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    Je suis assise sur toi, face à toi. Tu ne peux protester parce que je t'embrasser. Assise sur tes genoux, mes jambes autour de toi. J'aime bien. Je passe mes mains sous ton T-shirt pour venir caresser tes seins. J'aime les sentir sous mes mains, tous chauds, tous ronds, tout doux. Envie de les sucer, les toucher, les caresser. Ils sont ma folie, ma douceur, ma tendresse, mon désir.

    En même temps, je glisse une main dans ton jean déboutonné. Tu frémis, sursautes, mais ne protestes pas. Juste le plaisir d'une légère gêne. Ma main trouve ton petit bouton, tout mouillé, tout chaud, tout frémissant. Ma bouche sur tes seins. Ma main... te prend. Je te possède. Je sens ton désir moi et je l'aime. J'aime la situation, le risque, la chaleur, la fièvre du moment, de ton corps qui danse. Et moi, j'ai envie de glisser à tes pieds en emportant ton jean, en dévoilant... ton fruit, en écartant un peu tes cuisses et en venant poser ma langue juste là, sur lui, me laissant pénétrer de ton odeur et de ton goût.

    Ton désir c'est mon ivresse à moi. Ma langue le dépose, le délie, l'agite, le réveille, le cueille, l'aime, l'ensorcelle. Il lui répond, s'offre, se montre, se déshabille, enfle, se tord, se donne. Je le sens entre mes lèvres, le titille, le serre encore, tandis que mon doigt entre en toi, en toi. Larmes aux yeux, chaleur, feu, soupirs, respirs. Ma langue l'apprend, l'apprivoise, le toise, le défie. Mes lèvres l'emprisonnent, vilaines. Ma bouche l'invite en elle, l'aspire, le suce, devient folle.

    Et ton corps n'en peut plus, se tord, cambre, se lâche et se crispe. Le ciel descend vers toi. Mon doigt t'emporte, te ressent. Tout est en toi, ma langue, mon doigt, pour toi. Je suis où ? Juste avec toi. Mais plus rien n'est là. Juste toi à demi-nue, en amour. Un cri sourd et léger, le plaisir, tes bras qui m'entourent, me serrent. Je t'aime toi. Garde-moi là, en toi, encore. Encore. Je ne veux pas partir, pas sortir encore. J'ai besoin de toi, mon amour. Je suis bien là. J'ai envie de te le dire mais mes larmes coulent et m'en empêchent...

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    Papier blanc. Tout blanc. Comme de la neige. Tout froid comme dans mon cœur...

    Non, ce n'est pas que je ne sache quoi écrire. Parce que des mots, j'en ai, plein... Bien rangés, dans ma tête. Des mots en file d'attente, impatients, mais sages. En salle d'attente. Non, mais plutôt que je n'ose plus écrire.

    Ils n'osent plus. Les mots, ils ont peur, ils semblent si noirs sur le papier blanc... Je n'aime pas ces mots de la peur. Peur? C'est, qu'en ce moment, « Elle » leur semble comme ce papier blanc, distante, comme absente. Comme si elle s'éloignait, comme si elle fuyait, comme si j'avais cassé quelque chose en elle, avec mes mots. Oui... cassé quelque chose.

    Alors, J'ai cette peur... bleue. Cette peur... elle surgit comme ça, sur un mot, sur une parole d'elle, une réaction, un silence. Peur irraisonnée, irraisonnable, irrépressible. Elle me fait mal, cette peur, physiquement mal, elle s'empare de ma poitrine, de ma gorge et monte jusque dans mes dents, puis finalement, sort en gros sanglots, nerveux, par mes yeux. Je sais que c'est injuste, qu'elle est là pourtant... mais...

    Même si je me raisonne un peu, même si je me dis qu'elle n'a pas besoin de mes états d'âme en ce moment, égoïste que je suis.
    Même si je sais qu'elle a bien assez avec sa peine, son chagrin, ses soucis, ses peurs... et je m'en veux de pas savoir respecter ça.
    Même si je sais, oui, qu'elle ne s'éloigne pas, que c'est juste dans ma tête.
    Même si je sais qu'elle m'aime toujours autant.
    Même si je sais que je devrais au contraire l'épauler et la soutenir dans son épreuve, au lieu de l'éclabousser des miennes.
    Même si je sais qu'il faudrait que je m'efface un peu, que je me mette en retrait pour la laisser vivre et s'occuper d'elle.
    Même si je sais que c'est injuste pour elle, parce que je sais qu'elle fait, malgré tout, tout ce qu'elle peut pour être là.
    Rien à faire... ma faute, je sais...

    Je ne crois jamais aux évidences. Fi des évidences. Elles n'ont aucun pouvoir sur moi. Il n'y a que les mots et les gestes qui en ont. Juste savoir, ça ne m'a jamais suffit. Souviens-toi maman...
    J'ai toujours besoin qu'on me dise, qu'on me dise, je n'arrive pas à me satisfaire des non-dits, même les plus évidents, sinon je ne suis jamais sûre. Non... jamais sûre du pourquoi du vide et des silences, du pourquoi du « pas comme avant ». Quand on ne me dit pas, c'est toujours le pire qui vient pour l'expliquer.

    J'ai trop besoin d'elle, des ses « je t'aime » rassurants, de ses sentiments, de sentir que rien n'a changé... même à peine. Rassurants... J'ai trop besoin de l'entendre, l'entendre dire et qu'elle mette des mots sur mon cœur. Sans eux, je m'effondre, je cogite... j'ai peur. Mais voilà, j'ai trop de peur, et pas assez de confiance en moi pour dominer ça. Simplement peur... qu'il y ait autre chose que tout ça, derrière tout ça... autre chose qu'elle ne dirait pas... Voilà.

    Je t'aime mon Ange, je t'en prie ne m'en veux pas, pardonne-moi et surtout... ne m'abandonne pas...

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    Des mots qui s'abattent comme ces orages d'été et laissent le coeur à nu, décapé, érodé...
    Des mots qui font fuir le sommeil.
    Des mots pleins de rage de dire, d'exploser, de vouloir être entendus, reconnus...
    Des mots en tornade qui dévastent mon âme de ne savoir trouver le chemin de la tienne...
    Des mots qui ne sont pas les tiens mais qui veulent te hurler cet amour qui m'habite, même si...
    Des mots pour te dire la souffrance d'aimer autant que je t'aime et de se sentir... parfois incompris, rabroués...
    Des mots qui sont juste les miens... Comme moi qui suis... Juste moi...
    Des mots parce que je t'aime...

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    Quand on aime un ange, on a peur tout le temps, tout le temps...
    Peur d'éteindre son sourire, sur un mot, sur un geste qu'on aurait fait ou qu'on n'aurait pas fait...
    Peur de ne pas savoir lire dans son regard...
    Peur de ne pas savoir être là comme il faut, quand il faut...
    Peur de ne pas pouvoir donner assez...
    Peur de lui faire du mal, de le blesser, de le casser...
    Peur qu'il s'envole et qu'il vous laisse...
    Peur, peur, peur...
    C'est si fragile, un ange, si léger...
    C'est en rires et en larmes, un ange...
    Que ne ferait-on pas pour le garder près de soi, en soi, tout au chaud en son coeur?
    Que ne ferait-on pas pour ses sourires qui vous percent jusqu'au coeur?
    Que ne ferait-on pas pour lui construire un nid si doux, si chaud et si tendre, qu'il y resterait pour toujours?
    C'est si fragile un ange...
    Comment le garder sans l'attacher?
    Comment faire pour que ses peines, ses larmes, ne viennent éteindre ses feux de joie?
    O toi, grand amour qui habite mon coeur, aide-moi, donne-moi assez d'élan, de coeur et de tendresse pour être celle qui saura le garder...
    O toi, ma peur, surtout ne pars pas car, tant que tu seras là, cet amour grandira bien au-delà de nos rêves...
    C'est si beau, un ange...
    Et moi... J'aime un ange...

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  • Elle va se marier avec un ange... Vous avez déjà fait ça vous? Vous mariez avec un ange? Elle, jamais avant. Ce que ça lui fait? Ca lui fait un je ne sais quoi d'indéfinissable qui l'emmène vers un bien mieux d'elle. Un ailleurs d'elle-même qu'elle ne connaissait pas et qu'elle découvre avec enchantement, ivresse. Des bouts d'elle-même qui étaient là mais qu'elle avait toujours ignorés et qui attendaient celle qui les ferait sortir de l'ombre.

    Seul un ange pouvait réussir cela... Trouver ces bouts d'elle-même et lui en dévoiler la valeur, lui en faire cadeau. Pourtant, elle pensait avoir exploré le fond d'elle-même, avec plus ou moins de bonheur, plus ou moins de fortune et de honte, mais...
    Découvrir qu'elle pouvait être bien... Avec un ange simplement... Simplement parce qu'il l'aimait jusqu'au bout de lui-même, simplement...
    Découvrir à quel point tendresse, affection, apaisement, respect, considération étaient source de bien-être et de bonheur permanent... A quel point elle pouvait être bien ainsi, simplement aimée et aimante.

    Seul un ange pouvait la sortir des couloirs sombres et tortueux où elle errait, ne sachant même plus ce qu'elle cherchait, à force de ne pas le trouver.
    Seul un ange pouvait la sortir de ce labyrinthe sordide qui ne menait nulle part, où elle s'était perdue, où elle était devenue cette chose... qui se donnait intimement, totalement, mais sans plus de respect d'elle-même... Par amour de celui qui... Parce qu'elle croyait à cet amour-là...
    Seul un ange pouvait la sortir de cette aliénation, lui ôter son masque, ses chaînes, lui rendre sa conscience, sa liberté et sa dignité...
    Oui, seul un ange pouvait donner assez d'amour, de patience et de tendresse pour la sortir du noir glacial et lui faire découvrir le véritable amour...
    Oui... Seul un ange pouvait avoir cet amour-là et le donner avec tant de force et de passion... Je t'aime mon ange...

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    Il fait froid dans le noir... A moins qu'il ne fasse froid noir dans ce froid. Seule... Seule dans ton absence...
    Manque... Interdit... Interdit d'aimer? Interdit de se lâcher... Coupable... Mais le coeur, lui, se rebelle. Interdit connait pas. La tête se bat... et la raison veut dicter sa loi. Maudit soit elle.

    Pourtant, une petite voix, timide et forte à la fois, s'élève en moi qui me dit : "la vie est à toi, n'écoute que ton coeur, lui seul sait, lui seul..." Mon coeur, lui, me dit qu'il ne veut que toi, qu'il est tout à toi, si triste sans toi, qu'il ne sait vivre sans toi...
    Toi, tu n'y crois pas... A cause des soirs comme ce soir où je ne vis pas que pour toi... Toi, tu n'y crois pas pourtant qu'en sais-tu si même ces soirs-là je ne suis à toi? Toi, tu n'y crois pas et j'ai mal de ça... Comme tu as mal sans moi... Je t'aime.

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    J'ai juste à être à la hauteur de cet amour que tu me voues, cet amour qui te dévore...Cet amour que j'espère mériter et qui, parfois, me fait peur, tant il te rend dépendante et fragile. Mais cet amour qui est si beau et qui me laisse si émue, troublée et que j'ai si peur de ne savoir rendre.

    Et pourtant je t'aime. Je t'aime avec force, feu et flamme, car, de mon coeur aussi, il déborde...

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    J'aime un ange, une fleur, un rêve. Doux songe sans trêve de mes pensées. Doux secret de mon coeur. Tendre folie de mon âme. Je t'aime, toi, femme de mes désirs, femme de mes nuits...

    Une fée est arrivée, a baigné mon coeur et mon corps de tendresse, d'amour et de poésie. De sa baguette, elle a redressé mes torts, emporté mes chaînes, tari mes hontes... Je t'aime, ma petite femme à moi...

    J'aime un ange. J'ai tourné autour puis il est venu à moi. Ca s'est fait comme ça, voilà, tout doucement. Et moi qui me prenais pour celle qui allait tout faire avancer chez elle... C'est dix fois le contraire qui s'est produit...

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    Si tu savais comme j'aime notre façon de nous aimer, si à l'écoute l'une de l'autre...

    Tes attentions, tes caresses... tout cela me transporte, m'emporte, me possède... A genoux de toi, je dépose tout et je renais, mon amour. Je tombe en toi. Je suis conquise... totalement...

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    Voilà ma conception mais qui n'est que la mienne...

    Il y a des périodes de nos vies où on se cherche, où on est plus faibles qu'à d'autres, et quand on croit alors se trouver, quelque fois ça peut faire mal, quand on réalise... après... à quel point on a perdu toute dignité...
    Mais, on retire quand même, de ces périodes de nos vies, du positif, des leçons, et même du plaisir, du bonheur et de l'épanouissement personnel...
    Mais c'est vrai aussi, que certaines personnes savent profiter de nos faiblesses dans ces moment-là, pour assouvir, même inconsciemment, leurs désirs et leur besoin de grandeur et de reconnaissance, pour pallier à leurs propres faiblesses, ou chercher des solutions à leur problèmes et tenter d'être ce qu'ils ne sont pas capables d'être dans leur vie quotidienne... Pour se guérir, mais souvent au détriment de nous...

    Ce que je trouve beau, merveilleux, magique dans ce genre de relation, c'est le don de soi jusqu'à l'obéissance, l'offrande de son cœur de son âme et de son corps, mais... dans le cercle de l'intimité sacrée...
    Mais je trouve que quand on sort cette relation, de cette intimité, elle perd toute sa grandeur. Elle ne sert plus que la gloire du Maître, qui devient fier et tout puissant aux yeux de tous. La soumise devient son objet. Il en dispose, la montre et l'exhibe par la voie de blogs, de forums, de msn, de cams ou de clubs privés, dans le seul but d'être reconnu et admiré de tous... Elle se sent fière, elle aussi d'oser ce que personne n'ose, par amour, mais le plus souvent au détriment du respect d'elle-même...
    Mais je pense que cette femme, justement, cette femme perd aussi toute sa beauté, sa noblesse, sa dignité, et sa valeur... Et pourtant, je sais bien que tous les deux font cela pour se grandir, se découvrir et retrouver, grâce au regard des autres, la confiance qu'ils ont perdu en eux-mêmes, pour se prouver qu'ils valent quelque chose, qu'ils existent, qu'ils s'aiment et sont aimés, mais...

    Toi, tu es une femme si belle dans le cœur, l'âme et le corps, que je trouve que tu mérites bien mieux, et bien au-delà...
    Tu me diras tout ça oui... Et tout restera dans le cercle de cette intimité sacrée si belle à mes yeux, celle où tu peux faire ce que tu veux, quand tu veux, et moi aussi... celle aussi où on est libres et heureuses, où on prend ce que l'on s'offre, sans rien demander, naturellement...

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    Fais-moi l'amour avec force, avec rage
    Dans le velours, sous les orages
    Prends-moi fort mais avec tendresse
    Mords mes seins, empoigne mes fesses

    Fais-moi l'amour en riant, avec douceur
    Au grand jour, à la faible lueur
    Serre-moi délicatement, avec émotion
    Bouleverse-moi de toutes tes passions

    Dès que je lâche ta main, le froid s'installe en moi et entoure mon corps de mélancolie. Il y a comme un vent d'hiver qui souffle en moi. Un vent violent de saison turbulente. Celui qui laisse mes cils givrés en perles opalescentes. Celui qui casse l'amour en petits morceaux balayés d'un revers de feuille. Le vent du vide. Le vent du rien. Le vent du pire. Le vent voleur. Viens avec moi. Garde-moi en ta chaleur. Ton corps sait si bien me réchauffer, me consoler, me consumer...

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    Mon amour, des semaines que j'essaie d'exprimer ce que m'apporte notre relation sans vraiment parvenir à dire ce que je ressens au fond de moi... Je vais essayer encore une fois...

    Quand je t'ai connue, je me sentais très sûre de moi, très forte, je pensais avoir raison sur plein de choses, j'avais des convictions très fortes, souviens-toi...
    Je croyais m'être trouvée, je n'avais trouvé qu'une ombre, l'ombre de moi-même, une errance posée un instant sur une croyance... Pas de faits, juste des mots dits pour faire positif, faire croire... Quand les mots s'en vont, c'est un grand froid, la peur, le "je ne sais plus"...
    Les yeux s'ouvrent... Je te vois si belle, si naturelle, si différente... Tu viens avec ton amour et tout toi balayer ce à quoi je croyais tant, me montrer les leurres de ma vie... Que de ménage en moi... Je me retrouve mais elle, qui était-ce?... Je ne sais plus mais auprès de toi j'ai trouvé... l'amour...

    Je t'aimais déjà profondément et je voulais t'apporter le meilleur... Je ne sais pas. J'imaginais comme une sorte de délivrance de toi-même à force d'amour et de patience. Et j'aurais tout fait pour ça...
    Dans cet esprit-là, être celle que tu cherchais, dont tu avais besoin, était quelque chose de magique. J'étais comme sur un piédestal. Je le vois bien maintenant.

    Mais toi, mon ange, toi, avec ta douceur, tes mots, ton amour et ta sagesse, tu as patiemment ouvert mon esprit et mes yeux sur moi-même. J'ai réalisé... douloureusement... Réalisé les leurres de mon passé, les leurres de ce que je croyais avoir aimé. Réalisé la dérision de ce que je croyais t'apporter face à l'ampleur de ce que toi tu m'apportais... Je réalisais à quel point c'est moi qui avais besoin de toi et quelle force immense tu avais en toi pour me sortir de là où j'étais tombée...
    Ma superbe en a pris un coup... Me voici remise à ma place et j'ai reçu une belle leçon de modestie...

    De tout cela je te suis reconnaissante à jamais, mon amour... J'ai besoin de toi, bien au-delà des mots, pour faire du tri en moi, redécouvrir certaines valeurs tant je suis perdue et recommencer à m'aimer... J'ai besoin de toi pour tout ce que tu es, pour tout ce que tu donnes, pour tous les mots que tu mets sur mes blessures... J'ai besoin de toi, de ton amour, parce que c'est si doux d'être aimée et protégée par toi... J'ai besoin de toi pour la force de tes passions, la force de ta liberté, de tes sentiments et de cet amour qui brûle en toi... pour moi.
    Je t'aime. Plus jamais, plus fort que jamais, reste avec moi...

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    Si lourd est le poids de ton absence
    Si lourd est le poids du temps qui ne passe pas assez vite
    Comme un train qui se traîne
    Et n'en finit pas d'aligner ses wagons

    Si lourd est le poids du vide laissé
    Qu'on n'a même plus envie de le remplir
    Si lourd est le manque de toi
    Qu'il entraîne l'âme et le corps
    Dans une interminable chute...

    Mais si grand est notre amour
    Que même tout ça semble dérisoire...

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    Delire, délice
    D'un jeu complice
    Sensuel et coquin
    Comme je les aime...

    Oui, je mangerai tes seins
    Les sucerai, les aspirerai...

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    Tes lèvres sur mon sein dans cette attitude enfantine que j'aime tant... Femme-enfant, la tête reposant sur mes genoux.
    Ta bouche caresse, aspire, mordille, joue.
    Derrière tes yeux fermés, je devine les étoiles. Sous tes longs cils noirs, je ressens les larmes d'émotion, prêtes à éclore, à laisser sur ta joue et sur ma poitrine ce sillon pailleté de magie.

    Tes lèvres sur mon sein et tant de sensualité, de féminité, de fragilité en toi, à cet instant. Ma main dans tes cheveux et tant de passion, d'amour et de tendresse dans mon cœur épris, bouleversé.
    Lorsque la chaleur de tes lèvres envahit mon corps, te berçant de tout son amour, j'ai tant d'envies de prendre soin de toi, de te garder là où tu es si bien, tant d'envies de te protéger...

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