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A vous tous qui venez parfois sur ce blog
Tout doucement, sur la pointe des pieds
Discrets témoins de nos tendres secrets
A Vous tous qui ne me connaissez pas
Moi qui viens tout comme vous,
Tout doux sur la pointe des pieds
Dispenser de mon cœur les tendres secrets
A vous tous je voudrais juste
Parler d'elle, de nous...
Elle qui m'est entrée dans le cœur
Moi qui ai si peur qu'elle en sorte...
Vous dire combien ses yeux et son regard
Sont le livre de son cœur,
Le livre de ses peurs aussi
Vous dire combien ce livre-là
Met de larmes dans mes yeux
Et de sourires sur mon visage
Moi qui la cherchais dans la nuit...
Je le lis, le relis sans jamais me lasser
Comme une histoire sans fin...
Vous dire que pour moi qui suis là
Juste moi, juste qui ?
Devenir là, d'un coup, tout pour elle
« Son unique repère »
Me donne le vertige, le grand frisson
Moi juste moi, juste qui ?
Avec soudain
Elle qui croit en moi
J'ai si peur de pas savoir, de pas pouvoir...
Vous dire que pour mon cœur
Ces émois-là,
Avant elle
Ca n'existait pas
Non
Ca n'existait pas...
Je l'aime
A ne plus savoir le dire
5 commentaires -
J'aime
Nos rendez-vous secrets,
Nos rencontres cachées,
En d'insolents mensonges,
Vivre notre abandon.J'aime
Nos deux corps effrontés,
Aux discrètes alliances,
Ces ruses impertinentes
La magie des amantes.J'aime
Notre habit de mystère,
T'avoir pour moi entière,
Te garder prisonnière,
Toi, mon unique repère.Je t'aime
6 commentaires -
Elle est comme un vertige éblouissant.
Elle me submerge d'une vague d'émotions assourdissantes.
Je ferme les yeux et c'est tout mon corps qui palpite, ressuscite.
Mon souffle se coupe, ma respiration se noie,
Suspendue à tes lèvres, figée à ton regard.
Une tornade de frissons parcourt mon corps.
Une myriade d'étoiles danse sous mes paupières closes.
Un tourbillon de désirs emporte mes pensées.
L'incroyable force de cet orage bouleverse tout mon être et mon âme.Je vis mes jours comme emplie de toi,
Envahie de cette hallucinante brûlure au creux de mon ventre,
Cette « douce jouissance », comme tu l'appelles.
Et c'est elle qui me rappelle ta présence en moi.
Et c'est sa puissance qui me rappelle la force de mon amour pour toi.
Et c'est sa vigueur qui rend ton souvenir inaltérable, ton empreinte indélébile.
Et qui nous unit à jamais sous le sceau éternel de nos amours mêlées.
13 commentaires -
Ton absence me fait froid dans tout le corps.
Elle est comme un grand vide qui m'envahit.
Pourtant, je sais que tu es toujours en moi, là, quelque part.
Je sais que tu prends toute la place dans mon cœur.
Mais mes mains sont glacées de ne pouvoir te toucher,
Des perles de givres s'accrochent à mes cils, larmes d'hiver,
Et de longs frissons pénètrent mes chairs désertées de ta peau.Même si tu vis en moi,
Même si tu fais partie de moi,
Je ne peux respirer sans ton souffle,
Je ne veux résister sans tes soupirs,
Je ne sais m'endormir sans ton sourire.
10 commentaires -
J'arrive pas à dormir... La nuit est là, mais si blanche...
Ce soir c'est comme si tu avais déposé ton cœur à mes pieds... un cœur "toupareil" au mien, blessé, affamé d'amour et de tendresse, et que ce petit cœur s'était mis à hurler de toutes ses larmes :
"Ramasse-moi,
Apprivoise-moi,
Protège-moi
De toutes tes forces,
De toute ton âme...
Fais-moi grandir,
Montre-moi le soleil,
Redonne-moi la vie
Celle du rire et des larmes..."Alors là, c'est le mien qui a explosé... explosé...
C'est un terrible vertige en moi. Je réalise ce que je suis pour ce petit cœur si fragile...
Je réalise ce qu'il lui faut d'amour, d'amour et de confiance pour se mettre à nu ainsi et se donner à moi...
Alors, je tombe à genoux près de lui...
Je le prends tout tendrement dans mes mains. Je le mets dans le mien...
Si je pouvais le mériter... ne jamais le décevoir...
Puisse t-il s'y sentir bien... et ne plus jamais le quitter.Là, les deux cœurs se mettent à se parler, à s'écouter, à si chaudes larmes...
Leurs seuls mots?... Ceux d'une profonde, très profonde... reconnaissance...Oh comme je t'aime toi... Merci de m'avoir donné ton cœur...
6 commentaires -
Bientôt, je serai entre tes bras...En attendant, les heures me paraissent interminables et le temps insoutenable à subir.
Je serai bien, là, tout contre toi.
Une douce chaleur envahira nos cœurs, une tendre caresse sillonnera nos corps.
Je sais maintenant que nous nous appartenons et que nos mains sont liées, à jamais...
Tu sais aujourd'hui que nos peurs ne sont plus que des ombres soufflées, qui n'envahiront plus ce cocon de tendresse.
Extase, béatitude. Sensualité de ce partage sans lassitude.
Jamais, je ne voudrais te perdre. Jamais je ne voudrais devoir te quitter.
Un sentiment d'immensité est né en moi à l'instant où j'ai posé mes larmes dans ton regard, à la seconde où les tiennes ont transpercé mon âme...Je t'aime... à...
6 commentaires -
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En lisant tes « je t'aime »
Mes yeux se ferment
Je suis comme envahie de toi
Une brûlure intense
Une tornade de frissons
Tout le corps qui explose
Et l'âme captivée
Par tant d'immensité
Et le cœur qui s'abandonne
A tant de désirs habitésEn lisant tes « je t'aime »
La tête m'en tourne
Fièvre effroyable
Nuits agitées
Je suis bouleversée
Je suis émue
Je suis touchée
Là, en plein cœur
Là, en plein corps
Et j'adore...En lisant tes « je t'aime »
Tout s'efface autour
Juste ce sentiment
De t'appartenir
De te garder
Au plus profond de moi
Je suis remplie de toi
A n'en plus pouvoir vivre
Je suis nourrie de toi
A m'en rendre presque ivreEn lisant tes « je t'aime »
Je suis vidée de tout
Tu aspires toutes mes forces
Jusqu'à m'épuiser de toi
Langoureux séisme
Qui se déchaîne
Qui me démène
Qui me torture
Et qui dure
Des heures interminables
C'est à n'en plus finir
De te sentir en moi
Ta force est insoutenable
Si tu savais comme je t'aime...
6 commentaires -
En lisant tes « je t'aime »
Je ferme les yeux
Je laisse entrer
Pire qu'une ivresse
Pire que du bonheur
Pire qu'une chaude douleur
Pire qu'une douce jouissance
Une "envahissance"...Oui, comme envahie de toi
Mon cœur éperdu, ému
Tout tordu, s'emballe ....
De ces mots qui s'affichent
Déboulent tant d'images
Images de toi, de nous
Jusqu'au bout de nous
Jamais ne passent
Jamais ne lassent
Mais enlèvent mon corps
Respiration profonde
Souffle long...Alors
Juste dire les larmes
Là, juste au bord des yeux
Cette boule qui explose
Ce long frisson
Ces tremblements
Qui couvrent tout mon corps
De toi
Juste de toi
Encore de toi
Mes yeux se ferment
Mes yeux se crispent
Pressant mes larmes
Oh... Ne plus bouger
Ne plus toucher à rienPour ne rien effacer
Laisser venir
Laisser penser
Laisser rêver
Laisser aller
Et même
Laisser pleurer...
11 commentaires -
Sans la caresse d'une âme
Un vent glacial engourdit mon corps
La caresse de tes doigts
Chasse en moi tous mes hiversSans la douceur d'une femme
Un froid viscéral me parcourt encore
La douceur de ta peau
Me fait oublier mes chimèresSans la chaleur d'une flamme
Mes sens éteints semblent même morts
La chaleur de ton amour
Bouleverse mon âme toute entière
7 commentaires -
Il a suffi que nos mots se couchent pour allumer des soleils
Il a suffi que nos corps se touchent pour étreindre un arc-en-cielS'il existait des murailles, aussi hautes qu'imprenables, des tour infernales de détours en dédales, je suivrais ce chemin que tes sens ont ouvert, pour arriver jusqu'à toi et t'ouvrir, de mes bras, une antre dévoilant le trésor, convoité mais intact, qui reste à ta merci, lorsque je dirai "oui".
S'il existait des passerelles, même interdites, même périlleuses, même éphémères, je les emprunterais toutes pour parvenir jusqu'à ton souffle, sans te laisser choisir entre le désir et l'amour, sans résister je crois, à la douceur de nos nuits velours, sans comprendre ce qui, en moi, éveille cette passion que tes lèvres ont ancré en mon cœur.
S'il existait des larmes, assez fortes pour te retenir, je ferai de mes yeux ta prison, pour que seul ton regard et l'alliance de cette fièvre, nous consument toi et moi, poursuivant notre rêve, sans souci de ces heures de sommeil avortées, dans l'écrin de tes bras, sur mon corps en émoi refermés.
4 commentaires -
David Vendetta feat Rachael Starr "Bleeding Heart"
La sensualité d'une voix...
La douceur de ton regard...
La féminité d'une caresse...
Ouvre ton cœur...
Ferme les yeux...
Et imagine...
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5 commentaires -
Je te disais
Plein de choses
Tout doucement
Tout tendrement
Pour t'apprivoiser
Pour tourner pour toi
Les mots de l'autre côté
Celui qu'est pas tout noir
Celui qu'est au soleil
Celui qu'est à la vie
Celui des enfants aussiEt...
Tout doucement
Là, entre mes bras blottie
Ton dos tout chaud contre moi
Mon menton dans ton cou
Ma main dans tes cheveux
Juste comme ça...
Juste nousToi....
Toi dans cette nuit
Tu te laissais aller...
Tu écoutais,
Peu à peu,
Tu devenais Reine
Pas une reine comme la tienne
Non, une Reine,
Comme celle qui pousse dans les prés
La plus belle
La plus blanche
La plus grande ....Voila ce que je te disais....
Je t'aime
2 commentaires -
Je t'ai dit aussi moi ce que j'avais vu,
Dans cette nuit ou tu m'as pris mon sommeil.
Deux mains dans la rue, liées,
Par nos doigts dans les doigts, serrés.Des pensées qui glissent vers d'autres pensées
Et se trouvent sans même se parler.
Nos pas qui d'être si complices,
Se moquent d'où ils vont, d'où ils sont.Nos pas qui soudain s'arrêtent,
Parce que s'arrête le temps,
Pour que nos mains s'enlacent
Et mettent nos cœurs en face.Nos yeux se trouvent et ne se quittent plus
Et là, ton front contre mon front,
Nos larmes coulent, se mélangent,
Nos bouches s'effleurent et s'embrassent.Puis le monde autour qui s'en va,
Pour ne laisser que nous dans ce temps qui s'arrête
Le temps d'un instant de bonheur...
6 commentaires -
Je me suis surprise à penser à toi, à imaginer tes mains parcourant mon corps, tes lèvres embrasant les miennes.
Un doux moment d'égarement et de sensualité partagée, un plaisir fugace et coquin qui animerait nos deux cœurs, un bonheur intense qui inonderait nos deux corps.
Je me suis surprise à rêver de toi, à ressentir la chaleur de ta peau, le délice de ton sexe ouvert sur le mien, telle une fleur langoureuse, la caresse des tes seins sur mon ventre, et ta langue experte au plus profond de moi.
Je ne sais quel envoûtement tu as fait naître en moi.
Je ne sais le parfum de ta bouche, je ne sais la douceur de tes mains, je ne sais la cambrure de tes reins.
Et pourtant je sais que je pourrais t'aimer et devenir tienne.
Et pourtant je sais que tu pourrais m'apprivoiser et me faire reine.
21 commentaires -
Un fragment d'automne a emporté les couleurs de nos corps et, d'un voile pudique, a recouvert ce qui restait de Nous, draps froissés aux senteurs mélancoliques, comme ces feuilles blessées par les tourments anarchiques, du vent en gerbes artificielles et de mes passions singulières et plurielles.
Je me souviens de toi et l'écho me répond, ton corps a faim de moi, permets son abandon.
25 commentaires -
Les gouttes d'eau sur ma peau, comme une douce torture qui effacerait les traces de ton corps sur le mien.
Le ruisseau de nos peines qui affluent en amont et inondent sereinement les désirs qui nous brûlaient.
Confondre l'eau et la brûlure de tes lèvres sur mes seins.
Rejoindre la pluie pour oublier la censure de ton sexe sur le mien.
18 commentaires -
Passionnément elles,
Rationnellement celles,
Que l'on croit deviner,
Sous des dessous plissés.
Des bouches qui se mesurent,
Des lèvres qui se murmurent.
Des seins qui se frôlent,
Des fantasmes si drôles,
Que leurs sourires en disent long,
Sur leurs vertus à l'abandon.
9 commentaires -
Entre rêve et réveil
Entre amour et réalité
Entre rêve et sommeil
Entre amour et éternité
Entre rêve et soleil
Entre ton amour et ma féminité...
9 commentaires -