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Sur l'oreiller
Pelotonnée sur l'oreiller
Jusqu'aux larmes bouleversée
J'attends ta voix pour me réveiller
J'attends ton corps pour me délivrerLe jour se lève et tu n'es plus là
Je cherche ton sourire parmi les draps
Je paresse en espérant tes bras
Douceur coquine qui me manque déjàJe ne vois pas le soleil qui se lève
Je ne sens pas l'air frais qui soulève
Le voilage de la fenêtre entr'ouverte
Celle qui t'a vu t'échapper peut-êtreCette nuit de lune incandescente
Qui me laisse seule et inconsciente
Encore enivrée des plaisirs partagés
Pelotonnée sur l'oreiller.
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Commentaires
oui cher Cokinou
mélancolie des petits matins gris d'automne, encore enivrée des plaisirs de la nuit :) Baisers à toimerci, j'ai eu envie
d'un peu de sobriété, d'un peu de noir et blanc, d'un peu de fraîcheur... alors j'ai retiré ce qui était superflu, bises aussibonjour vous
style épuré et mots de mélancolie après de doux plaisirs nocturnes, mais qui ne demandent qu'à revenir...
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entre tristesse de la solitude et souvenir de plaisirs ennivrants... Bisesssssss