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Par Je, tu,... elles le 31 Juillet 2008 à 09:46
Je te prendrai dehors, sur la voiture, toi le dos sur le capot, j'en rêve moi. Je prendrai tout ton corps avec moi, mes mains, ma tête aussi. Je veux toi à en pleurer. Tu seras toute cambrée et offerte pour moi. Je vais craquer pour ton corps, pour tout toi, par amour. Je t'aime.
Toi, juste là, nue pour moi. Je veux m'affoler de toi, moi et t'affoler de moi, prendre tes seins sous mes doigts, ta bouche, ta nuque, ta folie. Je veux lire l'envie dans tes yeux, je veux la fièvre, la volupté. Je veux te caresser à l'infini et sentir ton abandon total, ta cambrure, ta tête qui part en arrière, l'abandon absolu de ton âme et de ton corps. Mes mains seront partout à la fois, mon corps sur le tien. Je te voudrais toute a moi, jusqu'au bout de toi, de ce que tu peux donner, tout.
J'aime l'abandon, l'absolu, le tout entier, moi. Je prendrai tout, tout ton corps, là, dehors, sous les étoiles et même sous la pluie s'il pleut. Je m'en fiche. J'effleurerai tes seins du bout de mes doigts. J'ai ce besoin de sentir ton corps se cambrer,réagir, que tu ne contrôles plus rien, ta confiance absolue, ton absolu départ, ta bulle. Je veux te sentir vibrer. Je veux donner ça, savoir faire ça de ton corps, avec passion et folie et pour toujours. Je veux sentir mes doigts devenir fous amoureux, ne plus pouvoir se passer de toi, de ta peau. Je veux tout toi, ton odeur, ton goût. Je veux ton sexe sur ma langue. Je veux te sentir fondre sous mes ardeurs. Je veux te sentir partir, décoller. Je veux tout donner pour ça, ma tête, mon âme, mes gestes, toute ma tendresse, ma folie, ma douceur, mon corps sur le tien, fusion. Trop de manques, je ne veux plus, je ne peux plus, je veux te lâcher, me lâcher, jusqu'au-delà, où tu n'es jamais allée peut-être. Rêve? Ambition? Prétention? Je ne sais. Je veux juste de l'amour, de la passion, de l'abandon, de la folie, de... l'ivresse.
Je veux mes doigts en toi, mes doigts en ton intimité d'abandon, ta jouissance, ton désir. Je mettrai mes doigts en toi, tous mes doigts... Je veux tout, tout doucement mais tout. Mes doigts en toi, mes seins contre les tiens, ma bouche sur ta bouche, mon feu dans ton feu, ce feu qui me brûle et me dévore quand je pense a toi, quand je me livre. Et mes doigts en toi te livreront au plaisir, à la jouissance. Tu ne penseras à rien, juste à te donner, à être plaisir, à être don, à être à moi... P... que je t'aime. Tu exploseras, fort fort, et là, moi je te prendrai fort fort dans mes bras. Tu recueilleras mes larmes, toutes mes larmes sur ton épaule, parce que c'est trop fort tout ça pour être retenu.
Je veux tes cris, je veux tes fesses, tes reins. Je ne veux rien que tu gardes. Je veux tout, je ne sais pas à moitié...J'ai la fièvre, j'ai le sang qui bout, me bat les tempes. Envies de folies et de partage...
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Par Je, tu,... elles le 30 Juillet 2008 à 14:28
"Vague à l'âme"...
Une expression qui ne pourrait pas être plus juste, pour moi
Le manque fait des vagues en mon âme
Il y a le creux, puis la vague enfle, roule et grossit
Elle roule ainsi en moi, jusqu'à la limite, le point de rupture
Lorsqu'elle l'atteint, elle déferle, déferle en milliers de larmes
Et se vautre sur le bord s'il n'y a personne
Mais s'apaise, se calme, au bord de ton coeur
Lui seul sait les recevoir...
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Par Je, tu,... elles le 12 Juillet 2008 à 15:47
Mon amour, c'est comme une folle ivresse de toi qui vient de me réveiller. Je t'ai vue là, devant moi, nue, rien que pour moi. Tu avais les bras en l'air, attachés et juste accrochés pour te soulager de leur poids, mais d'une accroche qu'un simple geste peut ôter. Je t'ai rêvée nue, bras en l'air comme pour mieux m'offrir, me dévoiler cette merveilleuse nudité, tes yeux bandés pour que tu n'aies plus juste qu'à ressentir... Je suis devant ce corps nu, je me sens si petite, si fragile, face à lui. Je me sens comme subjuguée dans cet état puissant qui, moi aussi, me permet un don total... bulle...
Je m'approche de toi doucement et viens me coller contre ton dos, mes mains glissent le long de tes bras, tout doucement, en une fleur de caresse et je te sens frémir... Moi, je sens l'ivresse monter encore en moi. Je ferme les yeux pour mieux encore capter l'éveil de mes sens... et des tiens... Mon corps épouse ton corps. Mon sort épouse ton sort.
Collée à toi, je te respire, je m'enivre de toi, je m'abandonne en toi, je te prends, tu te donnes. Douce fusion de nos corps. Tu es là, tu es à moi et j'en suis plus à toi encore, là pour toi avec mes mains, mon corps, pour faire vibrer le tien jusqu'à la folie, jusqu'à la supplique, jusqu'à l'extase absolue. Mes mains paressent sur ton corps qui se tend tandis que je décolle un peu le mien. Caresse de feu du bout des doigts... Un effleur de peau voilà, juste un effleur de peau. De plus en plus ivre de te ressentir ainsi, belle, abandonnée, emportée par le plaisir, je te caresse encore et encore. Ton dos, le creux de tes reins, ta nuque, ton cou... Et ton corps suit mes caresses, s'offre à elles. Il n'est plus que sensations, plaisir. Ton esprit s'envole. Il atteint cet état où n'existe plus que le plaisir, un état d'absence pour n'être plus que sens. Il ressent, libre, et moi je le rejoins. Nous ne sommes plus qu'amour...Je tourne autour de ce corps possédé de plaisir, frémissant de plaisir et de fièvre. Je suis lui, il est moi. Je suis toi, tu es moi, emportées dans notre passion. Je tourne de mes mains de plume. Je tourne, tourne, afin de ne rien perdre de ce que tu m'offres, de ne pas oublier le moindre pore de ton offrande. J'atteins moi aussi l'extase, bien au-dessus de l'ivresse, et c'est ton abandon qui m'offre cela. Bientôt je m'arrête, face à toi. Je te regarde, les larmes au bord des yeux tant je suis émue. Toi, là, rien que pour moi... Moi, si petite, si amoureuse, si emprise de toi, mon amour. Oui, si emprise.
Je prends ta bouche, tu m'offres ta langue. Je prends ton cou de ma bouche, de mes mains, folles de toi. Puis, doucement glissant tout contre toi, mon corps, ma joue, mes mains, je me baisse jusqu'à me retrouver à genoux à tes pieds. Ma fièvre grandit. Ma tête sur ton sexe, ma joue appuyée tout contre lui, contre sa chaleur, contre ton odeur. Ivresse... encore et toujours cette si délicieuse odeur. Je t'aime tant mon amour, je t'aime.Je suis à tes pieds, si bien, ma tête sur ton intimité. Tu le sens, tu as décroché tes bras et les as posés, toujours attachés, sur ma tête pour me garder là, juste là. Merci mon amour. Merci de ton amour, je t'aime, je t'aime. Puis tu appuies un peu sur ma tête. Je connais ce signe-là, véritable invitation à prendre plus encore... Mes mains glissent le long de tes jambes, se lovent sur tes mollets, sur tes cuisses. Ma tête descend encore. Mes lèvres se font caressantes. Arrivées à tes pieds, elles osent un tendre, très tendre baiser reconnaissant sur chacun de tes pieds. Je reste un instant ainsi en petite boule à tes pieds. Qu'y puis-je si je m'y sens si bien là ? C'est si profond ce geste d'abandon et de dévotion. Qu'y puis-je si je t'aime à l'extrême, à l'absolu de moi-même? Qu'y puis-je si j'ai cette envie, alors, de relever la tête pour te contempler de là, juste de là? Te contempler, oui, de la moi si petite, si fragile de peur et toi, là, si belle dans ton plaisir. J'ai si peur.
Mais déjà je remonte, toujours mon corps contre ton corps et là, arrivée sur ton sexe, n'y tenant plus de désir et d'ivresse, ma langue prend tes lèvres. Je prends ton nectar, je le glisse en moi. Ton goût, ton odeur me pénètrent et grandissent en moi. Je deviens folle. Je te vois, tête en arrière, dos cambré. Tu as toi-même raccroché tes poignets... Tu n'es plus là, juste avec moi, quelque part ailleurs, loin de toi. Je t'aime. Abandon de corps et d'esprit. Merveilleux amour. Ma langue écarte tes lèvres inondées de plaisir. Ma langue va te chercher au plus profond de toi. Ton corps s'agite. Folie. Spasmes. Frissons. Je t'aime, ma folie. Tu sursautes. Tu en viens même à espérer que tes bras ne vont pas se décrocher tellement tu t'abandonnes ainsi. Si belle, mon amour. Ma langue, encore et sans répit, t'investit, t'emporte, là-bas, si loin. Je suis là, mon amour. Laisse aller, vis, ressens, prends ce que je te donne, prends, explose, explose... Oui, explose. Je t'aime.
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Par Je, tu,... elles le 8 Juillet 2008 à 14:20
À toi qui as quitté ton nid pour venir te poser au creux de mon cœur solitaire
À toi qui as su te glisser au creux de mes tendres folies
À toi qui as compris qu'aimer c'est aussi, parfois, se laisser guider
À toi qui à force d'amour, à force de pourquoi, à force de mots, a tant voulu me comprendre
À toi qui, aujourd'hui, dis oui à ce qui te faisait peur hier
À toi qui a su, de nos mille mots, vaincre tes réticences, déposer tes défenses
À toi, je le dis, mon amour a grandi et moi avec lui... Mais grandi dans tous les sens
Grandi par son œuvre, sa force, sa puissance
Et puis parce que je vois qu'il a sur toi les effets qu'il a sur moi
Il te donne cette envie d'être... Parce qu'aimer, c'est aussi ça... Je crois...
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Par Je, tu,... elles le 3 Juillet 2008 à 09:54
J'ai vu ton corps nu, en boule aux pieds du mien, nu aussi. Et moi qui me baissais vers lui. Je pleurais presque d'émotions. Je le réveillais de douces, très douces caresses.
Alors tu te redressais doucement, dans un mouvement ondulant et circulaire qui suivait la musique. Mes doigts gardaient le contact, c'était magique... vraiment magique... un balai.
Puis je me mettais à genoux, comme toi et nos corps dansaient, dansaient sur la musique, une onde unique, comme deux serpent noués.
Ça m'a bouleversée moi. Mais comme tout me bouleverse tant en ce moment...
Ils dansaient sans se quitter et la chaleur montait entre eux. Je les vois toujours. Je les verrai toujours, je crois, sur cette musique... Invitation à l'amour...
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Par Je, tu,... elles le 2 Juillet 2008 à 09:12
Si je t'étais soumise...
Les seules violences seraient celles de nos émotions et de nos jouissances
Les seules chaînes, celles de mon cœur amoureux
Les seules attaches, celles de mes poignets pour mieux t'offrir mon corps
Les seuls « ordres », ceux qui naîtraient en moi-même de tes attentions pour moi, et de cette envie d'être ce que tu attends de moi, cette non indifférence de moi, qui ne naît que par toi, et parce que tu m'aimes...
Et que, parce que quand c'est important pour toi, ça le devient pour moi.
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Par Je, tu,... elles le 30 Juin 2008 à 09:44
Mon amour, c'est tes yeux
Quand je ferme les miens
C'est ce corps tout petit, tout recroqueville
Qui se blottit contre le mien
Et vient chercher ce que j'ai peur
De ne pas savoir lui donner
Un souffle, un apaisement profond
Des larmes, un cœur ouvert, pour un cœur blessé
L'hiver, l'été, tous les jours que Dieu fait
Qui vient chercher force et tendresse
Un trop plein d'amour, un chemin où aller
Une envie à suivre, des émotions à vivre
Un tout donner et tout vivre
Un nid de soleil, pour mettre à l'abri sa vie
Oui, tout ce que j'ai si peur
De ne pas savoir lui donner
Tout ce que j'ai peur de pas savoir mériter
La confiance, le respect, la force
Pourtant le destin nous a réunies
Unies, à cœur et à cris
À peurs et à larmes
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Par Je, tu,... elles le 29 Juin 2008 à 17:32
Je voudrais des bras immenses
Pour faire 10 fois le tour de ton corps
Et l'envelopper tout entier
Que rien ne l'atteigne, le protéger
Et combattre alors ses ennemis
En le gardant là, bien à l'abri de moi
Dans la force que je ressens pour lui...
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Par Je, tu,... elles le 28 Juin 2008 à 21:01
Tu as changé moi, toi
Tu me découvres à moi-même
Et j'aime ces découvertes
Cet amour pour toi qui me sublime
Ces envies possessives et tendrement sauvages
De ton corps avec qui je suis bien
Ces envies d'être auprès de toi
Chaque heure et chaque instant
Ces envies m'éloignent
De ce que je ne veux plus être
Avec toi, je me sens plus forte, plus confiante
Et je me sens grandir
N'aie pas peur de mes envies
Même pas de celles que j'ai gardées pour moi
Parce que je t'aime
Et que jamais...
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Par Je, tu,... elles le 23 Juin 2008 à 08:14
O délicieux nectar, j'ai soif de toi
Soif de ta chaleur, soif de ton odeur
Soif de cette ivresse que tu mets en moi
O ma liqueur d'amour, toi mon doux partage
Toi qui n'es là que pour moi
Toi mon si pur goût d'elle
Fruit de sa passion, fruit de son désir
Toi qui me sauvages mes envies d'elle
Toi qui me ravages en mon manque d'elle
Je ne suis plus moi lorsque tu viens en moi
Ravage-moi encore d'elle
Toi qui es mon tout d'elle
Sois effet en mon corps
Sois folie de mon âme
Toi qui es son offrande
Délicieux mystère de ses fantasmes
Moi je prie qu'un jour tu deviennes pour elle
Ce que tu es pour moi...
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Par Je, tu,... elles le 20 Juin 2008 à 09:15
Je déboule dans ton bureau, escarpins vernis, haut perchée, jupe très courte, haut léger
Tu devines mes petits anneaux, très provocante, débridée, féminine, tigresse
Je sens la chaleur des mes envies, tu es seule heureusement
Le bureau de la chef, pas là, en réunion sans doute, on s'en fout
J'arrive sur toi... tu n'as pas le temps de protester, tu n'oses pas
Tu te souviens d'une fois dans ton bureau déjà
Je viens d'un pas, d'un geste, sans ménagement, coller ma bouche sur ta bouche, fort
Plaquée contre toi, je défais ta jupe, retire ton haut sans douceur
Douceur cachée de mes envies, il vole, finit sur le sol
Tu ne dis rien, tes yeux brillent, ils sont beaux, merveilleux, ils sont désir
Emprise du désir et de la folie, folie amoureuse, désir désir désir
J'ôte ton soutien gorge d'un coup sec, d'un coup d'envie, d'un coup net
Tes seins s'abandonnent sur moi, je les aspire à pleine bouche
Les mordille, les empoigne, je les aime
Je passe une main, saisit ton sexe, le sens vibrer a travers ta culotte
J'entre ma main et, te prenant d'une main sur ton sexe, de l'autre sous ton bras
Je te soulève, t'assieds sur le bureau saisit tes poignets fermement, fortement, puissamment
Les amène dans ton dos et t'embrasse à nouveau
Ta bouche me répond, de folie à folie, nos seins se plaquent
Tes poignets se libèrent, se ruent sur moi, me dévêtissent,
Sans attendre, sans attention, le feu les guide, j'aime
Ma bouche prend ton cou, ma main retire enfin ta culotte, puis écarte tes jambes
Ta bouche prend mes seins, c'est la première fois
Je rejette ma tête en arrière, foudroyée de bonheur, de cette première fois
Je t'aime je t'aime
Ta langue joue avec mon anneau, ta main cherche la glissière de ma jupe, la descend
Mon sexe déjà humide s'affole, de désir, monte le feu sur nos bouches, nos sexes
Tous nos corps sont pris de folie, de vertige, se donnent l'un a l'autre,
S'envolent et se dansent
Je suis debout entre tes jambes écartées, mon sexe contre ton sexe
Ta bouche à nouveau me prend, mes mains à nouveau saisissent tes poignets
Plus fort encore, les emprisonnent, j'aime ta force et ton abandon
Ta poitrine qui se cambre soudain, tes seins qui s'offrent, tu es si belle alors
Comment ne pas t'aimer, aimer tout de toi, tout désirer, a s'en noyer l'âme
Nos sexes s'embrassent, lèvres contre lèvres, s'embrasent
Tu te tords, tu veux plus, encore plus, tu veux jaillir
Toujours tenant tes poignets, je me baisse, me voici a genoux, ma tête sur ton sexe
Je sens la force de tes mains qui veulent saisir ma tête, la plaquer contre ton sexe
Plus fort, plus fort encore, je les laisse s'échapper, elles m'emparent, me serrent
Tes mains jouent, ma tête leur répond, les écoute, se guide
Ma langue entre alors en toi, en toi, tu ne dis rien, pas de peur, pas de retrait
La folie t'a gagnée, tes mains, ta force me le disent, elles gardent ma tête là
Bien là, fort contre ton sexe, ton intimité, ton goût enfin offert, à la mienne
Je prends, je donne, nous vivons, nous savons
Ma langue s'emporte en toi, tu n'es plus que spasmes, que oui, que encore, que maintenant, que vite
Je ne suis que folie, que merci, que je t'aime que passion, que... toi
Ton corps est secoué, la pression de tes mains sur ma tête, ton désir, tout ça
Mon corps aussi devient fou, fou d'amour
Puis tes mains, s'agrippant dans mes cheveux, ton corps se raidissant, cambré à l' extrême
J'entends son plaisir, ta jouissance, qui s'aliène à la mienne
Fusion, communion, sublimation, union... Je t'aime d'Amour
Ton corps se détend, tes mains entourent ma tête
Ma joue plaquée contre ton sexe et les larmes qui montent et tes bras qui cajolent
Tes mais se font caresses, ta bouche embrasse mes cheveux
Toujours jamais je ne saurais empêcher cela, ce merci je t'aime, merci de m'aimer
Merci de tout donner, merci d'être à moi et de m'accepter tienne
Je t'aime... toi, ma moitié, mon amour, ma vie, mon don, merci...
Garde-moi là, les bras autour de ta taille, en pleurs, reconnaissante
Ma joue contre ton fruit humide et tendre, tout chaud encore
Garde-moi là encore un peu s'il te plait...
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Par Je, tu,... elles le 19 Juin 2008 à 09:12
Toi à genoux, moi debout ?
Je te ferai plus grande que tu n'as jamais été
Toi à genoux moi debout ?
Je suis à tes pieds pourtant
Toi à genoux moi debout ?
Je craque... pour toi, ainsi nue, dévêtue
Toi à genoux moi debout ?
Je ne suis plus rien sans toi
Toi à genoux moi debout ?
Mais qui a tout de moi
Et mon corps et mon âme
Ne sont là que pour toi
Parce que je t'aime
9 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 18 Juin 2008 à 11:08
Mon cœur est un voleur
Il a volé ton cœur
À tous ceux qui ne l'aimaient pas
Ou qui lui faisaient du mal
Il l'a volé pour bien le réchauffer
À grands coups d'amour, pour se donner à luiMon cœur est un voleur
Un voleur de malheurs
Un donneur de tendresse
Mon cœur est un voleur de cœurC'est un gentil voleur
Un cœur envoleur
Un voleur au cœur tendre
Qui aime les interdits
Alors il s'est permisTon cœur est un charmeur
Il a touché mon cœur
Un cœur qui se perdait
Un cœur qui se battait
Un cœur qui se demandait
Qui il étaitTon cœur est un charmeur
Un coeur enjoleur
Un coeur enfolleur
Il a charmé mon cœur
Et tant donné d'amour
Qu'ils ne se quittent plus
4 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 17 Juin 2008 à 08:50
Mains d'ici, mains de toi
Mains de feu, mains de plumes
Jeu de mains, mains qui se serrent
Mains qui sont là, mains qui caressent
Douce paresseMains en pleurs, mains soleil et brûlures
Mains dans tes mains
Mains de moi, mains de toi
Mains sur toi, mains pour toi
5 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 14 Juin 2008 à 21:16
Ils étaient juste miens,
Et sont maintenant tiens,
A toi qui as su les aimer
Dépassant tes idées,
Toi qui du bout de tes mains
Sur ce bout de mes seins
Fais jaillir la magie
D'un seul geste repris
Toi qui de tes doigts
Leur souffles ta douce loi
Car c'est bien grâce à toi
Qu'ils ont trouvé leur voie
Je t'aime
3 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 14 Juin 2008 à 10:48
Tu te souviens, j'avais ce coup de blues
Manque, sentiment d'impuissance
Face à cette p... d'absence,
Face à tes "tu n'es pas là"
Je déteste "n'être pas là"
Je ne suis pas là, je ne peux rien...
Je ne suis pas là, tu n'es pas bien
Alors je suis coup de blues, coup de déroute
Coup de détresse, coup de doutes...
Coup de peur à mon coup de cœur
Pourquoi suis-je en toi tant de douleur
Pour tant de vide, et si peu de bien...
Pour tant de mal et de si grands riens...Et puis tu m'as dit...
« Et j'aime toutes tes envies,
Je me sens plus fière, moi
Tout bouleverser comme ça en toi
Te faire grandir
Et te découvrir autre,
Et je n'ai pas peur
Grâce à cette immense confiance
que j'ai mise en toi
J'e t'aime...
Et j'ai ce besoin là moi,
D'être aimée ainsi...
Possessivement,
Tendrement,
Et sauvagement,
A la fois...
Alors n'aies pas peur
J'aime la douceur et la tendresse
Comme j'aime le feu de la passion,
Les folles envies de la Tigresse,
J'ai besoin de tout ça moi,
Et toi... tu es tout ça...»Ben tu vois ces mots là, sont de ceux qui remettent mon cœur en ordre...
Parce que dans toute sa pagaille, je m'y retrouvais plus, je ne savais plus...Je t'aime... tendrement... tu sais...
15 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 12 Juin 2008 à 22:10
Un réveil entre tes bras
Entre tes yeux
Et c'est un grand sourire sur mes lèvres
Et une grande chaleur dans mon cœurUne ballade avec toi
Et c'est nos mains qui se nouent
Nos mots qui se trouvent
Nos bras qui se désirent
7 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 11 Juin 2008 à 17:10
Envie de surgir dans ton bureau, de débarquer sans prévenir
D'avancer vers toi et de dire, en te prenant la main
« Viens », « viens vite, je t'en prie »
M'en foutre des autres, de la chef, des vitres du bureau
Juste t'emmener, te prendre à eux et t'emmener avec moi
Dans la vie, pour la vie, te prendre la main et t'entrainer
En courant, loin, courir, ne s'arrêter que...
Ta petite maison, ses fleurs, son jardin, bien là
Entrer, t'emmener dans la chambre
Te déshabiller, vite, me déshabiller, t'embrasser, te caresser partout
Glisser mes mains partout, ton cou, ta nuque, tes seins
Devenir folle, t'embrasser partout, tes épaules, ton ventre, ton sexe
Juste l'embrasser, sentir le feu qui nous prend, se sentir vivre
Seins contre seins, bouche contre bouche
Ton corps est ma folie, il me manque à en pleurer
Envie de te prendre sauvagement, de te serrer
De serrer tes seins entre mes mains, tes fesses
De te caresser... lourdement, possessivement, les fesses, les hanches
De sentir la fièvre, de sentir ta liqueur inonder mes doigts
Et cette envie irrésistible de les mettre en toi, juste là où ça t'emporte
Envie de le saisir dans ma main, le sentir gonfler, palpiter, battre...
Sentir ton corps onduler, se tordre
Ta bouche prendre la mienne, nos yeux se serrer
Envie d'empoigner ton sexe entier, le prendre, le faire vibrer
Trembler, fuir, revenir, réclamer, supplier, fuir à nouveau
Le pendre, le vivre, le goûter, le pénétrer d'amour
Et te serrer fort, fort, sentir ton plaisir, ton désir, ta folie
Ton abandon, ton lâcher, ta reddition, ton bonheur
Ton envie de plus encore, d'encore plus fort
Envie de te tenir, envie à la folie, à pleurer, à crier, à hurler « je t'aime »
Comme un feu sauvage en moi que je répandrais sur toi, qui brûlerait en nous
Envie de tes morsures, envie de tes griffes
Envie de tenir tes poignets pour mieux te donner du plaisir
Celui de l'abandon, envie de te plaquer alors contre moi
Ma bouche sur ta bouche, mes doigts en toi, fort
Et jusqu'a l'explosion, la jouissance finale...
P... Que je t'aime, aime-moi, inonde-moi, donne-toi, abandonne-toi
Donne-moi ton corps et prends tout de moi
Mon corps, mon âme, mes pensées, mon cœur
Tout est a toi, tout, je t'aime jusqu'à bout de forces
5 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 10 Juin 2008 à 08:58
À fleur d'eau, à fleur de peau
Le ballet des gouttes d'eau
Sur ta peau, sur la mienne
Noyade de nos yeux
De nos sens, de nos souffles
Cœur en eau, cœur en peur aussi
Mais cœur en fleur
Glissent mes mains
Tes formes sous mes paumes s'affolent
Je veux de ta peau, de ton corps
Tous les frissons, toutes les moissons
Quand tu diras oui
De cette eau sur nos corps répandue
Nait une douce envie
Celle d'un corps qui s'abandonne
Celle d'un corps qui se tord, celle d'une fièvre
Je voudrais ta bouche, sous la caresse de l'eau
Sous la caresse des mots
Je voudrais de ton cou, je voudrais dans ton cou
Noyer mes plus douces pensées
Je voudrais sur tes seins poser mes lèvres
Me perdre dans l'ivresse...
15 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 8 Juin 2008 à 19:30
Il me reste de ce moment un immense goût d'encore
Une fièvre qui ne veut pas tomber
Des images qui voudraient n'être pas que des images
Des frissons qui auraient voulu naître sous tes doigts
Des souvenirs qui ne font que des sourires
Des mots qui viennent dormir dans mon cœur
Parce que je t'aime...
2 commentaires
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