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Douceur qui dégouline
Glisse, glisse entre vos doigtsMon corps se cambre et s'incline
Vite, vite, léchez-moiN'en perdez pas une miette
Perdez seulement la têteVoyez ce miel appétissant, sentez cette douceur qui inonde votre langue, coule au fond de votre gorge.
Véritable supplice, vous ne résistez pas à la tentation, vous languissez de ce nectar alléchant, de cette saveur inoubliable, de mon sein sous vos ardeurs, qui gonfle d'impatience et de désir.
Plus les gouttes s'affolent et plus l'envie vous submerge, plus mes frissons étouffés vous cajolent et plus votre appétit devient féroce.
Parcourez-moi de votre langue experte, réchauffez-moi de vos lèvres brûlantes, promenez-vous sur mon corps en émoi, explorez-moi de l'intérieur...
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Je voudrais que tu embrasses ma bouche
Même si je sais que c'est loucheJe voudrais que tu poses sur mes lèvres
Les tiennes comme dans un rêveJe voudrais tes baisers dans mon cou
Que ta main caresse ma joueJe voudrais que tu me serres dans tes bras
Pour ne plus jamais avoir froidJe voudrais que tu caresses ma peau
Comme le plus doux des cadeauxJe voudrais que tu murmures des mots d'amour
Tels les frissons qui me parcourentJe voudrais t'offrir mon corps
Si tu es d'accord...
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Un matin où je n'avais envie de rien. J'ai croisé un jour son regard noir dans ce couloir. Fondante sous mon sourire enjôleur et coquin, Elle s'est abandonnée à sa faim d'un amour serein. Un sourire illumina son doux visage, un rayon de soleil a traversé mon cœur, nos regards se sont perdus dans ce monde pas si sage, qui nous emmène vers le bonheur.Ce regard plein de tendresse était comme une promesse, dont rien ne pouvait me détourner, je n'ai pu que l'inviter, à nos désirs partagés, dans une soirée d'allégresse. Sans résister, Elle s'est laissé emmener. Elle...! Ses longs cheveux bruns ondulés, flottait autour d'Elle comme une auréole dorée. Son visage fin et bien dessiné que j'admirais sans cesse, plus belle qu'une princesse, Elle était une déesse.
Au son d'une musique irlandaise nous découvrions de nouvelles sensations. Nous avons dansé, chanté, et même nous nous sommes marchés sur les pieds. Belle soirée de complicité qui ne devait pas s'arrêter. Je l'ai raccompagnée, Elle m'a invité, nous étions plein d'attentions. La grâce naturelle de ses déplacements était délicieuse.
Nous nous frôlions, il n'y avait pas de hasard. Alors doucement, je l'ai attirée contre moi, ce soir il y aura des envieux. N'est-il pas plus douce sensation que le premier regard ? Que le premier baiser ? Que la première caresse ? Premières empreintes du désir qui nous empresse ? De mes caresses, j'ai dessiné son corps dans ma mémoire, écoutant le souffle de son histoire qu'un amant a laissé choir.
Elle dit oui avec le corps, Elle dit non avec le cœur, c'est tout à son honneur. Et même si mon cœur s'emballe et que j'ai mal, je lui donne ma tendresse comme une promesse. Même si ce n'est pas banal et ne restera pas dans les annales, à son grand regret, nous sommes restés dans la sagesse. Elle... L'espace d'une soirée sans trêve, j'ai tout de même été son rêve...
Texte : Samval
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J'aime ce blog, j'aime cette femme, DCSL, Douce Coquine Sensuelle et Libertine. Mante religieuse, amante ténébreuse, gourmande, délicieuse et mûtine, ses écrits sont comme la caresse d'une nuit torride plus que câline.
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Les yeux qui pétillent, les lèvres entrouvertes, le pas que tu écoutes, la silhouette sur laquelle tu te retournes, le regard que tu devines, que tu attends, les mots qui te font chavirer, les taquineries qui te rendent impatiente...
Croque-le comme on mord dans un fruit défendu
Suce-le comme un bonbon pour une enfant pas sage
Que ta langue le parcoure sans aucune retenue
Que tes mains le dévorent sans trop faire de ravagesSi ton corps le désire, chuchote-lui ta passion
Si ta peau le réclame, oublie tes interdits
De ces silences entre vous, qui tremblent d'émotion
Fais-toi plaisir encore, enivre-toi de lui
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Tu t'insinues et tu t'immisces
Tu glisses entre mes cuissesTu t'ingénues et tu persistes
A vouloir poursuivre ta visiteTu impromptues, tu érotises
Mon charme fait ta gourmandiseTu continues et tu m'attises
Et moi j'adore faire des bêtises
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Exquise esquisse de vous en ce portrait, délicieuse envie de vous caresser de mon regard, de vous effleurer de mon sourire, de poser mes lèvres sur votre visage en noir et blanc, pour en réchauffer les couleurs.
Agréable sensation que celle de vous toucher au travers du verre, que celle de vous étreindre au dehors du cadre, que celle de vous enlacer par-delà les contours de votre mystérieuse silhouette.
J'aime vous presser contre mon cœur, j'aime vous étouffer de mes sanglots, j'aime vous désirer sans vous côtoyer, j'aime l'idée de vous appartenir en filigrane.
Impatiente de ce moment où vos yeux m'observent à la dérobée, empressée de briser les apparences, de vous ravir un baiser, de me lier à vous pour une éternité, dans ce cachot de glace qui deviendrait le nôtre, prisonniers à jamais de nos envies, liés pour toujours, seuls mais ensemble, rien que vous et moi, à l'abri des tentations des autres.
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Une seule une nuit d'amour intense
Et mourir pour emporter à jamais ce souvenir
De passions sensuelles comme une danse
Douces à n'en plus finir
Déshabiller sans toucher
Juste effleurer ce corps frissonnant
Que j'ai tant désiré
Poser mes lèvres en susurrant
Au creux de ton oreille, des mots interdits
Glisser mes lèvres dans ton cou relevé
Pour faire ressurgir tes fantasmes enfouis
Ecouter ton souffle s'emballer
Je visite ce corps abandonné
A mes caresses qui n'ont de cesse
Que de soulever ta poitrine galbée
Gonflée de désir par ces gestesSentir ton parfum envoûtant
Goûter le bout de tes seins durcis
Par ces caresses prodiguées délicatement
Caresser l'intérieur de tes cuisses épanouies
Et de mes lèvres passionnées
Fouiller tes muqueuses humides et gonflées
Pour voler ton intimité
Ton corps ondulant de ma langue ardente
Tes envies se font pressantes
Alors tu prends dans ta bouche ma puissance
Et je ne suis plus rien
Sous les assauts de ta langue brûlante
Je suis un pantin, je t'appartiens
De cette douce saveur partagée
Où nos corps s'entremêlent
Le temps s'arrête sur nos gestes endiablés
Seule, reste notre danse sensuelleEmpalée sur mon corps allongé
Nous remuons, nous bougeons, nous fusionnons
Dans un corps à corps acharné
Où se mêlent nos frissons et nos passions
Quand au petit matin ton corps tremble, se cambre
Venue du fond de ton antre, tu libères ta jouissance
Hurlante de ton extase brûlante
Que je regarde de ma passion ardente
Alors épuisés, nous nous enlaçons
Resserrant nos étreintes pour immortaliser
Cet instant merveilleux de fusion
Alors je sèche tes larmes d'un bonheur oublié
Une seule nuit
Une seule nuit d'amour infini
Une seule nuit contre une vie
Une seule nuit pour le PARADIS
Merci à SAMVAL pour ce long poème rien que pour moi :)
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Envie de me procurer un prologue, un prologue intense, jouer l'actrice assidue, me faire sauvage, et à la fois tendre, insolente et joueuse irrespectueuse.Vous dévorer du regard, me faire sensuelle, immobile à vous dévorer sans vous toucher, vous attirer à moi dans mes filets telle une proie.
Sur vous, intensifier et ralentir mes caresses.
Caresser, mordiller, souffler, sucer, lécher, griffer. . .
Sensations langoureuses, avec une adresse exceptionnelle et des discours érotiques, accompagnés de gestes adéquats, de caresses proportionnées.
Vous habiller de mes gestes habiles, m'habiller de vous, laisser glisser l'amour sur vos hanches, vous pousser au vice.
Tentatrice que vous êtes, je vous accorde ce langoureux prologue. Malmenez-moi de votre regard froid et indécis, impassible diablesse aux cuisses entrouvertes et offertes, aux caresses venimeuses et expertes.Vous faites monter en moi de telles fièvres que la fascination d'être lié à votre corps fait de moi votre esclave jusqu'au matin.
Profanez-moi de votre bouche à la chaleur délicieuse, pétrissez mon torse de vos seins, meurtrissez ma chair de vos mains perverses. Faites monter en moi le désir si lentement que je m'en sente comme fourvoyé, mon souffle s'accélérant contre votre nuque, mes muscles se contractant au rythme de vos gestes espiègles, exquises saccades de la cambrure de vos reins.
Je vous laisse jouer avec mon corps jusqu'à ce moment où je ne pourrais résister à l'envie de vous toucher enfin, de vous pénétrer si profondément, si intensément, de tout mon être, de toute ma folie, face à votre vice, jusqu'à ce moment divin où votre rôle prendra fin et où votre cri déchirera le silence de notre décadence.
Texte : DCSL et moi
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Nous nous sommes rencontrés sur ce marché, un matin froid et ensoleillé d'automne. Très vite la complicité, la connivence et les sentiments nous ont rapprochés. Nous avons parlé de nos vies, de nos joies, de nos peines, de nos amours.
Toujours sur ce marché, dans ses allées, entre ses étals, au café d'en face. Jusqu'à ce premier baiser d'amoureux, échangé sur ce trottoir étroit et passager.
Aussitôt nous sommes allés dans cet hôtel, où j'avais si souvent rêvé t'emmener. Je t'ai déshabillée avec douceur, tu as fais de même avec tendresse. Nos mains se sont effleurées, touchées, caressées. Nos lèvres cherchées, goûtées, explorées. Nos corps frôlés, étreints, fusionnés. Puis nos sexes, avides et désireux l'un de l'autre, se sont trouvés et offerts.
Des instants empreints de sensualité, d'érotisme et d'intemporalité sublime. Et cette idée que notre amour ne serait plus désormais qu'éternité...
Et puis, nous nous sommes retrouvés sur ce marché bruyant du plein été. Rien n'avait changé, immuable cadence de la société gorgée de soleil. La chaleur suffocante de cet air doux, les voluptueuses senteurs se dégageant des étals, nos mains qui ne se quittaient plus, nos cœurs qui battaient à la chamade, à cette idée de nous unir encore dans cette petite chambre, antre de nos rêves complices et de nos délices.
Nous sommes montés côte à côte.
Ton regard tendre a épié le moindre de mes gestes sous cette douche apaisante et rafraîchissante. De mes cheveux relevés aux courbes de mes seins, de mes lèvres entrouvertes à la cambrure de mes reins. Tu m'as rejointe et nos corps, à nouveau, se sont envoûtés, déroutés par tant de passions retenues, d'envies secrètes.
L'eau scintillait sur nos peaux comme de petites larmes de plaisir, se mêlant au balai de nos langues, réfrénant à peine cette fièvre de nous, se nourrissant de nos bouches, se délectant de nos corps.
La porte s'est refermée une fois de plus sur deux amants éperdus. Dans mes rêves les plus fous, j'en conserve la clé pour l'éternité...
Texte : Cokinou et moi
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Entre vous deux, mon corps balance
Qui de vous deux, le cœur qui flanche
J'ai deux amours, deux références
Mais pour lequel ma préférenceAnge ou démon
Passion, déraison
Le feu a eu raison
Des sens en fusionEntre vous deux, mon cœur qui bat
A la chamade mais ne rompt pas
La tendresse ne permet pas de choisir
Les plaisirs que je rêve de vous offrirHomme ou femme
Je suis sous le charme
Les yeux plein de larmes
Ma tempête ne se calmeEntre vous deux, mon amour va
Où bon lui semble, je ne sais pas
Mon cœur sensible, inaccessible
S'est consumé mais reste vide
22 commentaires -
Au détour de votre peau
Je reste bien au chaud
Aux contours de vos caresses
J'oublie toutes mes faiblessesA l'approche de votre bouche
Je deviens moins farouche
A l'orée de vos tendres baisers
Je suis séduite, vous me troublezA l'élan de votre corps
Je fonds, j'en veux encore
A ce jeu qui nous perdra
Faisons l'amour, vous et moi
31 commentaires -
Tête à tête
Bouche à bouche
Corps à corps
Effluves secrètes de toi tout contre moi
Un désir qui naît, qui monte, qui se transforme
Nous transporte et nous bouleverse
Cœurs chavirés
Etreintes fusionnelles
Langues caressantes et mutines
Mains baladeuses et coquines
Un déshabillé contre un baiser
Un chuchotement que mes reins absorbent
Un frémissement que mes seins approuvent
Une passion
Un frisson sur ma peau
Une étincelle dans ton regard
Confusion des sens
Fusion des sexes
Effusion de plaisirs
27 commentaires -
Aucune retenue, aucune pudeur, libertiner avec bonheur et délectation, butiner avec délice et frénésie, jusqu'à plus soif, jusqu'à plus tard.
Douce, tendre et câline, aimer jouer avec les sens, aimer parcourir les corps de caresses et de doux baisers, aimer se pelotonner, se cacher, se protéger contre une peau sensuelle et chaleureuse.
S'abandonner totalement dans un élan de gourmandise et d'effronterie, rêver à n'en plus finir, chavirer de plaisir, ressentir le désir au-delà des chairs, l'appel des bouches avides, des langues savoureuses et des sexes ambitieux.
Aucune réserve, aucune décence, provoquer sans jamais affronter pourtant, tenter le diable et se sauver, prendre la fuite avant de s'attacher. Un cœur prisonnier ne voit plus le charme des fleurs à butiner.
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