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    A vous tous qui venez parfois sur ce blog
    Tout doucement, sur la pointe des pieds
    Discrets témoins de nos tendres secrets
    A Vous tous qui ne me connaissez pas
    Moi qui viens tout comme vous,
    Tout doux sur la pointe des pieds
    Dispenser de mon cœur les tendres secrets
    A vous tous je voudrais juste
    Parler d'elle, de nous...
    Elle qui m'est entrée dans le cœur
    Moi qui ai si peur qu'elle en sorte...
    Vous dire combien ses yeux et son regard
    Sont le livre de son cœur,
    Le livre de ses peurs aussi
    Vous dire combien ce livre-là
    Met de larmes dans mes yeux
    Et de sourires sur mon visage
    Moi qui la cherchais dans la nuit...
    Je le lis, le relis sans jamais me lasser
    Comme une histoire sans fin...
    Vous dire que pour moi qui suis là
    Juste moi, juste qui ?
    Devenir là, d'un coup, tout pour elle
    « Son unique repère »
    Me donne le vertige, le grand frisson
    Moi juste moi, juste qui ?
    Avec soudain
    Elle qui croit en moi
    J'ai si peur de pas savoir, de pas pouvoir...
    Vous dire que pour mon cœur
    Ces émois-là,
    Avant elle
    Ca n'existait pas
    Non
    Ca n'existait pas...
    Je l'aime
    A ne plus savoir le dire

     

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    J'aime
    Nos rendez-vous secrets,
    Nos rencontres cachées,
    En d'insolents mensonges,
    Vivre notre abandon.

    J'aime
    Nos deux corps effrontés,
    Aux discrètes alliances,
    Ces ruses impertinentes
    La magie des amantes.

    J'aime
    Notre habit de mystère,
    T'avoir pour moi entière,
    Te garder prisonnière,
    Toi, mon unique repère.

    Je t'aime

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    Elle est comme un vertige éblouissant.
    Elle me submerge d'une vague d'émotions assourdissantes.
    Je ferme les yeux et c'est tout mon corps qui palpite, ressuscite.
    Mon souffle se coupe, ma respiration se noie,
    Suspendue à tes lèvres, figée à ton regard.
    Une tornade de frissons parcourt mon corps.
    Une myriade d'étoiles danse sous mes paupières closes.
    Un tourbillon de désirs emporte mes pensées.
    L'incroyable force de cet orage bouleverse tout mon être et mon âme.

    Je vis mes jours comme emplie de toi,
    Envahie de cette hallucinante brûlure au creux de mon ventre,
    Cette « douce jouissance », comme tu l'appelles.
    Et c'est elle qui me rappelle ta présence en moi.
    Et c'est sa puissance qui me rappelle la force de mon amour pour toi.
    Et c'est sa vigueur qui rend ton souvenir inaltérable, ton empreinte indélébile.
    Et qui nous unit à jamais sous le sceau éternel de nos amours mêlées.

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    Ton absence me fait froid dans tout le corps.
    Elle est comme un grand vide qui m'envahit.
    Pourtant, je sais que tu es toujours en moi, là, quelque part.
    Je sais que tu prends toute la place dans mon cœur.
    Mais mes mains sont glacées de ne pouvoir te toucher,
    Des perles de givres s'accrochent à mes cils, larmes d'hiver,
    Et de longs frissons pénètrent mes chairs désertées de ta peau.

    Même si tu vis en moi,
    Même si tu fais partie de moi,
    Je ne peux respirer sans ton souffle,
    Je ne veux résister sans tes soupirs,
    Je ne sais m'endormir sans ton sourire.

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    J'arrive pas à dormir... La nuit est là, mais si blanche...

    Ce soir c'est comme si tu avais déposé ton cœur à mes pieds... un cœur "toupareil" au mien, blessé, affamé d'amour et de tendresse, et que ce petit cœur s'était mis à hurler de toutes ses larmes :

    "Ramasse-moi,
    Apprivoise-moi,
    Protège-moi
    De toutes tes forces,
    De toute ton âme...
    Fais-moi grandir,
    Montre-moi le soleil,
    Redonne-moi la vie
    Celle du rire et des larmes..."

    Alors là, c'est le mien qui a explosé... explosé...
    C'est un terrible vertige en moi. Je réalise ce que je suis pour ce petit cœur si fragile...
    Je réalise ce qu'il lui faut d'amour, d'amour et de confiance pour se mettre à nu ainsi et se donner à moi...
    Alors, je tombe à genoux près de lui...
    Je le prends tout tendrement dans mes mains. Je le mets dans le mien...
    Si je pouvais le mériter... ne jamais le décevoir...
    Puisse t-il s'y sentir bien... et ne plus jamais le quitter.

    Là, les deux cœurs se mettent à se parler, à s'écouter, à si chaudes larmes...
    Leurs seuls mots?... Ceux d'une profonde, très profonde... reconnaissance...

    Oh comme je t'aime toi... Merci de m'avoir donné ton cœur...

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    Bientôt, je serai entre tes bras...

    En attendant, les heures me paraissent interminables et le temps insoutenable à subir.
    Je serai bien, là, tout contre toi.
    Une douce chaleur envahira nos cœurs, une tendre caresse sillonnera nos corps.
    Je sais maintenant que nous nous appartenons et que nos mains sont liées, à jamais...
    Tu sais aujourd'hui que nos peurs ne sont plus que des ombres soufflées, qui n'envahiront plus ce cocon de tendresse.
    Extase, béatitude. Sensualité de ce partage sans lassitude.
    Jamais, je ne voudrais te perdre. Jamais je ne voudrais devoir te quitter.
    Un sentiment d'immensité est né en moi à l'instant où j'ai posé mes larmes dans ton regard, à la seconde où les tiennes ont transpercé mon âme...

    Je t'aime... à...

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    En lisant tes « je t'aime »
    Mes yeux se ferment
    Je suis comme envahie de toi
    Une brûlure intense
    Une tornade de frissons
    Tout le corps qui explose
    Et l'âme captivée
    Par tant d'immensité
    Et le cœur qui s'abandonne
    A tant de désirs habités

    En lisant tes « je t'aime »
    La tête m'en tourne
    Fièvre effroyable
    Nuits agitées
    Je suis bouleversée
    Je suis émue
    Je suis touchée
    Là, en plein cœur
    Là, en plein corps
    Et j'adore...

    En lisant tes « je t'aime »
    Tout s'efface autour
    Juste ce sentiment
    De t'appartenir
    De te garder
    Au plus profond de moi
    Je suis remplie de toi
    A n'en plus pouvoir vivre
    Je suis nourrie de toi
    A m'en rendre presque ivre

    En lisant tes « je t'aime »
    Je suis vidée de tout
    Tu aspires toutes mes forces
    Jusqu'à m'épuiser de toi
    Langoureux séisme
    Qui se déchaîne
    Qui me démène
    Qui me torture
    Et qui dure
    Des heures interminables
    C'est à n'en plus finir
    De te sentir en moi
    Ta force est insoutenable
    Si tu savais comme je t'aime...

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    En lisant tes « je t'aime »
    Je ferme les yeux
    Je laisse entrer
    Pire qu'une ivresse
    Pire que du bonheur
    Pire qu'une chaude douleur
    Pire qu'une douce jouissance
    Une "envahissance"...

    Oui, comme envahie de toi
    Mon cœur éperdu, ému
    Tout tordu, s'emballe ....
    De ces mots qui s'affichent
    Déboulent tant d'images
    Images de toi, de nous
    Jusqu'au bout de nous
    Jamais ne passent
    Jamais ne lassent
    Mais enlèvent mon corps
    Respiration profonde
    Souffle long...

    Alors
    Juste dire les larmes
    Là, juste au bord des yeux
    Cette boule qui explose
    Ce long frisson
    Ces tremblements
    Qui couvrent tout mon corps
    De toi
    Juste de toi
    Encore de toi
    Mes yeux se ferment
    Mes yeux se crispent
    Pressant mes larmes
    Oh... Ne plus bouger
    Ne plus toucher à rien

    Pour ne rien effacer
    Laisser venir
    Laisser penser
    Laisser rêver
    Laisser aller
    Et même
    Laisser pleurer...

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    Sans la caresse d'une âme
    Un vent glacial engourdit mon corps
    La caresse de tes doigts
    Chasse en moi tous mes hivers

    Sans la douceur d'une femme
    Un froid viscéral me parcourt encore
    La douceur de ta peau
    Me fait oublier mes chimères

    Sans la chaleur d'une flamme
    Mes sens éteints semblent même morts
    La chaleur de ton amour
    Bouleverse mon âme toute entière

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    Il a suffi que nos mots se couchent pour allumer des soleils
    Il a suffi que nos corps se touchent pour étreindre un arc-en-ciel

    S'il existait des murailles, aussi hautes qu'imprenables, des tour infernales de détours en dédales, je suivrais ce chemin que tes sens ont ouvert, pour arriver jusqu'à toi et t'ouvrir, de mes bras, une antre dévoilant le trésor, convoité mais intact, qui reste à ta merci, lorsque je dirai "oui".

    S'il existait des passerelles, même interdites, même périlleuses, même éphémères, je les emprunterais toutes pour parvenir jusqu'à ton souffle, sans te laisser choisir entre le désir et l'amour, sans résister je crois, à la douceur de nos nuits velours, sans comprendre ce qui, en moi, éveille cette passion que tes lèvres ont ancré en mon cœur.

    S'il existait des larmes, assez fortes pour te retenir, je ferai de mes yeux ta prison, pour que seul ton regard et l'alliance de cette fièvre, nous consument toi et moi, poursuivant notre rêve, sans souci de ces heures de sommeil avortées, dans l'écrin de tes bras, sur mon corps en émoi refermés.

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  • David Vendetta feat Rachael Starr "Bleeding Heart"


    La sensualité d'une voix...
    La douceur de ton regard...
    La féminité d'une caresse...
    Ouvre ton cœur...
    Ferme les yeux...
    Et imagine...
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    Je te disais
    Plein de choses
    Tout doucement
    Tout tendrement
    Pour t'apprivoiser
    Pour tourner pour toi
    Les mots de l'autre côté
    Celui qu'est pas tout noir
    Celui qu'est au soleil
    Celui qu'est à la vie
    Celui des enfants aussi

    Et...

    Tout doucement
    Là, entre mes bras blottie
    Ton dos tout chaud contre moi
    Mon menton dans ton cou
    Ma main dans tes cheveux
    Juste comme ça...
    Juste nous

    Toi....

    Toi dans cette nuit
    Tu te laissais aller...
    Tu écoutais,
    Peu à peu,
    Tu devenais Reine
    Pas une reine comme la tienne
    Non, une Reine,
    Comme celle qui pousse dans les prés
    La plus belle
    La plus blanche
    La plus grande ....

    Voila ce que je te disais....
    Je t'aime

     

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    Je t'ai dit aussi moi ce que j'avais vu,
    Dans cette nuit ou tu m'as pris mon sommeil.
    Deux mains dans la rue, liées,
    Par nos doigts dans les doigts, serrés.

    Des pensées qui glissent vers d'autres pensées
    Et se trouvent sans même se parler.
    Nos pas qui d'être si complices,
    Se moquent d'où ils vont, d'où ils sont.

    Nos pas qui soudain s'arrêtent,
    Parce que s'arrête le temps,
    Pour que nos mains s'enlacent
    Et mettent nos cœurs en face.

    Nos yeux se trouvent et ne se quittent plus
    Et là, ton front contre mon front,
    Nos larmes coulent, se mélangent,
    Nos bouches s'effleurent et s'embrassent.

    Puis le monde autour qui s'en va,
    Pour ne laisser que nous dans ce temps qui s'arrête
    Le temps d'un instant de bonheur...

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    Je me suis surprise à penser à toi, à imaginer tes mains parcourant mon corps, tes lèvres embrasant les miennes.
    Un doux moment d'égarement et de sensualité partagée, un plaisir fugace et coquin qui animerait nos deux cœurs, un bonheur intense qui inonderait nos deux corps.
    Je me suis surprise à rêver de toi, à ressentir la chaleur de ta peau, le délice de ton sexe ouvert sur le mien, telle une fleur langoureuse, la caresse des tes seins sur mon ventre, et ta langue experte au plus profond de moi.
    Je ne sais quel envoûtement tu as fait naître en moi.
    Je ne sais le parfum de ta bouche, je ne sais la douceur de tes mains, je ne sais la cambrure de tes reins.
    Et pourtant je sais que je pourrais t'aimer et devenir tienne.
    Et pourtant je sais que tu pourrais m'apprivoiser et me faire reine.

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    Un fragment d'automne a emporté les couleurs de nos corps et, d'un voile pudique, a recouvert ce qui restait de Nous, draps froissés aux senteurs mélancoliques, comme ces feuilles blessées par les tourments anarchiques, du vent en gerbes artificielles et de mes passions singulières et plurielles.
    Je me souviens de toi et l'écho me répond, ton corps a faim de moi, permets son abandon.

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    Les gouttes d'eau sur ma peau, comme une douce torture qui effacerait les traces de ton corps sur le mien.
    Le ruisseau de nos peines qui affluent en amont et inondent sereinement les désirs qui nous brûlaient.
    Confondre l'eau et la brûlure de tes lèvres sur mes seins.
    Rejoindre la pluie pour oublier la censure de ton sexe sur le mien.

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    Passionnément elles,
    Rationnellement celles,
    Que l'on croit deviner,
    Sous des dessous plissés.
    Des bouches qui se mesurent,
    Des lèvres qui se murmurent.
    Des seins qui se frôlent,
    Des fantasmes si drôles,
    Que leurs sourires en disent long,
    Sur leurs vertus à l'abandon.

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    Entre rêve et réveil
    Entre amour et réalité
    Entre rêve et sommeil
    Entre amour et éternité
    Entre rêve et soleil
    Entre ton amour et ma féminité...

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    Vivante et vicieuse

    Luxuriante et plantureuse

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