-
Par Je, tu,... elles le 16 Février 2007 à 14:23
Exquise esquisse de vous en ce portrait, délicieuse envie de vous caresser de mon regard, de vous effleurer de mon sourire, de poser mes lèvres sur votre visage en noir et blanc, pour en réchauffer les couleurs.
Agréable sensation que celle de vous toucher au travers du verre, que celle de vous étreindre au dehors du cadre, que celle de vous enlacer par-delà les contours de votre mystérieuse silhouette.
J'aime vous presser contre mon cœur, j'aime vous étouffer de mes sanglots, j'aime vous désirer sans vous côtoyer, j'aime l'idée de vous appartenir en filigrane.
Impatiente de ce moment où vos yeux m'observent à la dérobée, empressée de briser les apparences, de vous ravir un baiser, de me lier à vous pour une éternité, dans ce cachot de glace qui deviendrait le nôtre, prisonniers à jamais de nos envies, liés pour toujours, seuls mais ensemble, rien que vous et moi, à l'abri des tentations des autres.
35 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 12 Février 2007 à 14:10
Envie de me procurer un prologue, un prologue intense, jouer l'actrice assidue, me faire sauvage, et à la fois tendre, insolente et joueuse irrespectueuse.Vous dévorer du regard, me faire sensuelle, immobile à vous dévorer sans vous toucher, vous attirer à moi dans mes filets telle une proie.
Sur vous, intensifier et ralentir mes caresses.
Caresser, mordiller, souffler, sucer, lécher, griffer. . .
Sensations langoureuses, avec une adresse exceptionnelle et des discours érotiques, accompagnés de gestes adéquats, de caresses proportionnées.
Vous habiller de mes gestes habiles, m'habiller de vous, laisser glisser l'amour sur vos hanches, vous pousser au vice.
Tentatrice que vous êtes, je vous accorde ce langoureux prologue. Malmenez-moi de votre regard froid et indécis, impassible diablesse aux cuisses entrouvertes et offertes, aux caresses venimeuses et expertes.Vous faites monter en moi de telles fièvres que la fascination d'être lié à votre corps fait de moi votre esclave jusqu'au matin.
Profanez-moi de votre bouche à la chaleur délicieuse, pétrissez mon torse de vos seins, meurtrissez ma chair de vos mains perverses. Faites monter en moi le désir si lentement que je m'en sente comme fourvoyé, mon souffle s'accélérant contre votre nuque, mes muscles se contractant au rythme de vos gestes espiègles, exquises saccades de la cambrure de vos reins.
Je vous laisse jouer avec mon corps jusqu'à ce moment où je ne pourrais résister à l'envie de vous toucher enfin, de vous pénétrer si profondément, si intensément, de tout mon être, de toute ma folie, face à votre vice, jusqu'à ce moment divin où votre rôle prendra fin et où votre cri déchirera le silence de notre décadence.
Texte : DCSL et moi
25 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 9 Février 2007 à 11:19
Nous nous sommes rencontrés sur ce marché, un matin froid et ensoleillé d'automne. Très vite la complicité, la connivence et les sentiments nous ont rapprochés. Nous avons parlé de nos vies, de nos joies, de nos peines, de nos amours.
Toujours sur ce marché, dans ses allées, entre ses étals, au café d'en face. Jusqu'à ce premier baiser d'amoureux, échangé sur ce trottoir étroit et passager.
Aussitôt nous sommes allés dans cet hôtel, où j'avais si souvent rêvé t'emmener. Je t'ai déshabillée avec douceur, tu as fais de même avec tendresse. Nos mains se sont effleurées, touchées, caressées. Nos lèvres cherchées, goûtées, explorées. Nos corps frôlés, étreints, fusionnés. Puis nos sexes, avides et désireux l'un de l'autre, se sont trouvés et offerts.
Des instants empreints de sensualité, d'érotisme et d'intemporalité sublime. Et cette idée que notre amour ne serait plus désormais qu'éternité...
Et puis, nous nous sommes retrouvés sur ce marché bruyant du plein été. Rien n'avait changé, immuable cadence de la société gorgée de soleil. La chaleur suffocante de cet air doux, les voluptueuses senteurs se dégageant des étals, nos mains qui ne se quittaient plus, nos cœurs qui battaient à la chamade, à cette idée de nous unir encore dans cette petite chambre, antre de nos rêves complices et de nos délices.
Nous sommes montés côte à côte.
Ton regard tendre a épié le moindre de mes gestes sous cette douche apaisante et rafraîchissante. De mes cheveux relevés aux courbes de mes seins, de mes lèvres entrouvertes à la cambrure de mes reins. Tu m'as rejointe et nos corps, à nouveau, se sont envoûtés, déroutés par tant de passions retenues, d'envies secrètes.
L'eau scintillait sur nos peaux comme de petites larmes de plaisir, se mêlant au balai de nos langues, réfrénant à peine cette fièvre de nous, se nourrissant de nos bouches, se délectant de nos corps.
La porte s'est refermée une fois de plus sur deux amants éperdus. Dans mes rêves les plus fous, j'en conserve la clé pour l'éternité...
Texte : Cokinou et moi
47 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 8 Février 2007 à 11:10
Entre vous deux, mon corps balance
Qui de vous deux, le cœur qui flanche
J'ai deux amours, deux références
Mais pour lequel ma préférenceAnge ou démon
Passion, déraison
Le feu a eu raison
Des sens en fusionEntre vous deux, mon cœur qui bat
A la chamade mais ne rompt pas
La tendresse ne permet pas de choisir
Les plaisirs que je rêve de vous offrirHomme ou femme
Je suis sous le charme
Les yeux plein de larmes
Ma tempête ne se calmeEntre vous deux, mon amour va
Où bon lui semble, je ne sais pas
Mon cœur sensible, inaccessible
S'est consumé mais reste vide
22 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 7 Février 2007 à 10:43
Au détour de votre peau
Je reste bien au chaud
Aux contours de vos caresses
J'oublie toutes mes faiblessesA l'approche de votre bouche
Je deviens moins farouche
A l'orée de vos tendres baisers
Je suis séduite, vous me troublezA l'élan de votre corps
Je fonds, j'en veux encore
A ce jeu qui nous perdra
Faisons l'amour, vous et moi
31 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 6 Février 2007 à 11:14
Tête à tête
Bouche à bouche
Corps à corps
Effluves secrètes de toi tout contre moi
Un désir qui naît, qui monte, qui se transforme
Nous transporte et nous bouleverse
Cœurs chavirés
Etreintes fusionnelles
Langues caressantes et mutines
Mains baladeuses et coquines
Un déshabillé contre un baiser
Un chuchotement que mes reins absorbent
Un frémissement que mes seins approuvent
Une passion
Un frisson sur ma peau
Une étincelle dans ton regard
Confusion des sens
Fusion des sexes
Effusion de plaisirs
27 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 2 Février 2007 à 10:46
Aucune retenue, aucune pudeur, libertiner avec bonheur et délectation, butiner avec délice et frénésie, jusqu'à plus soif, jusqu'à plus tard.
Douce, tendre et câline, aimer jouer avec les sens, aimer parcourir les corps de caresses et de doux baisers, aimer se pelotonner, se cacher, se protéger contre une peau sensuelle et chaleureuse.
S'abandonner totalement dans un élan de gourmandise et d'effronterie, rêver à n'en plus finir, chavirer de plaisir, ressentir le désir au-delà des chairs, l'appel des bouches avides, des langues savoureuses et des sexes ambitieux.
Aucune réserve, aucune décence, provoquer sans jamais affronter pourtant, tenter le diable et se sauver, prendre la fuite avant de s'attacher. Un cœur prisonnier ne voit plus le charme des fleurs à butiner.
37 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 31 Janvier 2007 à 09:57
Etre amants quand personne ne comprend
Etre à toi quand personne ne nous voit
Se cacher pour s'aimer
Se taire pour chuchoterSatisfaire nos envies à l'abri des on-dit
Satisfaire nos pulsions au rythme des saisons
Profiter de nos corps sans avoir de remords
Profiter de ce secret sans avoir de regretsÇa et là, un peu partout, profiter de nous
Mais toujours loin des regards, dans le noir
De rendez-vous manqués en e-mails égarés
De rendez-vous galants en « rejoins-moi, je t'attends »Puis se retrouver enfin pour à deux s'épanouir
Puis se revoir malgré tout pour unir nos désirs
Rester dans l'ombre de cette chambre close
A nous aimer plus fort, à voir la nuit en roseEtre amants et devoir se séparer pourtant
Etre à toi et devoir te quitter déjà
Aimer chacun de notre côté
Mais notre trésor ne jamais dévoiler
28 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 27 Janvier 2007 à 11:10
Envie d'être troublée par toi. Envie que tes mots se posent sur mon corps, que ton regard reste accroché à mon décolleté, qu'il parcoure lentement chaque centimètre de peau, qu'il s'arrête un instant pour se reposer là où il le désire, qu'il descende le long de mes cuisses entrouvertes, puis qu'il regagne mes seins pour enfin rester suspendu à mes lèvres offertes.
Attendre ce baiser volé avec tant d'immoralité que je me sentirais presque rougir devant tant de désir.
Envie de fermer les yeux, d'être bouleversée par mon émoi, déroutée par mes élans. Envie de tes lèvres sur les miennes, sur mon corps... partout. Pour un instant ou pour une nuit, divin moment, insolente envie, caprice éphémère d'être désirée de ta chair.
Envie de décadence sensuelle et de murmures inhabituels. Envie de ta main sur la mienne, de nos souffles mêlés. Envie d'un jeu espiègle et de farouches caresses.
Attendre ce baiser volé avec tant d'impudeur que je me perdrais presque à rêver devant tant de volupté.
32 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 24 Janvier 2007 à 10:42
J'ai froid de toiJ'ai faim de vous
Ne m'oublie pas
Je pense à nous
Je t'aime comme tu m'oublies
Tu m'aimes comme je m'égare
Je nous veux quand tu as envie
De mon corps par désespoirJe ne vous aime pas, je vous désire
Vous me voulez juste pour un soir
Je vous échange contre un sourire
Une seule nuit, juste par désespoir
18 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 18 Janvier 2007 à 10:08
Assise tout contre toi, te laisser me murmurer de doux mots d'amour, un tendre sourire sur tes lèvres, écouter ta voix redire encore et encore que tu m'aimes, que tu ne veux que moi, que tu n'attendais que moi, qu'il n'y aura que moi, aucune autre que moi.
Juste toi et moi, pour encore une fois, juste moi et toi, pour le même plaisir, à revivre cent fois.
Se laisser surprendre par la frénésie soudaine de tes envies de délices et d'interdit, te permettre de vivre tes ardeurs à travers moi, te consentir cette émotion subite et succomber sous tes caresses, tes mains fouillant maladroitement sous mes vêtements, à la recherche de mes seins sans doute, à la recherche de ma chair tendre, rose et délicatement sensuelle.
Ne me demande rien, je suis à toi, touche, caresse, embrasse, goûte et si tes mains ne suffisent plus à t'apaiser, joue avec ta langue sur ma poitrine soumise, amuse-toi de tous tes sens et prends plaisir à pourlécher ce cadeau que je te fais, ce délice que je partage avec toi.
26 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 16 Janvier 2007 à 09:52
J'aime me consumer, ne plus rien attendre
J'aime ma jeunesse et vibrer de plaisirs
J'aime me perdre ne plus rien comprendre
J'aime les amours interdits, empreints de désirJ'aime me sentir possédée, en fusion
Avec les corps, les chairs, les envies
J'aime toutes les couleurs de mes passions
Qui donnent un sens, une voie à ma vieJ'aime savourer presque à chaque instant
Ceux qui se retournent sur mon passage
Je ne veux surtout pas perdre mon temps
Je m'amuse, je joue, je ne suis pas sageDemain, ce sera demain
Je n'attends rien de ce lendemain
Je vis parfois dans mes rêves
Qui m'évadent, moi la mauvaise élève
Et ce sont ces moments mine de rien
Qui me causent le plus de chagrinJ'aime ne jamais croire à grand chose
Parce que c'est bien de temps en temps
De vouloir connaître, espérer autre chose
Que les principes de l'amour galantDemain, ce sera demain
Je crois qu'un jour, un lendemain
Je me fatiguerais peut-être
Lassée d'avoir goûté à tous les êtres
Et je m'endormirai paisiblement
Auprès d'une amante ou d'un amantMais demain, ce sera comme hier
J'oublie cela tellement je suis fière
Je continue alors mon destin tout tracé
Au fil des rencontres, je ne peux m'en passer
Lorsque je sens une peau nouvelle sous mes doigts
Lorsque je goûte à nouveau des lèvres avec émoi
J'aime à me dire que ma vie est ainsi
A aimer l'amour, ma maudite folie
29 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 15 Janvier 2007 à 11:44
La nuit
Tout est permis
Toutes les envies
Tous les désirs
Tous les plaisirsNous jouons ensemble
Nos corps s'assemblent
Nos vies se ressemblent
Et nos coeurs tremblentSe donner rendez-vous
Dans nos rêves les plus fous
Pour de coquins bisousEt de tendres câlins...
24 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 12 Janvier 2007 à 18:17
Se laisser bousculer
Basculer
Ployer...Sous le poids des émotions
Sous le plein des sensationsSe laisser chavirer
Câliner
Plier...Sous le poids de la passion
Sous les yeux de la tentation
25 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 11 Janvier 2007 à 11:22
Je t'attends, langoureusement mes mains glissent le long de mon corps et viennent caresser mes seins à la recherche de ta présence, insidieusement elles s'immiscent un peu plus bas, frôlant le duvet délicat qui n'espère que toi.
Les cheveux relevés, la nuque offerte, la peau satinée et parfumée, le corps en émoi. Le miroir me renvoie cette image un peu narcissique, cette poitrine petite et ferme gonflée de désir, rien qu'à l'idée que de tes yeux, elle se laisse parcourir.Je pourrais presque sentir la chaleur de tes mains sur elle, percevoir ton cœur qui bat au travers de ma chair, deviner ton corps jeune et beau pesant sur le mien, là, tout contre mon cœur, nos jambes emmêlées, nos langues emmêlées, nos seins qui se caressent et se cherchent, tes mains bien à plat sur ma peau, remontant jusqu'à mon cou, laissant sur mon visage quelques frissons de ravissement, parcourant ma gorge au bord de la pâmoison, n'évitant plus mon regard amoureux, mais lui offrant au contraire, le bleu de tes yeux pétillants d'ardeur et de frénésie, le sourire coquin de tes paupières à demi closes, le charme ravageur de tes cils batifolant sur les miens.
19 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 10 Janvier 2007 à 11:00
Coquines et libertines
Je vais te croquer
Je vais te dévorerCâlines et mutines
Tu ne pourras que succomber
Sous la douceur de mes baisersCoquettes et espiègles
Ton corps ne résistera point
Aux tendres caresses de mes mainsMignonnes et friponnes
Je vais te faire mourir
Mais seulement de plaisirViens...
51 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 9 Janvier 2007 à 09:57
Tout d'abord un frisson sur le corps qu'on étreint
Et le souffle léger du frôlement de la bouche
Puis le baiser brûlant sur des lèvres en satin
La douceur d'un sein sous la main qui le toucheEt les doigts maladroits qui parcourent le tissu
Les soupirs de désirs, les envies d'impatience
Et le chemin trouvé, les distances parcourues
Sur la peau nue offerte à de folles espérancesPuis les baisers glissant sur la courbe des reins
Puis les chuchotements de bonheur et d'attente
Puis deux corps serrés, enlacés, sans lendemain
Les murmures égarés au fil de la tourmenteLa tempête ne cesse que lorsque vient le jour
Les baisers sont légers et les mots sont caresses
Dans les cœurs vibre encore cet écrin de velours
Mais jamais ne mourra cet élan de tendresse
64 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 8 Janvier 2007 à 10:46
Pas tout de suite
Attends un peu
Ne va pas si vite
Tu joues avec le feuDévoile-toi à petits pas
Que je te savoure
Cache ou ne cache pas
Masque ton amourMontre-toi entière et nue
J'apprécie tes formes douces
Langoureuse et dévêtue
Une éclipse de lune rousseMaintenant je peux toucher
Palper, effleurer, caresser
Ôte tes mains que je me délecte
De ta chair aussi parfaite
63 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 6 Janvier 2007 à 11:03
Goûter ta peau de pain d'épice
Parfum de miel et de délice
Je suis gourmande de toiDu bout des lèvres je te caresse
Du bout des dents je n'ai de cesse
D'être gourmande de toiA pleine bouche je te dévore
Les yeux palpitant de cet or
Je suis gourmande de toiSaveur vanille de tes baisers
Sur mon corps bouquet sucré
Ma gourmandise à moi, c'est toi
18 commentaires -
Par Je, tu,... elles le 2 Janvier 2007 à 14:48
Dessert
Avec toi qui me reçois
A ta table, comme un roiMa chair
Délicieuse et exquise
De princesse, de marquiseNe perds
Pas un morceau, une miette
De mon corps dans ton assietteMange-moi, bois-moi
Sers-toi de tes mains
Je ne voudrais pas
Rester sur ma faim
26 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique