Besoin de tendresse, de douceur...

Hantée par le manque de toi, tu me tortures de l'intérieur, je n'attends que toi, je te désire si fort. Envie de ton corps, de ta saveur. Je pense à toi, me désirant si fort que tu en trembles, et moi j'attends que tu viennes me surprendre, impatiemment.

Dans si peu de temps, tu seras sur moi, nos peaux se confondront en de délicieux émois, tu t'élanceras, tu m'enlaceras, ne pouvant plus tenir, tu m'embrasseras à pleine bouche, fougueusement, avidement. Nos langues se caresseront, nous nous embrasserons si fort que nos lèvres en souffriront.

Tes mains, attirées par mon corps me parcourront encore et encore, je m'accrocherai à toi, te rendrai tes faveurs, nous pourrons nous toucher sans aucune pudeur. Tu me goûteras, me lècheras, me dévoreras de ce regard intense, nos corps vibreront d'un désir encore inassouvi, la sueur perleras sur nos fronts, brasier qui nous enflammera.

Notre ardeur sera si vive que notre union sera comme animale, bestiale, je te mordrai les lèvres, tu me grifferas le cou, je t'appellerai et tes reins me répondront, je t'inonderai de mes larmes de souffrance et de joie mêlées, et dans un dernier souffle, tu poseras ta tête sur ma poitrine endolorie, je caresserai ton visage, toi tu m'offriras le plus tendre des baisers.

Repousser les limites du désir, s'abandonner à nos pulsions.

On se regarde, on se sourit, on s'apprivoise, on se dévore.

La peau est un herbier où les lèvres se posent, le corps est un pays où les langues s'amusent.

Goûter au miel que nos bouches provoquent, apprécier ces saveurs de l'alchimie des chairs.

On se fait languir, soupirs d'impatience. On se fait frémir, déstabilisation des attirances.

Se régaler du feu qui nous pourlèche, visages crispés par tant d'ardeurs.

On s'approche, on s'accroche, on se retrouve, on se nourrit...

Dira, dira pas
Je dis tout haut ce que tu penses tout bas
Je ne cache pas ce que tu ne dévoiles pas

Je dis "appelle-moi", tu dis "ne m'attends pas..."
Je dis "attends-moi", tu dis "je suis partie déjà..."
Je dis "tu es à moi", tu dis "tu me connais, voilà..."

Je dis "je veux tes lèvres, ton corps, je veux tout toi, je te désire"
Tu dis "je veux faire l'amour avec toi, oui mais après tu vas souffrir..."

Quand toi tu dis "j'ai envie de toi", moi je dis "je t'aime..."

Ma main cherche ta peau, un frisson parcourt ma nuque, suspendue à tes yeux, j'aspire à de lents et langoureux mouvements.

Poitrine farouche qui se tend, préludes imminents, épanchements.

Ma bouche vient tenter quelques gourmandises, mes lèvres te mordillent.

Gorge serrée qui se contracte, abandon, effusions, entracte...

La folie prend possession de mes sens
Avec toi, je me laisse aller à la décadence
Tout ton corps est remède à nos souffrances
Tout ton être est territoire de nos errances

Je ne veux plus rester sage
Je veux être dépravée
Et pouvoir lire sur ton visage
A mon égard, ta perversité

Je veux abolir la grâce et la vertu
Au profit de ta chair et de ta couche
Je veux périr contre toi, nue
Et que tu enflammes ma bouche

Je veux de la démesure, de la déraison
Je veux tout ce qui est en toi, créature de braise
Je veux ta peau, parcourue de mes frissons
Je veux ton âme en transe, jusqu'au malaise

Retenez-moi près de vous, pénétrez jusqu'à mon âme
Ne me laissez plus le choix, maître de mes désirs
Que votre regard me transperce telle une lame
Enchaînez-moi à vous, empêchez-moi de partir

Jetez-vous sur moi, mon corps vous appartient
Donnez-moi toute votre douceur et votre rage
Soyez tendre, soyez fou, sage ou libertin
Dépêchez-vous, prenez-moi en otage

Vous avez faim, votre bouche se promène
Vous avez soif, votre langue se démène
Suppliciez-moi tout en chaleur
Torturez-moi avec langueur

Emprisonnez-moi de vos bras
Déshabillez-moi
Caressez-moi
Pénétrez-moi
Plus loin
Plus fort

Votre langue dans ma bouche
Votre sexe dans le mien
Et ma voix qui supplie
Encore, je vous aime
Je suis bien...

Tes mains se posent sur mes épaules, tes lèvres effleurent délicatement mon cou, ta langue glisse sur ma peau. Les yeux fermés, je suis seule au monde, seule avec toi. Enlacée entre tes bras, serrée contre toi, contre ton corps si chaud, simplement désireuse de tes caresses en cet instant magique.

Tes mains se posent sur mon visage, ton doigt sur mes lèvres, elles glissent le long de mon cou et mon corps est parcouru de frissons. Nos visages se rapprochent, nos lèvres se retrouvent pour un baiser des plus sensuels, ta langue mêlée à la mienne.

Tes mains se posent sur mes seins, tes doigts qui jouent les font durcir de plaisir. Mon premier gémissement est une invitation à les embrasser à pleine bouche.

Tes mains descendent le long de mes cuisses, ta bouche délicatement se pose à l'entrée de mon intimité que ta langue découvre avec tellement de tendresse.

Tes mains caressent mes fesses. Premiers frissons de l'orgasme parcourant mon corps. Ta langue me pénètre en douceur. Tes doigts me font vibrer de l'intérieur. Onde de bonheur qui transperce mon ventre, chaleur immense qui envahit tout mon être. Extase et jouissance...

Vous ne pouvez plus résister, votre main s'avance vers mon cou et me caresse délicieusement les épaules et la nuque.

Très lentement, elle descend le long de mon dos, pour venir déposer un baiser humide juste au-dessus de mes fesses, à la cambrure de mes reins.

Un frisson au contact de vos doigts qui en dessinent le contour. Je frémis sous vos caresses. Je me cambre sous l'errance de votre langue à l'assaut de quelques gouttes de plaisir.

Rythme langoureux de son va-et-vient démoniaque. Tout mon corps se raidit, se durcit, se gonfle... Dans l'attente...

Venez me goûter, me savourer
Glissez votre langue entre mes lèvres
Ecoutez-moi gémir de ce baiser brûlant
Regardez-moi fermer les yeux de plaisir
Et cueillir la saveur de nos salives mêlées
Mordez à pleines dents dans mon sourire

Venez m'embraser, me déguster
Sillonner tout mon corps de très tendres baisers
Effleurer de votre langue ma bouche au goût sucré
Mordiller mes lèvres comme un fruit, vous en délecter
Suspendre votre souffle à n'en plus pouvoir respirer
Glisser savamment vos mains sous mes reins cambrés

Consumez-moi du désir qui brûle en vous

La suite se trouve  ici chez DCSL

Regardez-moi, désirez-moi

Effleurez-moi du bout des doigts

Frôlez-moi de votre bouche

Caressez-moi de vos lèvres

Savourez-moi de votre langue

Etouffez-moi de vos baisers

Enserrez-moi de vos cuisses

Ecrasez-moi de votre torse

Agrippez mes seins de vos mains

Pesez sur moi de tout votre corps

Epuisez-moi de vos ardeurs

Ereintez-moi de vos envies

Glissez-vous sur moi

Immiscez-vous en moi...

Vaciller de plaisir, étreinte langoureuse qui me laisse alanguie et à votre merci. Sentir sur ma peau la douceur de vos lèvres et voir dans vos yeux le reflet de mes désirs.

Cache-cache entre les draps

Ondulations sensuelles

Oscillations charnelles

Provocations mutuelles

Incitations plurielles

Excitations sexuelles

Cherchez-moi, trouvez-moi, je suis là, je me cache, je me dévoile, impudique et insensée, venez me bousculer, me renverser, venez me découvrir et me surprendre.

Prête-moi ton corps
Pour en faire un calice

Si je me joue du sort
C'est que j'aime ta malice

L'amour n'est pas mort
Il se fait notre complice

Dis-toi simplement qu'il dort
Avant de révéler ses délices

Je t'en prie serre-moi fort
Mets ta main entre mes cuisses

Fais attention je mords
Si ta langue trop bas s'immisce

Fais-moi l'amour jusqu'à l'aurore
Plongeons nus dans ce précipice

Tu sais que tu aurais bien tort
De ne pas pénétrer mes abysses

Car si près de moi tu t'endors
Ce sera repu de mes supplices

Douceur qui dégouline
Glisse, glisse entre vos doigts

Mon corps se cambre et s'incline
Vite, vite, léchez-moi

N'en perdez pas une miette
Perdez seulement la tête

Voyez ce miel appétissant, sentez cette douceur qui inonde votre langue, coule au fond de votre gorge.

Véritable supplice, vous ne résistez pas à la tentation, vous languissez de ce nectar alléchant, de cette saveur inoubliable, de mon sein sous vos ardeurs, qui gonfle d'impatience et de désir.

Plus les gouttes s'affolent et plus l'envie vous submerge, plus mes frissons étouffés vous cajolent et plus votre appétit devient féroce.

Parcourez-moi de votre langue experte, réchauffez-moi de vos lèvres brûlantes, promenez-vous sur mon corps en émoi, explorez-moi de l'intérieur...

Je voudrais que tu embrasses ma bouche
Même si je sais que c'est louche

Je voudrais que tu poses sur mes lèvres
Les tiennes comme dans un rêve

Je voudrais tes baisers dans mon cou
Que ta main caresse ma joue

Je voudrais que tu me serres dans tes bras
Pour ne plus jamais avoir froid

Je voudrais que tu caresses ma peau
Comme le plus doux des cadeaux

Je voudrais que tu murmures des mots d'amour
Tels les frissons qui me parcourent

Je voudrais t'offrir mon corps
Si tu es d'accord...

Un matin où je n'avais envie de rien. J'ai croisé un jour son regard noir dans ce couloir. Fondante sous mon sourire enjôleur et coquin, Elle s'est abandonnée à sa faim d'un amour serein. Un sourire illumina son doux visage, un rayon de soleil a traversé mon cœur, nos regards se sont perdus dans ce monde pas si sage, qui nous emmène vers le bonheur.

Ce regard plein de tendresse était comme une promesse, dont rien ne pouvait me détourner, je n'ai pu que l'inviter, à nos désirs partagés, dans une soirée d'allégresse. Sans résister, Elle s'est laissé emmener. Elle...! Ses longs cheveux bruns ondulés, flottait autour d'Elle comme une auréole dorée. Son visage fin et bien dessiné que j'admirais sans cesse, plus belle qu'une princesse, Elle était une déesse.

Au son d'une musique irlandaise nous découvrions de nouvelles sensations. Nous avons dansé, chanté, et même nous nous sommes marchés sur les pieds. Belle soirée de complicité qui ne devait pas s'arrêter. Je l'ai raccompagnée, Elle m'a invité, nous étions plein d'attentions. La grâce naturelle de ses déplacements était délicieuse.

Nous nous frôlions, il n'y avait pas de hasard. Alors doucement, je l'ai attirée contre moi, ce soir il y aura des envieux. N'est-il pas plus douce sensation que le premier regard ? Que le premier baiser ? Que la première caresse ? Premières empreintes du désir qui nous empresse ? De mes caresses, j'ai dessiné son corps dans ma mémoire, écoutant le souffle de son histoire qu'un amant a laissé choir.

Elle dit oui avec le corps, Elle dit non avec le cœur, c'est tout à son honneur. Et même si mon cœur s'emballe et que j'ai mal, je lui donne ma tendresse comme une promesse. Même si ce n'est pas banal et ne restera pas dans les annales, à son grand regret, nous sommes restés dans la sagesse. Elle... L'espace d'une soirée sans trêve, j'ai tout de même été son rêve...

Texte : Samval

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J'aime ce blog, j'aime cette femme, DCSL, Douce Coquine Sensuelle et Libertine. Mante religieuse, amante ténébreuse, gourmande, délicieuse et mûtine, ses écrits sont comme la caresse d'une nuit torride plus que câline.

Les yeux qui pétillent, les lèvres entrouvertes, le pas que tu écoutes, la silhouette sur laquelle tu te retournes, le regard que tu devines, que tu attends, les mots qui te font chavirer, les taquineries qui te rendent impatiente...

Croque-le comme on mord dans un fruit défendu
Suce-le comme un bonbon pour une enfant pas sage
Que ta langue le parcoure sans aucune retenue
Que tes mains le dévorent sans trop faire de ravages

Si ton corps le désire, chuchote-lui ta passion
Si ta peau le réclame, oublie tes interdits
De ces silences entre vous, qui tremblent d'émotion
Fais-toi plaisir encore, enivre-toi de lui

Tu t'insinues et tu t'immisces
Tu glisses entre mes cuisses

Tu t'ingénues et tu persistes
A vouloir poursuivre ta visite

Tu impromptues, tu érotises
Mon charme fait ta gourmandise

Tu continues et tu m'attises
Et moi j'adore faire des bêtises

Exquise esquisse de vous en ce portrait, délicieuse envie de vous caresser de mon regard, de vous effleurer de mon sourire, de poser mes lèvres sur votre visage en noir et blanc, pour en réchauffer les couleurs.

Agréable sensation que celle de vous toucher au travers du verre, que celle de vous étreindre au dehors du cadre, que celle de vous enlacer par-delà les contours de votre mystérieuse silhouette.

J'aime vous presser contre mon cœur, j'aime vous étouffer de mes sanglots, j'aime vous désirer sans vous côtoyer, j'aime l'idée de vous appartenir en filigrane.

Impatiente de ce moment où vos yeux m'observent à la dérobée, empressée de briser les apparences, de vous ravir un baiser, de me lier à vous pour une éternité, dans ce cachot de glace qui deviendrait le nôtre, prisonniers à jamais de nos envies, liés pour toujours, seuls mais ensemble, rien que vous et moi, à l'abri des tentations des autres.