• En attendant la fessée

     

    Tu peux tout, toi. Tu peux tout prendre de moi. Même ce qui est interdit, même ce qui semble tabou, même ce qui me paraît peu aimable, peu désirable.  Je te fais don de tout moi, mais uniquement à toi. Tu peux lécher, sucer, titiller, tu peux caresser du bout de la langue, d'une paume alanguie et frémissante. Tu peux jouir de cette facette de moi que je n'offre qu'a tes ordres. Je n'en connais pas encore les réactions ni les limites, je te les laisse decouvrir, territoire vierge à apprivoiser, à dompter, délicatement, délicieusement, sûrement, attentivement, precautionneusement, tendrement au début, puis... à ta guise...

    Je sens souvent ta main qui s'y égare,  puis se retient, puis y retourne un peu, tentation refoulée, par peur de faire mal ou de mal faire... Je la sens qui caresse, qui glisse, inexorablement, toujours plus près du petit orifice auquel tu donnes de mignons petits noms. Elle s'approche, effleure, je suis couchée sur le ventre et ne vois pas ton regard à cet instant, hélas... Je le devine fou, de fièvre, cillant en tous sens, comme ivre d'envies et de folies retenues. Je devine ta frustration en découvrant la mienne. Mais tu mérites tout, parce que je t'aime et que je veux donner mon corps à ton âme...

    « Un peu de violence pour faire l'amourPartir en vacances toutes les deux »
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