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Par Je, tu,... elles le 22 Juillet 2018 à 23:20
10 ans d absence...
Rien n'a changé ici...
Pas un grain de poussière, pas un recoin sans émotion...
Toujours intime, doux, chaud, secret...
Envie de laisser un petit mot, juste pour toi, pour un sourire...
N'y vois rien de plus, il n y a rien de plus... que l'envie de te faire plaisir, de laisser un petit cadeau pour toi...
Rien n'a changé...
Sauf peut-être un peu le décor...
Ah si... toi...
Je te découvre si différente, comme révélée à toi-même...
J'ai l'impression de me lire... de te voir écrire des mots si souvent combattus...
Je me sauve...
Silence...
Étrange sentiment...
JMFY
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Par Je, tu,... elles le 16 Mars 2009 à 07:00
Elle fermait les yeux, ou plutôt ils s'étaient fermés tous seuls, comme s'ils savaient ce qu'ils avaient à faire, comme s'ils savaient que là elle avait besoin du doux noir protecteur de ses paupières qui savait la ravir à l'extérieur et l'enfermer en moi, l'imprégner du don qu'elle allait me faire de son corps et de son âme.
Je savais que, sous ses paupières closes, elle était à moi, qu'elle me donnait tout ce que je pouvais, tout, même ce que je ne voulais pas. J'ajoutai le confort et la chaleur de son écharpe blanche au noir de ses paupières. Elle baissa légèrement la tête pour m'offrir sa nuque tandis que je la nouais. Je l'aimais ainsi, tendrement docile.
D'un doigt, je relevais son menton et je devinais ses larmes d'émotion sous son écharpe humide. Comme elle était belle. J'avais envie d'elle... Je vins me coller tout contre elle, juste corps contre corps, rien d'autre. Puis je la pris dans mes bras et me fondis en baisers dans son cou, puis sur ses seins, son ventre. Elle frissonnait, vibrait, se tordait. Je me laissais glisser encore...
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Par Je, tu,... elles le 9 Mars 2009 à 10:51
Ni mes yeux, ni ma langue, ni mes doigts, ni mon coeur, ni mon corps n'ont oublié...
Je n'ai pas oublié...
Que ma langue a su te conquérir
Que tes doigts ont su me faire jouir
Et j'ai découvert combien il est doux
De guider et de se laisser guider
Moi qui ne l'avais jamais osé...
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Par Je, tu,... elles le 8 Mars 2009 à 10:50
Cette nuit-là, j'étais allongée sur le dos, les mains sur le ventre. Je ne sais pourquoi, dans un geste tendre mais assuré, elle a saisi mes poignets, l'un après l'autre et a posé mes mains loin de mon corps. J'ai fermé les yeux... Ce simple geste a appelé tant de choses en moi. Je suis restée docile, à attendre la suite, profondément émue. Mon âme est soumise, c'est ancré en moi, ça provoque une émotion puissante. Je vis, je ressens, je tremble.
Ses mains sont douces sur mon corps offert et nu, même de ses propres membres. Il est à elle. Là pour elle. Elle peut tout. Tout avec la magie de ses doigts. Magie... Sa main effleure ma peau. Ma chair se réveille, mon âme s'éveille, mon corps se donne, la fièvre me prend. Mon âme rencontre mon âme et la sienne. Ses mains sont partout. Leur ballet me couvre de milliers d'étoiles. Je me sens possédée, prise, emprise, dominée. Une sensation que j'aime entre toutes. Je me rends compte que c'est toujours là, en moi, malgré les blessures passées. Je me rends compte que ça provoque toujours de si puissants émois. Je me rends compte que ça ne me quittera jamais...
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Par Je, tu,... elles le 22 Février 2009 à 21:40
J'ai mes yeux dans tes yeux
J'ai ma bouche sur ta bouche
J'ai mes seins tout contre tes seins
J'ai ma cuisse entre tes cuisses
J'ai mes mains empoignant tes fesses
Et là je me laisse d'amour
Dévorer pour toujours
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Par Je, tu,... elles le 5 Février 2009 à 12:35
Je ne serai jamais une vraie "maîtresse"... Mais j'aime, dans ces jeux, te demander et que tu fasses. Je ne sais pas pourquoi ce don-là m'émeut autant. C'est terrible. J'en ai les larmes aux yeux. C'est comme si j'apprivoisais patiemment et amoureusement un petit animal sauvage et fragile à la fois. C'est très fort comme sensation, c'est magique et profondément émouvant, oui.
Cependant, dans ces jeux, je ne sais pas qui possède le plus parce que tout de moi est à toi aussi. J'aime ta "soumission" bien que je n'aime pas "ordonner". J'aime te faire sentir à quel point ça me touche et à quel point ça a de la valeur pour moi quand tu fais quelque chose par don de toi, par amour, par envie de faire plaisir. Le don de soi est si magique...
Je ne sais aimer que comme ça, moi, tout en émotions. J'ai terriblement besoin de ça, de me sortir de moi tout l'amour, de ne rien retenir, de tout lâcher sentimentalement et émotionnellement, toujours.
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Par Je, tu,... elles le 30 Janvier 2009 à 11:46
De nid coquin à nid coquin
Que serais-je sans toi
Ma plus belle rencontre
Viens-là tout près de moi, contre
Et touche à moi
Je touche à toi
Mélangeons nos désirs
Fusionnons nos plaisirs
Là, juste là
Tes lèvres sur mes lèvres
Et, peu à peu, feu à feu
Laissons venir la reine
Aime-moi, je t'aime
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Par Je, tu,... elles le 26 Janvier 2009 à 21:06
Je te vois, là, à genoux à mes pieds, tes bras enserrant mes hanches, ta joue plaquée contre mon sexe, mes mains dans tes cheveux, des larmes dans mes yeux et des hurlements d'amour qui voudraient jaillir de ma poitrine.
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Par Je, tu,... elles le 24 Janvier 2009 à 11:57
Nid coquin, Nid taquin
Tu peux bien, faire ton vilain
Tu peux bien, faire ton malin
Et prendre ce ton badin...
Je saurai bien te dénicher
Fais donc pas ton effarouché
Je saurai bien te débaucher
Tu es si tant amouraché!
Ainsi donc tu te caches?
Tu veux que je me fâche?
Mais il faut que tu le saches
J'aime ce jeu de cache-cache!
Nid de grace nid de gar...
Viens-là que je te débarrasse
Fi donc de ta carapace
Viens-là que je t'embrasse
Laisse-moi de ma langue chenue
Tout entier te mettre à nu
Tiens? La voici donc bienvenue?
Voici que tu n'en peux plus...
Et te voici bien moins sauvage
A chacun de ses passages
Te voici dans les nuages
A chacun de ses ravages...
Nid coquin, Nid taquin
Tu pouvais bien faire ton malin
Tu pouvais bien faire ton vilain
Et prendre ce ton badin...
Je savais que tu serais mien...
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Par Je, tu,... elles le 21 Janvier 2009 à 21:12
Lire la 1ère partie
Lire la 2ème partie
Le bout du bout des doigts...
Viennent enfin les caresses... Je me souviens d'avant elle... Les caresses... Jamais assez pour moi.
Alors je les écris comme je les ai rêvées, comme je veux les donner...
Qu'elle imagine d'abord le souffle, la chaleur du souffle, sur la nuque. Sa tête s'incline, son corps est saisi d'un brusque sursaut. Brusque. Il comprend, ça commence... Il se tend, se cambre, offrant cette divine cambrure à la caresse du bout du bout de mes doigts. J'effleure, tremblante... et son corps pleure d'émotion. A travers cette caresse, c'est tout l'autre qu'elle ressent, tout l'amour qui l'imprègne... Tout l'amour... qui déborde...
Une caresse comme une ombre sur son corps, une ombre qui toucherait à peine, une ombre qui se glisserait partout... partout, qui ne négligerait nulle parcelle de sa peau... Partout...
Naitraient frissons, spasmes, soubresauts, vertige, feu... Je ferme les yeux, pour juste lire ce corps frémissant de mes doigts fébriles... Le lire l'écouter et donner... donner le plaisir, la passion, jusqu'à la fusion, jusqu'à l'explosion...
Le bout du bout des doigts...
Le bout du bout des doigts se fait main, bras... qui enserrent... bras qui s'accrochent, s'agrippent, emprisonnent... Les corps qui se resserrent. Fort. Je serre encore... je serre si fort, que nos seins se mêlent, nos sexes se mêlent, nos bouches se mêlent...
Elle est à moi, je suis à elle... Fusion... Je le crie de tout mon corps que cet amour dévore, tord...
Jusqu'à...
La folie, le feu, les larmes, l'effondrement de l'appartenance, de la jouissance... corps et âmes... et âmes...
Corps et âme...
2 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 15 Janvier 2009 à 21:06
Je te ferai l'amour
Je te dévorerai de passion
Longuement, follement ou tendrement
Jusqu'à ce que nos esprits nous quittent...Je veux du feu entre nous
Je veux des larmes
Des "oui", des "encore"
Je veux des corps qui s'écoutent
Qui se touchent, qui se parlent
Qui se frôlent, qui s'enchantent
Qui s'envolent et s'emportent
Nus, l'un contre l'autre
Je veux la fureur, je veux la folie
Je veux la vraie vie, je veux l'amour
L'amour, L'AMOUR...
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Par Je, tu,... elles le 13 Janvier 2009 à 22:02
Lire la 1ère partie
Je saisis tes poignets et les enferme à nouveau dans leur prison de fer. Docile, tu frémis, mais ne dis rien. Je connais ce frémissement à peine perceptible. Il est ton "oui", ton "prends-moi", ton "fais ce que tu veux". Je t'aime. J'hésite un instant pourtant. J'aime la douce blancheur de ta peau, la fermeté de tes formes. Envoûtée. Je suis envoûtée.
Envie que rien d'autre ne touche ton corps... Rien. Je monte tes poignets et les suspends au-dessus de ta tête. Rien. Aucun contact. Juste mes mains, mon corps, mes larmes. Je ne veux pas que tu vois, je ne veux pas que tu parles. Alors, d'une écharpe blanche, je t'enferme dans le noir, comme en toi-même. Ton corps est à moi. J'ai une envie farouche de lui faire l'amour. Partout, partout, partout...
J'ai besoin de sentir sa chaleur, sa douceur et surtout de le ressentir du plus profond de toi au plus profond de moi. Je viens près de toi sans te toucher. Je tourne autour de toi. Tu me ressens. Je sens la tension monter en toi. Ton corps se tend, cherchant à savoir quel geste, quelle caresse, quel souffle, va le mettre en émoi.
La passion, le désir, m'emportent. Je me colle soudain à toi, contre ton dos et te serre fort contre moi, empoignant tes seins presque à leur faire mal. Je me colle, mordillant ton épaule. Mon souffle envahit ton cou. Je te sens réagir. Ta tête tombe sur mon épaule. J'ai envie de folie, de possession. Je glisse à ton oreille "je t'aime, tu es à moi". J'ai des paroles aussi possessives que tendres. Mon corps devient ta prison.
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3 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 11 Janvier 2009 à 18:27
Je ressens en toi... comme un élan
Discret, tout en arrière plan
Je me trompe sans doute
Mais, tu es là, sans mots dire
Je ne sais pas, mais j'écoute
Ces mots que tu n'oses pas dire
Ces pas qui voudraient ma main
Pour me mener vers ce chemin
Imperceptiblement,
Pour que je n'ai pas peur
Pour que ça vienne de moi
Pour que j'aie confiance en moi
Ces derniers temps,
Oui, je ressens ta force
Qui réclame la mienne
Te voici qui préside
Où mon âme réside
Mais tu aimes que je résiste
Presque que je te...
Tu me ris, tu me cherches
Mais tu veux que j'empêche,
Que je te voue, que je te plie
Et... moi, moi... j'aime aussi...
Et même, comment te dire
A quel point j'aime ces « oui »
Et même... ces « oui M... »
Tout de nu vêtus, dévêtus
Ces tout petits fétus
Si frêles et si fragiles...
Mais pourtant je refoule, je refoule,
Toujours il y a cette peur
Peur, peur, peur de tes peurs
Et cette peur de moi... même...
Mais que j'aime tes replis
Je m'en trouve enhardie
Sont-ce des perches tendues ?
J'avoue que je ne sais plus
Juste, c'est ce que moi
Je ressens de toi...
Mais je chasse les images
Les pensées de passage
Mais ces pensées d'Elle
Au fond de moi si belles...
Ô divin don de soi
Toi que pour moi, je sens loi
Transcendance divine
Des nuits les plus intimes...
Comment t'avouer
Que cette image entre toutes
Met mon cœur en déroute
De frissons je m'écroule
Quand Te voici toute en boule
Juste là...
Comme enchaînée...
Aux pieds de mon âme...
Doux fantasme..
4 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 9 Janvier 2009 à 20:02
Ce corps...
Je te regarde, non, je t'admire, complètement bouleversée... J'aime ce que je sens monter en moi : émotion, tendresse immense, envie, désir... Touchée que je suis par le tableau que tu m'offres, j'ose à peine bouger, de peur de casser la magie de l'instant.
Magique beauté de tes formes, c'est avec tout mon corps que j'ai envie de te dire que je t'aime, avec cette envie de te sentir tout le long de moi, oui... tout le long.
Attendrie, je m'approche doucement. Tu fermes les yeux où je devine quelques larmes. Tu baisses un peu la tête, geste d'intime pudeur qui semble me dire "prends, prends tout, c'est à toi". D'un doigt timide je relève ton menton et, tendrement, t'embrasse, émue au plus profond de moi.
Puis, délicatement, je saisis tes poignets meurtris d'avoir supporté ma possession. Je les masse et les couvre amoureusement de baisers et de caresses, comme pour les remercier de ces petits maux pour moi endurés.
Mes gestes sont lents, passionnés et comme empreints de ferveur et de fièvre. Mes yeux plantés dans les tiens, j'ai envie de fondre tant ce petit regard mélancolique me touche. Je me sens si petite, si maladroite. Je dois faire un effort pour m'évader de mes larmes. Je ferme les yeux, les images fusent. J'ai envie de l'une d'elles, là, tout de suite...
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10 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 3 Janvier 2009 à 23:15
Tu as pour moi ce doigt...
Ce doigt coquin
Un peu taquin
Ce doigt mutin
Si diablotin
Ce doigt vainqueur
Voleur de peurs
Ce doigt du coeur
Un peu bêcheur
Ce doigt enhardi
Voleur d'interdits
Ce doigt étourdi?
Pas si bien dit!
Ce doigt d'amour
Juste là, alentour
Ce doigt velours
Hum! tout autour...
Ce doigt d'émois
Juste pour moi
Ce doigt si adroit
Pour mes endroits
Ce doigt qui sait
Ce qu'il me fait
Ce doigt je sais
Pourquoi il fait...
Et moi je dis
A toi merci
Doigt du paradis
Doigt de ma folie...
Et à toi ma Douce, je dédie ces quelques vers, parce que je sais bien tout ce qu'il y a eu de chemin en toi, pour que tu m'offres ça...
Je t'aime...
3 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 3 Janvier 2009 à 19:23
Mon Ange, ton blog est victime de son succès, de la beauté de ses textes, de leur magie...
Tu es de celles qui ont le pouvoir des mots, un pouvoir magique...
Ce pouvoir-là, tant ne l'ont pas qui voudraient l'avoir...
Alors c'est simple, ils viennent et d'un simple clic droit se servent, et pillent, pillent, pillent...
Un autre clic et hop le tour est joué !, tes plus beaux textes se retrouvent chez eux par dizaines... ici, ici ou encore ici et en tant d'ailleurs encore... et sans aucune vergogne se couvrent de lauriers qu'ils ne méritent pas... sans que jamais ni toi ni ton blog ne soit cités...
C'est pourtant simple de citer le véritable auteur d'un texte, ou de demander son autorisation...
Mais non, au mépris même du copyright... ce sont des voleurs, des tricheurs, des usurpateurs, des plagiaires...
Je trouve ça moche et bas... pff...
ET VOUS ?
6 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 31 Décembre 2008 à 12:54
Je ressens si fort la détresse de ton absence
Et ce vide qui ronge l'entre mes bras
Détresse de toi...Oui, j'ai le coeur mouillé de larmes cachées
J'ai traversé le rire au doute de la tourmente passée
Et l'amour m'a repêchée...Il revient toujours me chercher
Au plus profond de l'absurde
Au plus fort des douleurs et des craintes...Et, même sur le fil
Quand me gagne le découragement
Toujours, oui, il vient à mon secours
Je t'aime...
8 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 25 Décembre 2008 à 21:15
Des fois je me demande pourquoi...
Pourquoi tu fais tout ça en moi,
Pourquoi ça me fait ça quand je te regarde...
Je te regarde, je vois ton corps... si féminin,
Et ses formes s'emparent de moi
Emoi, fol émoi de toi, drôle d'état
Monte la chaleur
Bientôt la fièvre,
Et depuis bien longtemps déjà...
Le désir...Désir de toi, si femme
Désir en moi, pourtant femme..
Pourquoi ce feu,
Pourquoi mon corps brulant,
Juste de mes yeux posés sur toi...
Pourquoi moi qui suis femme
suis-je emportée de... toi,
Basculée, désemparée, énamourée...Des yeux se ferment
Des corps se respirent,
Profonds soupirs,
Des mains te touchent
Prennent, défient,
Pourquoi ton sourire,
Pourquoi ton regard,
Tes formes, tes formes, tes formes
Te voir, te sentir, te vivre
Et dans mes yeux s'épanche,
Le creux de tes hanches
La rondeur de ton ventre
La douceur de ta peauC'est tout ça, oui tout ça
Qui me fait ça
Et tout ça... c'est pour moi...
J'aime ce toi qui me fait ça...
4 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 14 Décembre 2008 à 12:38
Fièvre d'ivresse
Plus de détresse
Je te caresse
Toi ma déesse
Je te paresse
Moi ta diablesse...
Que rien ne cesse
Que rien ne blesse
Que rien ne presseFroid de toi
Effroi, désarroi
Je vous côtoie
Bien malgré moi
Tu es chez toi
Et Moi... Chez moi
Si loin d'en toi
J'ai froid de toi...
6 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 10 Décembre 2008 à 16:04
Tu vois,
C'est comme ça,
Oui juste comme ça
Tout contre toi
Serrée
Tout au long de toi
Collée
C'est comme ça
Que je veux m'endormir près de toi
Je veux pas... juste ta main
Je veux pas... juste te savoir là
A côté de moi
Non, j'ai besoin... de te sentir là, tout contre,
Que mes seins s'envahissent de ta peau
Que ma bouche respire ton cou
Que mes mains emprisonnent tes seins
Alors, seulement
Je retrouve le calme, la sérénité, l'apaisement
Je deviens ta chaleur
Ma peur s'endort
Coeur contre coeur...
12 commentaires
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