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    Magie d'une rencontre
    Je ne t'attendais pas
    Pourtant tu es là
    Tu es là
    Tu le sais ça?
    Que tu es là tout au fond de moi?
    Qu'y faire
    Et pourquoi y faire surtout...
    Tu t'es glissée en moi
    Tout doucement au fil des mots
    Au fil des yeux, des sourires
    Un fil jusqu'au cœur...
    Maintenant tu es là
    Tout au chaud dans mon cœur
    Qui donc réchauffe l'autre?
    Le noir est moins noir depuis toi
    Le froid est moins froid aussi
    Le vide moins vide
    Juste ces petits moments de glace
    Quand tu te fâches
    Mais partout ton sourire
    Partout ton regard
    Partout...
    Partout le manque aussi
    Un manque aussi grand
    Que mes "je t'aime"...
    Un manque qui me dit
    Que je t'aime...
    Je sais tu vas dire "oui"
    De ce "oui" traînant
    Comme peu convaincu
    Je l'aime pas ce "oui" là...
    Même si je sais pourquoi
    Il est là...

    Mais je n'aime pas ce "oui" là
    Je t'aime toi...

     

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    Dans mes rêves, tu me dis des mots si tendres
    Que je suis la seule à pouvoir comprendre
    Comme une magie entre nous, un doux secret
    Parfois, j'ai tellement peur d'oublier
    Ta voix qui semble s'enfuir avec le temps
    Que je refermerais les yeux pour longtemps

    Dans mes rêves, je te serre tellement fort
    Qu'a mon réveil, je t'imagine encore
    Dans mes bras et je te sens tout contre moi
    Même si je sais que tu n'es déjà plus là
    Une terrible tristesse m'envahit alors
    Et pour la chasser, je me rendors

    Dans mes rêves, notre amour est grand
    Qu'il défie tous les autres sentiments
    Il n'y a plus ni malheur ni souffrance
    Ni peur, mais seulement notre chance
    De pouvoir être à nouveau réunies
    Pour nous aimer sans compter, sans soucis

    Dans mes rêves, plus rien ne nous sépare
    Entre nous, ni barrières, ni remparts
    Et je voudrais ne plus me réveiller
    Rester auprès de toi pour l'éternité
    T'enlacer, t'embrasser à en perdre haleine
    Et ne cesser de te murmurer que je t'aime...

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    Certaines caresses nous permettent de renaître, certains regards savent anéantir notre désespoir.

    Un jour, on pense que l'Amour nous a abandonné, nous laissant le cœur à demi-mort. Tout ne devient plus alors qu'habitude et solitude. Notre vie n'a plus de contours, plus de reliefs. On avance pour avancer, parce qu'il le faut bien. Notre vie n'est plus qu'un sens unique, un non-sens, un long tunnel sans lumière vers laquelle se diriger, sans repères. Nos sourires sont feints, on ne sait même plus se réjouir de toutes les petites choses si simples et pourtant si belles. Toutes ces choses qu'on regarde avec un air innocent, presque enfantin, lorsqu'on les regarde à deux.

    Et puis j'ai croisé ton chemin, en sens interdit. Et puis tu m'as touché en plein cœur. Mon cœur que je croyais inerte. Mon cœur qui, d'un seul coup, s'emballe, s'enflamme. Et la machine s'est remise en route. Et l'espoir renaît. Et l'envie aussi. Et l'Amour aussi.

    Mais j'ai peur, terriblement peur. Peur de ne pas être à ta hauteur. Peur de ne plus savoir t'aimer. Peur parce que j'ai tant envie d'y croire à nouveau mais tant envie de ne pas souffrir encore trop. Après tout ce temps passé à tenter de me reconstruire et à oublier les blessures du passé.

    Mille et une questions traversent ma tête. La force de cette relation, la foudre d'une nouvelle déception, le courage de l'amour à en perdre la raison.

    Toi, tu m'as acceptée auprès de toi. Tu as eu l'audace de m'ouvrir ton cœur, ton âme, tes bras et une partie de ta vie envers et contre tout. Je suis si heureuse que tu l'aies fait. Si heureuse, que j'ai encore du mal à y croire. Merci pour ta confiance même si moi je ne peux pas te promettre grand-chose, sinon de toujours veiller à ce que tu ne le regrettes jamais. Je te donnerai tout ce que j'ai, toute ma vie, tous mes rêves, tout mon être sont déjà tournés vers toi.

    Tu m'as ressuscitée à la vie, à l'Amour. J'espère que jamais nos chemins ne se sépareront tellement ils se ressemblent et tellement je t'aime...

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    C'est sentir ton pied contre ma jambe qui me dit « ne pars pas »
    C'est te savoir si loin et te sentir toujours là en moi
    C'est laisser revenir en boucle toutes les images du bonheur
    C'est des larmes d'émotion et de si grands sourires dès qu'on se retrouve
    C'est se préparer à être entre nous et se battre pour que ça arrive
    C'est savoir qu'alors il y aura ta chaleur dans le froid de mes nuits
    C'est m'endormir avec toi pour dernières pensées
    C'est me réveiller avec toi pour premières pensées
    C'est des images qui ne me quittent pas, qui me planent
    C'est mon cœur qui ne veut plus que s'émouvoir, exploser
    C'est vouloir t'appeler tout le temps, et pouvoir n'importe quand
    C'est un roman d'amour que tu n'as jamais lu
    C'est des tonnes de mauvais temps qui me rendent même pas triste
    C'est savoir que jamais je ne perdrai ma place dans ton cœur
    C'est savoir que jamais je ne lirai l'oubli dans tes yeux
    C'est savoir qu'en nous ça prend toute la place
    C'est savoir que même si pour aujourd'hui ce moment est fini
    Il y aura des milliers d'autres aujourd'hui
    Et toujours savoir quand sera notre prochain bonheur
    C'est savoir qu'alors chaque seconde me rapproche de toi
    C'est voir opérer chaque jour la magie de l'amour
    C'est vouloir pour l'autre plus qu'on ne veut pour soi-même
    C'est savoir que tu m'aimes comme je t'aime...
    Tout en me disant tout bas
    Que je ne pense plus qu'à toi
    Que je ne peux me passer de toi
    Que je t'aime toi et ... que je crois en l'avenir...

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    C'est te dire au revoir quand j'ai envie de t'embrasser
    C'est t'imaginer si loin et ne pouvoir te toucher
    C'est chercher dans mes souvenirs ce que je ne retrouverai jamais
    Ce sont mes larmes froides qui coulent en secret
    C'est apprendre à revivre dans le vide et la solitude
    C'est réintégrer de si mélancoliques habitudes
    C'est chercher ta chaleur dans le froid de mes nuits
    C'est rêver ton corps contre le mien, leurs envies
    C'est croire qu'à chaque pas je vais m'évanouir
    C'est un sanglot sur un sourire, mon cœur qui veut mourir
    C'est me retourner en pensant entendre ta voix
    C'est trembler si fort quand la vie t'arrache à moi
    C'est vouloir mais jamais ne pouvoir
    Avec toi, à jamais, vivre tous nos espoirs
    C'est un roman d'amour que j'ai déjà trop lu
    C'est un soleil blafard qui ne me réchauffe même plus
    C'est avoir peur de perdre ma place dans ton cœur
    C'est me demander à quand notre prochain bonheur
    C'est éviter tes yeux de crainte de n'y lire l'oubli
    C'est comprendre que pour aujourd'hui ce moment est fini
    C'est attendre encore la douceur de nos émois
    C'est apprendre par cœur à me passer de tes bras
    Tout en me disant tout bas
    Que je ne pense plus qu'à toi
    Que je ne peux me passer de toi

    Que je t'aime toi et seulement toi...

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    Envie de...

    Tes lèvres brûlantes sur ma poitrine
    Tes mains parcourant mon corps
    Tes cheveux caressant mon ventre
    Tes bras me serrant tendrement
    Nos jambes s'emmêlant sensuellement
    Et puis...

    Serre-moi fort...
    Envie de toi...

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    Je tue le temps, mais ce temps-là, sans toi, me tue
    Je n'en peux plus, d'attendre là, toujours si loin de toi
    Je suis dans ta vie cette autre histoire
    Tu es dans ma nuit ma lumière, mon espoir
    Je t'attendrai plus que jamais
    Je t'attendrai et déjà j'aimerais
    Te serrer dans mes bras
    Me blottir contre toi
    Te murmurer tout bas
    Que tu celle qui me fait vivre
    Que tu belle à me rendre ivre
    Je t'envoie mon frêle sourire
    Pour qu'il éternise en toi le désir
    Je t'envoie mes lèvres
    Pour qu'elles se posent sur les tiennes
    Et parmi tous ces baisers que je sème

    N'oublie pas que je t'aime...

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    Viens...
    Viens, toi que j'aime, que je t'attire à moi
    Bouleverse ma vie et capture mon coeur

    Viens...
    Un ailleurs, un paradis, une pluie de désirs
    Interdits, démentiels, de passions effrénées

    Viens...
    De tes lèvres sourires, de ta voix langoureuse
    Laisse-moi m'envoler pour que mon âme exulte

    Viens...
    Que mes sens t'obéissent, inexorablement
    Et que mon corps se donne, se damne et s'abandonne

    Viens...
    A tes tendres caresses et tes étreintes fougueuses
    Mes rêves les plus fous sont à jamais les tiens

    Un mot, rien qu'un seul : "Viens"...

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    Toi que j'aime. Toi qui me suis depuis toujours dans l'ombre de mon ombre, toujours derrière, toujours discrète, mais bien là, quelque part, en moi. Pendant tellement d'années je t'ai tant attendue, tant espérée, tant désirée.

    Et maintenant, tu es là, toujours dans l'ombre, dans l'ombre de mon cœur, dans le creux de mon âme.

    Je t'aime aujourd'hui comme si j'avais l'impression de t'aimer depuis toujours. Nos coeurs se complètent si parfaitement, nos corps se ressemblent et s'assemblent si sensuellement.

    J'aimerais tellement que la vie nous permette un jour de nous rapprocher davantage...

    Tu me manques. Chaque jour, chaque minute et chaque seconde, je te voudrais là, à mes cotés, pour partager mes joies et mes peines, mes souffrances ou mes rires. Je te voudrais là, à chaque instant de ma vie, à chaque respiration, à chaque souffle, à chaque soleil qui se lève, à chaque saison que je traverse.

    Sans toi, je ne suis rien ou peut-être pas grand chose. Juste un clown qui, sous son masque, tente des prouesses pour faire taire ton absence et des arabesques pour déjouer sa tristesse.

    Pardonne-moi si j'ai tant de mal à poser mes mains sur toi parce que je sais les caresses d'autres mains sur ton corps juste avant les miennes, parce que je sais que l'empreinte des miennes sera si vite recouverte des siennes.

    Je t'aime, toi qui es comme une soeur jumelle enfin retrouvée, rejointe, une âme-soeur qui a su retisser cet invisible lien de soie. J'ai l'impression que mon amour pour toi ne cesse et ne cessera jamais de grandir.

    Je ne trouve même plus de mots. Les miens me paraissent tous si fades, sans relief, sans émotion, alors que je souhaiterais les plus délicieux pour toi, les plus exquis.

    Et pourtant, de l'émotion, tu m'en donnes, à chaque phrase que tu m'écris, à chaque mot que tu prononces, à chaque sourire que tu déposes sur mon visage, à chaque « je t'aime » que tu confies à mon cœur.

    Je voudrais me coucher et toujours me réveiller à tes cotés. Je voudrais partager tous mes trajets, tous mes repas, toutes mes sorties avec toi. Je voudrais m'émouvoir à regarder le ciel et les oiseaux avec toi. Je voudrais ne jamais avoir à me passer de tes bras, de tout toi.

    J'ai toujours envie de te serrer si fort contre moi. Envie de t'embrasser, de t'étreindre et de t'enlacer. Envie de te murmurer les mots les plus beaux, les plus doux, les plus fous. Envie de te caresser et de t'effleurer. Envie de lire le plaisir dans ton regard. Envie de partager les larmes de nos jours difficiles et les douceurs de nos instants de bonheur.

    Envie... J'ai juste envie d'être avec toi, pour toujours, parce que moi, je t'aime pour de vrai...

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    Retrouver ce frisson ultime
    De tes caresses sur ma peau
    Retrouver le bouillonnant tumulte
    De mes sens éveillés
    Par tes mains sillonnant mon dos
    Jouant au plus profond
    De ces petits points de lui
    Qui cambrent mes reins épris
    Et m'arrachent ces tous petits cris

    Comment te dire à quel point
    La magie de tes mains m'ensorcelle
    Et comment dans le feu qui m'inonde
    Je quitte un peu le monde
    Pour gagner celui des étoiles
    Puis retomber en chaudes larmes
    Chaleur des mes émois transis
    Et finir la tête sur ton épaule
    En une violente jouissance...

    Je t'aime...

     

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    A celle qui hante mes jours et mes nuits...

    Connaître déjà tellement de manque de toi
    Vivre déjà tellement d'angoisses et d'émois
    Nourrir mon coeur de déjà tellement de pleurs
    Mais avoir déjà vaincu tellement de mes peurs

    Je veux encore entendre ta voix
    Je veux encore te sentir contre moi
    Et peu m'importe ce que diront les autres
    Et peu m'importe ce que dira ton autre
    Tu es arrivée par hasard dans ma vie
    Tu es arrivée en retard dans mes nuits

    Même si la vie ne nous permettra jamais de vivre ensemble
    C'est toujours blottie au creux de mes bras que tu trembles
    Et lorsque nos corps déchirés doivent se séparer
    Nos âmes, elles, enchevêtrées, ne peuvent se dénouer

    Chaque seconde que je vis me sépare un peu plus de toi
    Dans chaque endroit où je suis, où je vais, tu es
    Mais dans chaque lieu ou je vis, ton image s'enfuit
    Un peu plus à chaque fois de moi
    Un peu plus à chaque fois de nous
    Seules nos promesses virevoltent au-dessus de nous
    Seules nos promesses nous guériront de tout

    J'aime t'aimer pour t'espérer
    J'aime t'aimer pour te désirer
    Je te veux maintenant, aujourd'hui
    Car je t'aime maintenant et à l'infini...

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    Il est des bonheurs qu'on ne peut exprimer tant ils sont immenses
    Des plaisirs qu'on ne peut oublier tant ils sont démesurés
    Des paradis de douceur et de tendresse
    Dans lesquels j'aime à me perdre et à rêver
    Entre tes bras, sereine et pourtant si fiévreuse
    Apaisée et pourtant si nourrie de tourments...

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    Ta peau est un délice de douceur, une merveilleuse friandise dont je suis devenue dépendante.

    J'ai toujours cette envie, très profonde en moi, de te toucher, de te caresser, langoureusement, sensuellement, de sentir ton corps, enlacé au mien, de ressentir ses vibrations, ses frissonnements, de percevoir, au-delà de ta poitrine, les battements affolés de ton cœur, le tumulte de ta chair enflammée, décadente confusion de tes sens impatients...

    Et ce besoin de t'effleurer de mes lèvres, de mes mains, d'embraser ton être tout entier, de discerner l'agitation de tes paupières, la cambrure de tes reins, le frémissement de ta bouche, jusqu'au désir qui n'en finit pas de grandir et de soulever ta poitrine gonflée, jusqu'à tes larmes, ultime soulagement de cet émoi, jusqu'à ton charme, abandonnée, apaisée, endormie, entre mes bras...

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    Pourquoi j'ai peur d'écrire ce rêve
    Ce rêve-là... Sais pas...
    Peur de ta peur je crois...
    Pourtant pas la première fois
    Qu'il vient
    Déjà écrit même... une fois
    Mais autrement...
    Autrement...
    Nue, tu es nue,
    Je suis nue...
    C'est mon rêve
    Mais c'est toi dans ce rêve...
    Tu t'approches
    Et là...
    Tu deviens une boule
    Toute fragile, recroquevillée
    A mes pieds
    Comme un poussin
    Sans sa coquille...
    Et moi je suis là
    Je vois cela
    Je ressens
    Je respire un grand coup
    Mais j'étouffe
    Qui suis-je moi devant cela ?
    Une peur, des larmes
    Un bouleversement...
    Je serre les poings, les yeux
    Je lève la tête
    Une force immense m'envahit
    Puis je viens à toi
    Je recouvre ton corps
    De mon corps
    Je deviens la coquille
    Que pour moi tu enlèves
    Cette coquille qui te réchauffe
    Qui te calme
    Qui t'aime au plus profond
    Qui veut être là chaque fois
    Qu'elle ressentira ce besoin en toi
    Mais qui te veut libre
    De ne plus avoir besoin d'elle...
    Elle sait qu'elle a sur toi
    Un pouvoir immense
    Celui de l'amour
    Celui du cœur
    Qui te donne envie de dire oui...
    Oui simplement de dire oui...
    Malgré tout
    Malgré tout...
    De oui en oui
    De oui en non
    De non en oui
    Envie d'avancer
    Envie de te battre
    Envie d'être en vie
    Envie d'être envies
    Envie de ressentir
    Saura-t-elle...
    Je t'aime, Je t'aime...

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    "Sentir encore monter la chaleur
    De ton corps contre mon cœur
    De ta peur contre ma peur
    Poser ma joue sur ton épaule
    Encore nos mains qui se frôlent
    Encore nos yeux qui se cherchent..."

    Zazie "Slow"

     

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    Des mots pour remplir ton cœur insatiable
    Des caresses pour couvrir ton corps de plumes
    Des baisers pour baigner ton être d'envies
    Je t'aime...

    Tu es en mon cœur, en ma vie, en mes pensées
    Tu es mon manque, ma faim, mes joies, mes élans
    Mes peurs, mon sang dans mes veines
    Je t'aime toi qui réussis à être tout ça
    Et plus encore...

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  •  


    Car il y a ce cœur
    Qui plonge dedans le mien
    Pour y mettre des larmes
    Il y a ces émotions
    Communion des esprits et des sens
    Il y a ce vertige, si puissant
    Tumulte en ma chair et mon âme
    Je sais qu'à toi je peux
    Tout confier et tout dire
    Amour confidente et complice

    Tout un trop plein de tendresse
    C'est quoi entre nous?
    L'au-delà des mots
    L'au-delà de l'amour
    Pour l'au-delà des jours
    Si parfois de mes mots je te blesse
    J'en ai profonds regrets
    C'est que simplement je t'aime
    A n'en pouvoir me taire...

     

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  •  

    Je voudrais dans ton regard
    Epuiser le mien tout entier
    Je voudrais de mes sourires
    Habiller ton visage
    Je voudrais de mes caresses
    Enflammer tout ton corps
    Je voudrais de mes mots
    Vider les maux de ton âme
    Je voudrais de milliers de fleurs
    Habiter ton cœur en pleurs
    Parce que je lis dans le fond de tes yeux
    Que tu m'aimes
    Jusqu'au bout de toi-même...
    Et pour que tu lises dans les miens
    Que je t'aime
    Jusqu'au bout de moi-même...

     

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    Moi non plus, je ne peux plus vivre sans...

    Mes mains caressant ton dos
    Mes yeux perdus dans ton regard
    Mon front contre ton front
    Mes mains dans tes cheveux
    Ta joue sur mon épaule
    Tes mains sur mon visage
    Tes larmes dans mon cou
    Tes lèvres sur ma peau
    Tes bras autour de moi

    Notre corps à corps
    Notre cœur à cœur

    Toi aussi, tu as pris possession de tout mon être... Jusqu'au vertige...
    Sensuelle aliénation, voluptueuse folie.
    Garde-moi prisonnière de ton corps, je resterai prisonnière en ton cœur...

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    Comment pouvoir revenir à la réalité après toi? Comment réintégrer mon corps encore tout imprégné du tien? Comment conserver tes caresses, ta peau, ta douceur, ta force? Comment retenir en moi la sensualité de nos nuits, de nos réveils en étreintes ?

    Deux corps qui ne forment plus qu'un, deux formes attendrissantes, que la pâle lueur dissimule à peine et que mes yeux touchent encore, noyés au fond des tiens, comme mes mains dans tes cheveux.

    Des "je t'aime", murmurés du bout des lèvres, aux "viens" susurrés, bouleversant le silence, il a toi, étendue, là tout contre moi, à demie-nue, douce, offerte, tes paupières à demi-closes, ton sourire qui me fait fondre de désirs.

    Il y a moi, avec cette envie de faire vibrer tout ton corps sous mes mains, ce besoin de sentir ta chaleur rassurante, ta présence apaisante, d'essuyer les larmes de ton plaisir de mes lèvres fiévreuses, de te serrer si fort pour épancher tes peurs.

    Il y a nous, dans notre ailleurs, où la magie opère, un ciel plein d'étoiles, envoûtant nos ébats, que nous deux seules savons voir, au travers de nos émois, un ciel immense et calme qui reçoit tes soupirs, le ciel de nos nuits câlines et libertines, nous drapant de désirs.

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