Je pourrais t'aimer tous les jours, pour toujours et ça

commencerait dès le matin par mon tout premier regard pour toi, mon tout premier sourire, ma toute première caresse, mon tout premier bonjour et mon tout premier baiser. Je t'apporterais le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits... accompagné d'une chanson d'amour ou de mots tendres murmurés avec douceur. Je te demanderais si tu as bien dormi et j'écouterais attentivement ta réponse et le récit de tes rêves. Je te lancerais un clin d'œil complice dans le miroir lorsque tu te maquillerais et je t'embrasserais sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.

Je prendrais le temps de te regarder, de te parler et de te toucher avant de commencer ma journée de travail. Je t'accompagnerais à la porte au moment où tu te préparerais à partir, en te souhaitant une bonne journée, les bras autour de ton cou. Je m'installerais à la fenêtre et te ferais un signe de la main, en affichant mon plus doux sourire. Je te téléphonerais pour un rien, juste pour te dire que je t'aime, prendre de tes nouvelles ou entendre ta voix. Je te ferais des surprises, des cadeaux par centaines, sans rien attendre en échange.

Je t'accorderais parfois la liberté de vivre pour toi-même, sans mon attachement excessif, sans la prison de ma possession, en te laissant sentir que je t'aime toujours, même si nos corps sont loin l'un de l'autre. Je t'assurerais que nos âmes se moquent des distances et qu'elles sont tendrement enlacées en toute circonstance, quelque soit les heures, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent et je te lancerais des pensée par milliers, les yeux fermés, pendant de longs instants.

Je serais là pour t'accueillir et t'étreindre si fort, à ton retour à la maison, en goûtant tout simplement la sagesse du silence ou en te demandant de me raconter ta journée. Je me serrerais contre toi, je pourrais rire des heures ou m'émouvoir avec toi. On nourrirait notre complicité de n'importe quelle façon. On ferait l'amour jusqu'à l'aurore, encore et encore, comme au tout premier jour, jusqu'à notre tout premier bonjour...

Tu es si douce à aimer
Si belle à regarder grandir
Si mienne dans ton abandon
Si fière dans ton amour
Et ce timide regard
Tantôt noyé de vide
Tantôt noyé de joie
Et puis...
Il y a ton sourire
Ton sourire...

Dans cette vie-là
Dans cet amour-là

Il n'y aura pas de nuit sans toi
Il n'y aura aucun jour sans toi

Pas de lit vide
Pas de visages livides

Pas de place nue à côté de moi
Pas de corps solitaire et froid

Pas de froid comme une épine dans le dos
Pas de larmes comme de si longs couteaux

Pas de repos sans ta main dans mes cheveux
Pas de sommeil sans tes bras chaleureux

Pas de réveil sans tes yeux dans mes yeux
Pas de matin sans nos sourires heureux

Il y aura toi et moi
Il y aura nous, là

Dans cette vie-là...
Dans cet amour-là...

"Justmeforyou" & Coquine

Ce soir, je suis fatiguée
Mais je ne veux pas dormir
Pas dormir, penser à toi
Laisser venir ces pensées furtives
Les laisser me rendre un peu de toi
De ta douceur, de ta présence
Les laisser m'envelopper de nous
Pas dormir pour être là, avec toi
Dans le bal de ces pensées folâtres
Bal d'allées et venues
Mélange de souvenirs joyeux et d'images
Doux fantasmes d'un esprit qui s'entortille
Dans le moulin de mon âme

Recouvre-moi en tentures et parures comme le délice sucré de nos draps parfumés. Je te fais don de mon abandon. Du carcan magique de mon corps qui s'offre à ta peau. De cette intimité sacrée qui, sous le voile de nos mains et la soie de nos doigts, nous possède et me cède à tes désirs, à nos plaisirs.

Jambes mêlées emmêlées...
Force de mon corps sur le tien
Force d'un esprit épris
Ma chaleur t'empare
Effaçant le froid doucement
Je possède ton corps et ton âme
Libre sous cette force
Tu es mienne
Je suis tienne
Peau contre peau
Désir contre désir
Souffle contre souffle
Fusion... Jouissance
Le temps n'existe plus
Ni le temps ni la peur... enfin
Je t'aime

J'ai ma main sur mon ventre, en ondes inutiles
Sa caresse est froide, sa douceur bien futile
Et la tienne est si loin, et la tienne est sans fin
Sur ma peau qui désire te trouver au matin

J'ai le drap sur mon dos, en pli désabusés
Sa parure de glace et son délicat baiser
Et les tiens sont si loin, et les tiens sont sans fin
Sur mes lèvres offertes à ton plus doux satin

Pourquoi?
Parce qu'avec toi j'ai trouvé...
L'écho de mon âme
L'écho de mes pensées
L'écho de mes mots
Oui... Simplement...
Un amour en écho à mon amour
Un écho en accord parfait
Simplement...
Quand je dis "je t'aime"
Tu réponds "je t'aime"...

Emmène-moi, emmêle-moi
Couvre mon corps du tien si j'ai froid

Embrasse-moi, enserre-moi
Epouse si fort mes courbes de tes bras

Tes jambes entre mes cuisses font des nœuds inextricables tandis que nos langues enchevêtrées ne se lassent pas de se caresser tendrement.

Sentir ta force peser sur moi, tout ton corps en puissance sur le mien en offrande.
Que chaque parcelle de ta peau recouvre la mienne.
Que chaque relief de tes formes se referme sur moi comme un divin sépulcre, comme le piège infernal où tombe l'amour en embuscade et son nectar en cascade.

A... comme Amour
M... comme Mélancolie
O... comme Oser
U... comme Unies
R... comme Rêves

Un jour, tu verras, le temps s'arrêtera sur notre amour...
On n'aura plus peur des heures qui passent trop vite ou trop lentement...
Parce qu'on aura tout le temps qu'on voudra et la vie devant nous...
Je t'aime mon Ange

Entre nous, mon Ange, l'amour ne dort pas.
Il ne se repose même jamais.
Il a trop à faire, il veille...
Il n'a même pas le temps de profiter de lui-même...
Il doit faire face, se battre sans trève.
Contre tous et tout ce qui veut l'anéantir.
Il prend des coups, il est même blessé parfois.
Il a froid, il a faim, il a peur.
Il a mal aussi encore, mais il se relève toujours et même il grandit.
Et plus on veut l'abattre, plus il devient fort et fier de lui...
Parce qu'il possède en lui-même une arme terrible :
La force et le courage d'être et de vouloir continuer à exister...
Mais bientôt il trouvera la paix et ce sera le bonheur...
Je t'aime mon ange...

J'ai peur de vieillir, sans toi
Peur de languir, là, sans tes bras
J'ai peur que le froid m'enveloppe
Et que le manque grignote
Ces quelques heures qui me font trépasser
Ce long moment d'éternité
J'ai peur que ma peau ne flétrisse
Peur que mes yeux se rident
Même si jamais ils ne se vident
De ton regard de femme amoureuse
Où transperce ton âme fièvreuse

J'ai peur que la vie me quitte
Peur que les ténèbres m'habitent
J'ai peur que la nuit me prenne
Et que ton image ne vienne
Egayer mes soupirs
Et dessiner un sourire
Sur mon visage endormi
Seul, paisible, si loin de ta folie
J'ai peur de ne trouver de repos
Sans tes seins contre mon dos
Peur de perdre ton amour
Comme je t'aime, toi, pour toujours

Ce soir il pleut.
Mais juste de ces douces pluies d'été qu'on a envie de partager et de regarder tomber.
J'ouvre la porte du salon. La pluie est là, dehors.
Je prends ta main et te tire un peu à moi... doucement.
Ce soir, j'ai juste envie de regarder tomber cette pluie, avec toi, là, assise sur le seuil, entre mes bras, entre mes jambes, ma tête dans ton cou...
Te serrer fort qomme tu aimes et te dire des "je t'aime"... sans m'arrêter, là, joue contre joue...
Laisser parler l'amour et battre ton coeur...
Mon amour, si tu savais comme tu me manques, comme tu me manques et comme je t'aime...

Mon amour...
Je ne dors pas... je pense à toi... à ta force et ton courage
Ton courage... Le courage de vouloir moi
Je pense à toi que j'aime et que j'ai délaissée ce soir
Je pense à toi que je ne mérite pas
Je pense à toi que je voudrais près de moi et que je n'ai pas la force d'aller chercher
Je pense à toi que je laisse seule face à ses doutes, face à ses peurs, face au long chemin pour me rejoindre
Je pense à toi que j'aime
Je pense à toi qui me manques et que je ne sais pas comment retrouver
Je pense à toi, seule dans ta nuit
Je pense à toi et je te voudrais là
Je pense à toi, mon amour... mon amour, mon amour, mon amour...
Je pense à toi et j'ai les yeux dans l'eau...

A toi, mon ange, je dédie ces quelques mots
A toi, l'ange d'amour qui habite mon coeur à ce jour
A toi, je donne tout mon amour qu'il me venge
Et tant pis s'il dérange
Un jour, dans la rue, je prendrai ta main
Un jour, dans la rue, je prendrai ta bouche
Mon amour, je t'aime...

J'ai aimé cet arrêt sur image, cet arrêt en impasse. J'ai aimé la fougue de ma spontanéité et l'ardeur de notre intimité. J'ai aimé le ciel de lune et la nuit en offrande, le silence sur les champs et ta main sur mon sein.

Ma belle mystérieuse, que tes traits semblaient fins à la lueur de l'amour, que ton visage était beau dans l'ombre frémissante.

Je me suis offerte à tes baisers, la tête renversée, le coeur bouleversé, les doigts serrés pour ne pas empoigner ton visage et permettre au mien de céder à tes caresses. L'émotion de nos corps à l'étroit, la magie de nos courbes en cet endroit, l'apaisement de nos sens éveillés, la délicatesse de ta peau contre la mienne...

J'ai aimé la nuit nous couvrant de mystère et d'impatience, les bruits alentours et les ombres du silence et notre intimité, ce soir-là, cette pulsion inattendue, à la fois si sauvage et si tendre, le désir nous emportant loin de tout, loin de tous et tes mots sur ma bouche en "je t'aime" farouches.

S'il y avait mes bras autour de toi
Il y aurait ta tete dans le creux de mon épaule

S'il y avait mes mains sur tes joues
Il y aurait ma bouche sur ta bouche

S'il y avait mes mains sur tes seins
Il y aurait la folie dans ma tête

S'il y avait mon corps contre ton corps
Il y aurait tes yeux dans mes yeux

Il y aurait le bonheur
Je t'aime
T'en va plus de moi
Reste avec moi

Nues, toujours nues, je t'aime nue
Même si pas seulement, mais dans les images
Nues, pour ne rien refuser l'une à l'autre
Ne rien cacher, tout donner
Nues, les yeux qui se posent partout
Qui caressent et les doigts qui suivent
Les frissons qui surgissent, les esprits qui survivent
Puis qui s'enflamment
Mes images c'est tes mains sur moi
Mon dos qui se cambre, le désir dans tes yeux
Et surtout, sentir le plaisir de donner et de faire
Sans ressentir ce que trop souvent j'ai ressenti avant
Quand l'autre semble se débarrasser de quelque chose
Juste pour arriver plus vite a ce qu'il veut
Nous c'est jamais ça, on peut se caresser des heures

Mes images me disent que tu aimes me caresser autant que j'aime te caresser
Mes images me disent que j'aime me laisser faire autant que j'aime faire
Mes images me disent que tu aimes te laisser faire autant que tu aimes faire
Ces images-là, elles sont la passion
Te faire l'amour n'a rien à voir avec le passé
La passion à l'état pur, juste l'envie et le désir sans contrainte, juste la passion
Et ça me dévore cet amour-là, avec tout dedans
Avec toi j'aime ce que je n'aimais pas
Avec toi je vis ce que je ne vivais pas
Et surtout j'exprime ce que je n'exprimais pas, pas si naturellement
Besoin de rien d'autre, juste de toi pour que le plaisir soit là
Que je te caresse ou que tu me caresses
Et là, ça me manque, comme me manque ta tendresse
Ce grand nid de tendresse que tu dresses autour de moi

Ce jour-là, je prendrais ton corps nu, libre et offert, j'attacherai tes mains au-dessus de ta tête, juste pour libérer ton corps, le dénuder plus encore, le prendre plus encore, tout prendre du bout des doigts, qu'aucune parcelle de ton corps ne touche ton corps, juste moi, et lui, et tes yeux fermés. De mes doigts je te caresserais, toute a moi, de haut en bas, glissant sur toi de mes mains, de mes lèvres, de tout mon corps, sans que nul pore de ta peau ne m'échappe, que je puisse te couvrir de moi, partout, d'amour, de feu, de frissons, que tout batte en toi, tout, que tout se tende, se cambre et s'offre, se donne, parce que je ne sais pas vouloir par morceaux, je veux tout.

Mes doigts glisseraient tout doux, tes épaules se crisperaient, ton cou s'offrirait a mes baisers, il n'y aurait que la chaleur de l'amour, je caresserais, je serrerais, j'embrasserais tout, avec passion, de tout mon corps contre le tien. Je sens mes doigts descendre sur tes bras, et les faire tressaillir, je sens ma bouche sur ta bouche, mon souffle sur ton cou, ton corps s'affoler, le mien s'affoler. Je sens mes doigts régner sur ton corps, de tout leur amour, de toute leur passion, régner sur tes rondeurs, tes rondeurs...

Je viendrais tout contre toi, laissant le désir me guider, l'amour me guider, ton plaisir me guider. Plus qu'une danse, je tournerais autour de toi, baiserais ton dos comme tes seins, tes cuisses comme tes fesses, tout ton corps, comme si je voulais le noyer de moi, sans que tu puisses rien empêcher, sans que tu veuilles rien empêcher... Pas tuer l'amour, le laisser vivre, exprimer, être, vivre et ressentir, donner, puis en toi je viendrais... en toi, jusqu'a la délivrance. Alors je te détacherais, je te blottirais dans mes bras, et... des larmes, mais pas de chagrin, des larmes... qui parlent sans mots...

Mon Amour, ma toute petite femme que j'aime, je ferai tout pour que, lorsqu'on vivra ensemble, il n'y ait plus de larmes dans tes yeux.

Dans nos rêves, plus de peurs, plus de larmes, juste le bonheur de ces larmes d'or et de feu... Et sur tes lèvres, ces sourires qui me font fondre de tendresse.
Tous les jours, te voir bouger et vivre, partager tes joies, tes peines, faire de toi une femme heureuse, tous les jours oui, tous les jours.

Tous les jours, pouvoir me réveiller la nuit et te regarder dormir, te faire des câlins et savoir que, si je te réveille sous mes caresses, tu seras heureuse et que tu te donneras à l'incendie de nos corps... Que je t'aime toi.

Je t'aime, mon ange d'amour. Je ne dors pas de toi alors je pense à toi... Je n'ai plus froid mais j'ai noir, tout noir en moi... Je veux toi, ta tête sur l'oreiller, mes bras autour de ton corps, mes mains, ma tête sur tes seins. Je suis si bien sur tes seins.

Encore ton corps qui se donne et qui me prend de tout son être, encore ta tête qui part en arrière et qui me dit "prends tout, tu peux tout", encore mon esprit qui s'affole de toi, mon corps qui s'embrase... Encore te sentir onduler sous mes doigts... Encore, encore, emporte-moi encore et encore, vivre la passion de toi, la passion de ton corps.