s'était mis à aimer le sien et tous deux, complices en leurs délices, étaient partis dans une danse magnifique et excitante. La vie était en eux et ils voulaient plaisir et jouissance...
    C'est pour cela que je décidai de me délier d'elle... Mon retrait la prit de cours et je vis à nouveau son regard implorant auquel je résolus, cette fois, de ne pas céder... J'avais envie de jouer avec ses envies et de le lui faire comprendre, d'un regard impératif qui disait : « pas maintenant ». Comme pour mieux lui montrer qu'elle devait l'accepter, je me levai et me mis à la regarder. Comme elle était belle ainsi offerte...

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  • Nicole Croisille "Je ne suis que de l'amour"


    A cette autre femme qui sommeille en toi, cette autre elle que j'ai l'impression de connaître, de reconnaître et d'aimer davantage.
    A cette autre femme belle, fière, heureuse et amoureuse que je découvre un peu plus chaque jour, que je retrouve.

    Celle qui sommeille en toi et se réveille parfois
    Celle qui est forte et fragile à la fois
    Celle qui dirige, oblige et obéit
    Celle qui permet et se soumet

    A toi qui ne sait pas aimer autrement que dans l'extrême, qu'avec des chaînes autour du cœur, pour masquer tes peurs et dissimuler tes douleurs.
    A toi qui ne sait pas aimer sans faire don de ton corps et de ton âme, un don absolu pour un partage infini, une confiance inégalée.
    A toi qui ne sait pas aimer sans être attachée, aliénée, dévouée.

    Ta soumission c'est ta rébellion.
    C'est dans l'humilité que tu retrouves ta liberté, dans l'abandon que tu retrouves ta condition.
    C'est dans l'obéissance et l'appartenance que tu es véritablement toi-même, que tu revis, que tu désires, que tu es envies et plaisirs.

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  • ... Je sens ton sexe se soulever pour venir encore plus près de moi. C'est fusionnel, une rencontre où l'on va se chercher, où l'on s'emmène, où l'on se garde, où l'on s'appelle, où l'on se retient. Plus qu'un échange, plus qu'un partage, c'est une fusion. On ne sait plus... tes cuisses veulent me garder, elles se serrent sur ma tête. Tes mains veulent me garder, elles agrippent mes cheveux.
    Mon petit bout de langue, lui, fait son chemin. Il est entré en toi, tout doucement et te parcourt. Il t'aime. Tout cet amour qui coule en moi, tout le fruit de ton amour. Ca me rend ivre "l'alcool de l'amour". Ma langue cherche partout. Elle sent tout ce qui réagit. Plus elle est là, plus tu as envie de serrer, de me garder en toi. Plus tu serres, plus j'ai envie que tu serres. Plus tu bouges, plus j'ai envie que tu bouges. Tes reins se cambrent. Je sens mon corps onduler en même temps que le tien. On corps va exploser. Je sens que dans le mien c'est pareil, qu'on va exploser en même temps. j'ai envie que ma langue fasse ça...
    Je sens que mes mains serrent tes fesses. Je m'accroche à toi. Je n'ai pas envie que tu me lâches, que tu desserres ton étau. Je t'ai trouvée dans ma bulle. Je te vois, tu souris, tu fermes les yeux, tu as l'air bien. Tu attends toi aussi qu'on explose ensemble en une grande libération. Je sais qu'on va jouir ensemble...

    On s'écroule. On est tellement bien. Moi, j'ai besoin de remonter après cela, que tu me serres, d'une main sur ma nuque, de l'autre caressant mes cheveux. J'ai besoin que ça sorte. Trop d'émotions pour moi que tout cela. Juste envie de dire merci, mille "merci", mille "je t'aime".
    Là, mes larmes se calment, les tiennes ont coulé un peu aussi. Je ne veux plus bouger, la tête sur ton épaule, ta main sur moi, l'autre dans mes cheveux. Je ne veux pas bouger, pas casser le fragile vertige qui s'installe autour de nous, les images du film qui repasse en boucle dans ma tête, le vertige qui fait tout tourner, à deux.
    Quand le vertige sera éteint, je serai tellement apaisée que je vais dormir un peu. C'est un grand moment de calme, de détente, de relâchement total. On ne bouge plus pour ne rien casser.
    J'ai juste glissé une main sur ton sein. Je suis bien dans ta chaleur, bien dans ton corps, bien près de toi. Je pose l'autre main sur ton sexe pour en sentir les dernières vibrations, la chaleur, l'humidité.

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    Tu as la force et l'aplomb d'une féline un peu chasseuse, d'une féline qui ferait tout, qui donnerait tout, jusqu'à son dernier souffle, pour protéger, préserver, ce qu'elle est et ce qu'elle aime.

    Tu as la douceur, l'indépendance et ce besoin de caresses et de retour d'amour d'un chaton un peu perdu dans le monde des hommes, d'un chaton sauvage et indécis, qui s'attache comme il se délie.

    Tu es ce mélange de hargne et de tendresse, cette envie de posséder mais d'appartenir, ce désir de défier mais celui d'obéir.

    Tu es cette envie de donner tout ton être, pour ton plus grand plaisir, cette envie de dépendre et de te rendre quand c'est pourtant tout ton corps qui veut prendre et maîtriser.

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  • Ce soir, j'ai juste envie de rester allongée près de toi, de me faire cajoler. J'ai juste envie de gestes qui remettent tout mon cœur en ordre, qui l'apaisent, parce qu'il est sans cesse en mouvement et, qu'avec toi, j'ai l'impression de me reposer.
    Je l'entends me dire plein de mots gentils et moi je pourrais rester comme ça des heures entières, juste à me laisser caresser les cheveux. Ca me fait du bien, je souffle, je suis bien dans tes bras, tout contre toi, tout le long du corps allongé, du bout du pied jusqu'en haut. Nos deux respirations deviennent très calmes. On ne dit rien. J'ai envie de t'embrasser. Je t'embrasse tout doucement. J'aime tellement quand juste le bout de nos langues se touche. Ca me fait frissonner de partout, j'adore. C'est tout électrique.
    J'ai envie de venir sur toi, de te recouvrir de tout mon corps. Plus rien ne peut te toucher.Je deviens ton seul vêtement. Je sens tes mains sur mon dos. J'ai juste envie de tes mains sur moi, de tes caresses, celles qui me mettent la fièvre dans tout le corps. Tes caresses avec tes deux mains, je ne peux pas les quitter. Elles me prennent. Elles m'enferment. Prisonnière de tes caresses. Sur les fesses, le creux des reins. Tu remontes jusqu'à ce petit point sensible que tu connais si bien. Tu sais en jouer de façon terrible. Tu appuies légèrement dessus et... Rien que d'arriver à proximité, ça... Tes mains sont si douces lorsqu'elles remontent et arrivent au niveau de la nuque. Ca me fait tellement d'effet que je voudrais que ça ne s'arrête jamais. Ca devient tellement fort que je voudrais que ça s'arrête.

    Le corps explose. Il a besoin de reprendre son souffle. Il faut qu'il y ait une rupture de contact. C'est très très bon. La nuque, de chaque côté des épaules, le long de la colonne. Tu fais ça... Tu es un ange de douceur, toi. Ces caresses-là sont magiques. Tous mes muscles se serrent, deviennent chauds, bouillants. C'est hyper sensuel et ça me fait beaucoup de bien. J'en ai les larmes aux yeux, des petits cris que je ne contrôle pas. Et, comme en plus je suis dans ma bulle, je ne cherche pas à en sortir. Quelques fois, je te cherche dans cette bulle. Tu y es ou tu n'y es pas. J'aimerais tant t'y faire revenir encore...J'ai envie de t'embrasser à en pleurer tellement c'est fort. J'aime quand ça me touche à ce point-là, quand je suis dans cet état émotionnel-là.
    J'aime quand tu inclines un peu la tête sur le côté pour offrir ton cou à mes baisers. Ce geste qui veut dire "viens", qui invite les lèvres, les doigts...
    J'adore poser mon front contre ton front. Et, en même temps, poser mes mains sur tes joues, prendre ta tête entre mes mains, et, là, t'embrasser. J'ai tout le temps cette envie.
    Je me mets sur le côté. J'ai envie de te caresser, toi, maintenant. Tout caresser de toi. Tout. De prendre tes seins dans mes mains, dans ma bouche. De les recouvrir de mes mains. De les caresser partout avec le bout du bout de mes doigts. Puis, de mettre ma tête dans ta gorge. Toi, tu ramènes tes bras autour de moi...

    J'ai juste envie, maintenant, de descendre un peu, d'envoyer mes mains partout. Mes doigts montent et descendent sur tes hanches. Mes doigts qui aiment les formes arrondies des femmes. Au creux de tes hanches, je pose mon bras qui en épouse toutes les formes. J'aime caresser ton ventre de mes joues. Je trouve cela très sensuel, très câlin, très amoureux.
    J'arrive plus bas...
    Par moments, je me retiens alors que j'ai envie de tout empoigner, de tout sentir, de prendre tes seins à pleines mains, de laisser ma tête partir en arrière et ma respiration s'accélérer.
    Envie aussi de poser ma main sur ton sexe et d'appuyer un peu. D'y poser ma tête et de sentir, de tout prendre uniquement parce que tu me l'offres, parce que tu le veux, parce que tu aimes, parce que tu m'aimes.
    Envie de sentir tes cuisses qui s'ouvrent, qui veulent m'accueillir, qui me disent "viens", de sentir ta main qui pousse ma tête pour dire "prends-moi", tes mains qui ne bougent pas pour dire "reste-là", qui veulent me garder. C'est rassurant, fusionnel, très fusionnel. On veut ce que veut l'autre...

     

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    ... C'est alors que je lus dans ses yeux quelque chose que je n'avais encore jamais lu. Une incitation, comme une supplique à aller plus loin, encore un regard qui disait : « lâche-toi, lâche la bride à la Tigresse... » Un corps qui se raidissait, qui semblait hurler la même chose... Je ne savais que faire... prise entre la peur d'aller trop loin et l'envie de tout lâcher... pour elle, pour moi.
    Je scrutais son regard, tentant d'y puiser la force qu'elle me demandait... Mes pulsions possessives étaient puissantes, mes envies comme irrésistibles et pourtant j'avais peur... si peur...
    Elle dut le comprendre car je lus alors comme une détresse dans ses yeux, une détresse qui me criait : « non, n'aies pas peur, tu sais bien que si ça ne va pas je t'arrêterai... » Doucement... ces mots-là me firent du bien... P... de peur, pourtant j'aimais cette peur qui me retenait, qui me permettait d'agir que pour elle, pour ses envies, son plaisir... me permettait de me guider sur elle...

    Je fermais les yeux, les serrant du plus fort que je pouvais et pris une profonde inspiration, la recherchant tout au fond de moi, quêtant ses envies les plus folles, les plus extrêmes. Les miennes s'accorderaient-elles aux siennes ? Je devais essayer doucement, prudemment de tout apprivoiser d'elle.
    Je rouvris les yeux, elle était là, toujours dans cet « à corps et à cris » que je n'avais pas le droit de décevoir. Me lâchant enfin la bride, je me ruai sur elle. Je lui saisis les poignets, venant la chevaucher, la serrant fort entre mes cuisses et la fixai d'un regard pétillant de défi. Je voulais lire dans le sien son envie de se donner, de vouloir être mienne et cette immense confiance sans laquelle rien ne serait possible.
    Je ne lus pas alors une simple envie mais une véritable imploration, une adhésion totale qui me bouleversa. Elle se livrait à moi corps et âme...

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    O délicieux nectar, j'ai soif de toi
    Soif de ta chaleur, soif de ton odeur
    Soif de cette ivresse que tu mets en moi
    O ma liqueur d'amour, toi mon doux partage
    Toi qui n'es là que pour moi
    Toi mon si pur goût d'elle
    Fruit de sa passion, fruit de son désir
    Toi qui me sauvages mes envies d'elle
    Toi qui me ravages en mon manque d'elle
    Je ne suis plus moi lorsque tu viens en moi
    Ravage-moi encore d'elle
    Toi qui es mon tout d'elle
    Sois effet en mon corps
    Sois folie de mon âme
    Toi qui es son offrande
    Délicieux mystère de ses fantasmes
    Moi je prie qu'un jour tu deviennes pour elle
    Ce que tu es pour moi...

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  • J'ai sans cesse ces larmes, ces larmes surgies du creux de ton absence, ruisselées sur mes joues, ces larmes que mon cœur ne peut contenir, que mes yeux ne peuvent retenir.
    Aucun son ne viendra les ternir, sinon ce cri étouffé qui résonne du manque de toi. Aucun mot ne viendra les adoucir, les apaiser, les résigner, sinon celui de ta voix seule, celui de tes baisers chuchotés à mon oreille, de tes lèvres en murmure sur les miennes, sinon ce « merci » venu de l'ultime de mon cœur, de l'intime de mon bonheur.

    Lorsque je te retrouverai, renaîtront mes doux soupirs, l'envie de toi, cette envie de tout toi, cette brûlante envie, comme une supplique de nos deux corps.
    Alors que mes mains courront sur ta peau, que tes doigts chercheront le chemin, mon ventre n'attendra plus que toi.

    Bientôt tu l'étreindras de tes mains, tu y poseras la tête, j'y chercherai tes yeux, tu viendras y puiser au seuil de mon désir et je partirai loin. Là où le temps n'existe plus, là où la vie côtoie l'infini des possibles, l'infini des plaisirs. Là, dans un ultime élan, dans un dernier sursaut, mon âme épousera la tienne...

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  • Je déboule dans ton bureau, escarpins vernis, haut perchée, jupe très courte, haut léger
    Tu devines mes petits anneaux, très provocante, débridée, féminine, tigresse
    Je sens la chaleur des mes envies, tu es seule heureusement
    Le bureau de la chef, pas là, en réunion sans doute, on s'en fout
    J'arrive sur toi... tu n'as pas le temps de protester, tu n'oses pas
    Tu te souviens d'une fois dans ton bureau déjà
    Je viens d'un pas, d'un geste, sans ménagement, coller ma bouche sur ta bouche, fort
    Plaquée contre toi, je défais ta jupe, retire ton haut sans douceur
    Douceur cachée de mes envies, il vole, finit sur le sol
    Tu ne dis rien, tes yeux brillent, ils sont beaux, merveilleux, ils sont désir
    Emprise du désir et de la folie, folie amoureuse, désir désir désir
    J'ôte ton soutien gorge d'un coup sec, d'un coup d'envie, d'un coup net
    Tes seins s'abandonnent sur moi, je les aspire à pleine bouche
    Les mordille, les empoigne, je les aime
    Je passe une main, saisit ton sexe, le sens vibrer a travers ta culotte
    J'entre ma main et, te prenant d'une main sur ton sexe, de l'autre sous ton bras
    Je te soulève, t'assieds sur le bureau saisit tes poignets fermement, fortement, puissamment
    Les amène dans ton dos et t'embrasse à nouveau
    Ta bouche me répond, de folie à folie, nos seins se plaquent
    Tes poignets se libèrent, se ruent sur moi, me dévêtissent,
    Sans attendre, sans attention, le feu les guide, j'aime
    Ma bouche prend ton cou, ma main retire enfin ta culotte, puis écarte tes jambes
    Ta bouche prend mes seins, c'est la première fois
    Je rejette ma tête en arrière, foudroyée de bonheur, de cette première fois
    Je t'aime je t'aime
    Ta langue joue avec mon anneau, ta main cherche la glissière de ma jupe, la descend
    Mon sexe déjà humide s'affole, de désir, monte le feu sur nos bouches, nos sexes
    Tous nos corps sont pris de folie, de vertige, se donnent l'un a l'autre,
    S'envolent et se dansent
    Je suis debout entre tes jambes écartées, mon sexe contre ton sexe
    Ta bouche à nouveau me prend, mes mains à nouveau saisissent tes poignets
    Plus fort encore, les emprisonnent, j'aime ta force et ton abandon
    Ta poitrine qui se cambre soudain, tes seins qui s'offrent, tu es si belle alors
    Comment ne pas t'aimer, aimer tout de toi, tout désirer, a s'en noyer l'âme
    Nos sexes s'embrassent, lèvres contre lèvres, s'embrasent
    Tu te tords, tu veux plus, encore plus, tu veux jaillir
    Toujours tenant tes poignets, je me baisse, me voici a genoux, ma tête sur ton sexe
    Je sens la force de tes mains qui veulent saisir ma tête, la plaquer contre ton sexe
    Plus fort, plus fort encore, je les laisse s'échapper, elles m'emparent, me serrent
    Tes mains jouent, ma tête leur répond, les écoute, se guide
    Ma langue entre alors en toi, en toi, tu ne dis rien, pas de peur, pas de retrait
    La folie t'a gagnée, tes mains, ta force me le disent, elles gardent ma tête là
    Bien là, fort contre ton sexe, ton intimité, ton goût enfin offert, à la mienne
    Je prends, je donne, nous vivons, nous savons
    Ma langue s'emporte en toi, tu n'es plus que spasmes, que oui, que encore, que maintenant, que vite
    Je ne suis que folie, que merci, que je t'aime que passion, que... toi
    Ton corps est secoué, la pression de tes mains sur ma tête, ton désir, tout ça
    Mon corps aussi devient fou, fou d'amour
    Puis tes mains, s'agrippant dans mes cheveux, ton corps se raidissant, cambré à l' extrême
    J'entends son plaisir, ta jouissance, qui s'aliène à la mienne
    Fusion, communion, sublimation, union... Je t'aime d'Amour
    Ton corps se détend, tes mains entourent ma tête
    Ma joue plaquée contre ton sexe et les larmes qui montent et tes bras qui cajolent
    Tes mais se font caresses, ta bouche embrasse mes cheveux
    Toujours jamais je ne saurais empêcher cela, ce merci je t'aime, merci de m'aimer
    Merci de tout donner, merci d'être à moi et de m'accepter tienne
    Je t'aime... toi, ma moitié, mon amour, ma vie, mon don, merci...
    Garde-moi là, les bras autour de ta taille, en pleurs, reconnaissante
    Ma joue contre ton fruit humide et tendre, tout chaud encore
    Garde-moi là encore un peu s'il te plait...

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    Si tu étais là, au plus près de moi, tu t'approcherais de moi, lentement, doucement, sans rien brusquer, sans rien forcer, sans rien précipiter. On aurait tout le temps. Le temps de nous chercher, le temps de nous trouver, le temps de nous désirer, de nous aimer enfin.
    Tu t'approcherais de moi et tu prendrais ma main, le cœur chaviré et le ventre brûlant de ton désir de moi. Tu tournerais la tête et plongerais tes yeux dans les miens, jusqu'à y lire ma flamme, mon appel à poursuivre.

    Si tu étais là, tu m'allongerais doucement et poserais mes mains au dessus de ma tête. Tu te pencherais sur moi et, avec ton genou, écarterais mes cuisses, jusqu'à ce que je sois toute ouverte à toi.
    De tes lèvres, tu déposerais là, au creux de mon cou, ce tout premier baiser qui me fera frémir, ce tout premier signal des plaisirs à venir.

    Si tu étais là, tu t'allongerais sur moi et m'embrasserais jusqu'à sentir sous toi tout mon corps onduler. Tu embrasserais mes lèvres brulantes, jusqu'à sentir monter toute mon envie de toi.
    De ta bouche offerte, tu couvrirais chaque parcelle de mon corps, t'aventurerais plus loin, toujours plus loin, plus bas, toujours plus bas.

    Si tu étais là, tu plongerais ta tête au seuil de mon plaisir. Tu prolongerais l'attente jusqu'à n'en plus pouvoir, jusqu'à ce que tu imploses, jusqu'à ce que j'en supplie. Et, là, tu sourirais car je te supplierais d'y venir enfin. Tu attendrais encore, jusqu'à que j'en crie.
    Puis, tout doucement, tu écarterais mes chairs déjà toutes ruisselantes des plaisirs à venir, de mon violent désir, de mon appel de toi.
    Tu glisserais ta langue au plus intime de moi et me donnerais de toi jusqu'à me voir rougir, jusqu'à me voir partir, au plus secret de moi.
    Aux premiers gémissements, tu y ajouterais tes doigts et tu les enfoncerais là, tout au profond de moi, pour que moi, ton amour, je vienne jusqu'à toi.

    Si tu étais là, tu m'accompagnerais encore et encore, tu pleurerais avec moi pour mélanger nos larmes ... Tu prendrais soin de moi jusqu'à ce que je décolle, jusqu'à ne faire plus qu'une, de nos deux âmes folles.

    Si tu étais là, je t'aimerais...

     

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    Toi à genoux, moi debout ?
    Je te ferai plus grande que tu n'as jamais été
    Toi à genoux moi debout ?
    Je suis à tes pieds pourtant
    Toi à genoux moi debout ?
    Je craque... pour toi, ainsi nue, dévêtue
    Toi à genoux moi debout ?
    Je ne suis plus rien sans toi
    Toi à genoux moi debout ?
    Mais qui a tout de moi
    Et mon corps et mon âme
    Ne sont là que pour toi
    Parce que je t'aime

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    Tes petits anneaux sont devenus mon lien, mon alliance à toi. Ils roulent entre mes doigts comme la roue des destins qui nous ont croisées. Ils t'affolent, ils nous isolent. Un souffle divin semble les traverser lorsque, sous la caresse de ma main, le métal se réchauffe, enfiévrant tout ton corps. Ils te font toute puissante, ils te font ravissante, ils te font rassurante, ils me font grandissante.

    Petits cercles qui enserrent un trésor que je dois deviner, que je dois mériter. Petits pièges refermés sur ta poitrine soumise, protégeant ton passé, ceinturant tes secrets. Mon regard se pose sur eux et, d'une douceur cristalline, accepte leur offrande.

    Les anneaux se mettent à briller, d'un intense reflet, libérant leur énergie en éclat de miroir, faisant scintiller la porte de lumière qui s'ouvre à moi, la porte de tes sens, la porte de ton âme. Sensuelle alliance du métal froid sur ta peau emportée de mille feux.

    Petits alliés d'une nouvelle naissance pour nous deux, d'une nouvelle alliance, qui me lie plus encore à toi, comme un cercle magique, se refermant sur nos émois, nous protégeant de toutes parts, nous isolant de tout bruit, nous transportant à mille lieues de tout être, de toute chose, de nous-mêmes.

    Petites boucles de fer qui tournent à l'infini, comme notre amour superbe qui défie toutes les lois, comme ce lien suprême qui m'unit à toi, que rien ne peut briser, que rien ne peut défaire. Petits anneaux que j'aime, faufilés sous mes doigts. Petits cercles fermés, qui n'appartiennent qu'à toi, mais me gardent en leur sein, une place près de ton cœur.

     

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    Mon cœur est un voleur
    Il a volé ton cœur
    À tous ceux qui ne l'aimaient pas
    Ou qui lui faisaient du mal
    Il l'a volé pour bien le réchauffer
    À grands coups d'amour, pour se donner à lui

    Mon cœur est un voleur
    Un voleur de malheurs
    Un donneur de tendresse
    Mon cœur est un voleur de cœur

    C'est un gentil voleur
    Un cœur envoleur
    Un voleur au cœur tendre
    Qui aime les interdits
    Alors il s'est permis

    Ton cœur est un charmeur
    Il a touché mon cœur
    Un cœur qui se perdait
    Un cœur qui se battait
    Un cœur qui se demandait
    Qui il était

    Ton cœur est un charmeur
    Un coeur enjoleur
    Un coeur enfolleur
    Il a charmé mon cœur
    Et tant donné d'amour
    Qu'ils ne se quittent plus

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  • D'une étrange emprise, tu fais le tour de ma vie, comme tu m'encercles de tes bras. Possessivement, je suis à toi, jusqu'aux limites de l'obsession. Tu sais me garder sans trop me serrer, tu aimes me posséder, avoir tout de moi sans ne jamais rien réclamer. Moi, je te donne, je m'abandonne, à toi, pour toi, pour nous, au-delà de toi, même...

    D'une immense envie de me grandir, de me soutenir, je reste sous ton aile de douceur, moi l'oiseau aux ailes brisées. Juste là, blottie au creux de ton âme,. Juste là, à attendre ta tendresse protectrice et ta main bienveillante.

    La confiance me guide. L'assurance me gagne. J'ai besoin de vide autour de moi, ce besoin avide de rien sauf de toi, cette envie de vie, de fuir, de futur, tu me rassures. Et puis j'oublie, je laisser aller, je laisse céder. Je regarde le temps qui s'écoule sur nous et je n'entends plus son glissement monotone. Je te regarde me survoler, toi, mon bel ange-gardien, mon âme-sœur, de douleur et de douceur. Toi qui es la couleur de mes nuits. Toi qui es le calme de mes émois. Toi qui assures mon cœur, toi qui épures mes peurs...

    J'ai besoin des sanglots qui étranglent ta voix comme j'ai besoin des larmes qui noient mon regard. J'ai besoin de ta puissance, de la force de ta main qui enserre la mienne, de l'indocilité de tes yeux fous d'amour, comme j'ai besoin de ton cœur en désordre, de sa fragilité d'enfant, de tes bras consolants, de ton âme pesant lourd sur la mienne.

    Je t'aime avec cette passion qui est mienne, avec la délicate envie de me laisser séduire, de nous enfuir, toi et moi, amoureusement, fougueusement, mais sereinement. Je t'aime avec cette rage au bord du cœur, avec cette cage qui nous retient, prisonnière de nous-mêmes, prisonnières de nous deux, et qui nous enlace d'un balai fusionnel, où règnent nos plaisirs, nos désirs et nos soupirs. Je t'aime de tout mon moi qui s'offre à ton toi. Je t'aime avec ce lien, ce bout de rien, qui nous retient, qui nous étreint. Je t'aime avec mes peines, avec des chaînes, pour te garder, te protéger. Je t'aime quand tu m'entraînes quand tu m'enchaînes, quand tu m'enlaces quand tu m'embrasses, quand tu te relâches quand tu m'attaches.

    Je t'aime avec mes mots, qui ne sont peut-être pas les tiens, pas ceux que tu attendais, mais je t'aime à ma façon, aux limites de la possession, de la soumission... mais d'un amour sans limite...

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    Mains d'ici, mains de toi
    Mains de feu, mains de plumes
    Jeu de mains, mains qui se serrent
    Mains qui sont là, mains qui caressent
    Douce paresse

    Mains en pleurs, mains soleil et brûlures
    Mains dans tes mains
    Mains de moi, mains de toi
    Mains sur toi, mains pour toi

     

     

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