• Garde-moi là...


    Je déboule dans ton bureau, escarpins vernis, haut perchée, jupe très courte, haut léger
    Tu devines mes petits anneaux, très provocante, débridée, féminine, tigresse
    Je sens la chaleur des mes envies, tu es seule heureusement
    Le bureau de la chef, pas là, en réunion sans doute, on s'en fout
    J'arrive sur toi... tu n'as pas le temps de protester, tu n'oses pas
    Tu te souviens d'une fois dans ton bureau déjà
    Je viens d'un pas, d'un geste, sans ménagement, coller ma bouche sur ta bouche, fort
    Plaquée contre toi, je défais ta jupe, retire ton haut sans douceur
    Douceur cachée de mes envies, il vole, finit sur le sol
    Tu ne dis rien, tes yeux brillent, ils sont beaux, merveilleux, ils sont désir
    Emprise du désir et de la folie, folie amoureuse, désir désir désir
    J'ôte ton soutien gorge d'un coup sec, d'un coup d'envie, d'un coup net
    Tes seins s'abandonnent sur moi, je les aspire à pleine bouche
    Les mordille, les empoigne, je les aime
    Je passe une main, saisit ton sexe, le sens vibrer a travers ta culotte
    J'entre ma main et, te prenant d'une main sur ton sexe, de l'autre sous ton bras
    Je te soulève, t'assieds sur le bureau saisit tes poignets fermement, fortement, puissamment
    Les amène dans ton dos et t'embrasse à nouveau
    Ta bouche me répond, de folie à folie, nos seins se plaquent
    Tes poignets se libèrent, se ruent sur moi, me dévêtissent,
    Sans attendre, sans attention, le feu les guide, j'aime
    Ma bouche prend ton cou, ma main retire enfin ta culotte, puis écarte tes jambes
    Ta bouche prend mes seins, c'est la première fois
    Je rejette ma tête en arrière, foudroyée de bonheur, de cette première fois
    Je t'aime je t'aime
    Ta langue joue avec mon anneau, ta main cherche la glissière de ma jupe, la descend
    Mon sexe déjà humide s'affole, de désir, monte le feu sur nos bouches, nos sexes
    Tous nos corps sont pris de folie, de vertige, se donnent l'un a l'autre,
    S'envolent et se dansent
    Je suis debout entre tes jambes écartées, mon sexe contre ton sexe
    Ta bouche à nouveau me prend, mes mains à nouveau saisissent tes poignets
    Plus fort encore, les emprisonnent, j'aime ta force et ton abandon
    Ta poitrine qui se cambre soudain, tes seins qui s'offrent, tu es si belle alors
    Comment ne pas t'aimer, aimer tout de toi, tout désirer, a s'en noyer l'âme
    Nos sexes s'embrassent, lèvres contre lèvres, s'embrasent
    Tu te tords, tu veux plus, encore plus, tu veux jaillir
    Toujours tenant tes poignets, je me baisse, me voici a genoux, ma tête sur ton sexe
    Je sens la force de tes mains qui veulent saisir ma tête, la plaquer contre ton sexe
    Plus fort, plus fort encore, je les laisse s'échapper, elles m'emparent, me serrent
    Tes mains jouent, ma tête leur répond, les écoute, se guide
    Ma langue entre alors en toi, en toi, tu ne dis rien, pas de peur, pas de retrait
    La folie t'a gagnée, tes mains, ta force me le disent, elles gardent ma tête là
    Bien là, fort contre ton sexe, ton intimité, ton goût enfin offert, à la mienne
    Je prends, je donne, nous vivons, nous savons
    Ma langue s'emporte en toi, tu n'es plus que spasmes, que oui, que encore, que maintenant, que vite
    Je ne suis que folie, que merci, que je t'aime que passion, que... toi
    Ton corps est secoué, la pression de tes mains sur ma tête, ton désir, tout ça
    Mon corps aussi devient fou, fou d'amour
    Puis tes mains, s'agrippant dans mes cheveux, ton corps se raidissant, cambré à l' extrême
    J'entends son plaisir, ta jouissance, qui s'aliène à la mienne
    Fusion, communion, sublimation, union... Je t'aime d'Amour
    Ton corps se détend, tes mains entourent ma tête
    Ma joue plaquée contre ton sexe et les larmes qui montent et tes bras qui cajolent
    Tes mais se font caresses, ta bouche embrasse mes cheveux
    Toujours jamais je ne saurais empêcher cela, ce merci je t'aime, merci de m'aimer
    Merci de tout donner, merci d'être à moi et de m'accepter tienne
    Je t'aime... toi, ma moitié, mon amour, ma vie, mon don, merci...
    Garde-moi là, les bras autour de ta taille, en pleurs, reconnaissante
    Ma joue contre ton fruit humide et tendre, tout chaud encore
    Garde-moi là encore un peu s'il te plait...

    « Si tu étais là...Mon âme épousera la tienne »
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  • Commentaires

    1
    Coquine
    Vendredi 20 Juin 2008 à 09:36
    Toujours autant
    de force, de violence, de brutalité presque, mais toujours autant de douceur, de délicatesse et de tendresse, en toi... C'est ce mélange, je crois, que j'aime, c'est cette faculté que tu as de passer de l'un à l'autre, de m'aimer fortement... puis tendrement... J'ai besoin d'être aimée ainsi moi et tu l'as si bien compris, si bien ressenti... J'ai besoin de tellement, tellement besoin de ton amour... Je t'aime...
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