• La petite cabane au fond des bois (1ère partie)

     

    Une promenade en forêt. Une petite cabane, faite par des enfants, au bord d'un ruisseau faisant un joli petit bruit. Nous entrons. Nous nous agenouillons sur le sol sablonneux. Le toit de branchages dessine de jolies ombres sur ton corps. Mon regard s'arrête. J'ai envie de t'embrasser. J'approche mon visage. Je prends tes joues dans mes mains. Tu penches un peu la tête, elles glissent dans ton cou. Tes doigts jouent avec mes cheveux.

    Je me rapproche davantage, passe une jambe entre les tiennes. Je fais glisser ta veste sur le sol. Je te regarde. Ton petit haut sans manche dévoile tes épaules. Je les embrasse, respire ta nuque. Mes mains se glissent dessous pour venir caresser ton dos, sentir ta peau. Tu ne portes aucun dessous, j'en suis troublée, je ne peux résister et serre fort ma tête contre ta poitrine, avec cette impression de puiser une grande force dans beaucoup de chaleur, de tendresse et d'amour, là, entre tes seins.

    Tes mains me déshabillent aussi. On reste là, de longues minutes, à nous serrer très fort l'une contre l'autre. Puis, je t'allonge, te pose délicatement sur le sol. Je sais que ton dos va se cambrer afin que je puisse embrasser ton ventre, tes seins. On dirait qu'il crie, qu'il se donne, qu'il veut qu'on le prenne...
    Moi, je te veux nue. Les branches dessinent toujours sur toi des ombres si sensuelles. Tu as l'air si belle, si bien, si détendue, les yeux fermés, allongée là, devant moi, comme si tu attendais. Je retire ta jupe, pour laisser tes cuisses s'ouvrir, me donner tout, se laisser caresser de l'intérieur. Elles aussi semblent crier « viens »... Je ne sais pas ne pas répondre à cet appel et mes lèvres se posent sur ton sexe. Ce baiser fait battre mon cœur et ralentir ma respiration. Ton corps se cambre davantage. Mes mains, au creux de tes reins, en parcourent toute la cambrure, jusqu'aux rondeurs de tes hanches.

    Ma langue, elle, continue d'ouvrir ton sexe, de le goûter, puis revient effleurer ton ventre. Je suis complètement, profondément émue, de l'intérieur. Ma main revient, à son tour, caresser la surface de ton sexe, ses petites lèvres. J'ai envie de le serrer à peine un peu, de le prendre dans ma main entière, de le sentir battre, vibrer, de le sentir là, dans toute ma main, mouillé, tout à moi.


    Être ainsi en toi me rend terriblement fragile, j'ai peur. Je vais tout doucement lorsque je le serre, même si je sens qu'il aime. Je fais cela plusieurs fois, serrer, relâcher, serrer à nouveau, puis relâcher...

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 13 Juin 2008 à 10:06
    Pourquoi ...
    ... rien qu'en lisant le titre j'étais sur d'aimer ? XD .
    2
    Vendredi 13 Juin 2008 à 10:06
    De nouveau ...
    ... bon vendredi à vous deux. Bisous ^^ .
    3
    Coquine
    Vendredi 13 Juin 2008 à 13:12
    Serre-moi fort
    aussi fort que tu le désires, autant que tu le souhaites, aussi longtemps que tu en auras besoin... J'aime l'émotion qui empoigne ta force... Je t'aime...
    4
    Coquine
    Vendredi 13 Juin 2008 à 13:13
    Tu es sûr d'aimer
    peut-être à cause des images que cette lecture te procure... Bon vendredi également, Adrien...
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    5
    Justmeforyou
    Samedi 14 Juin 2008 à 09:38
    Mais tu sais
    qu'il y a en moi ce mélange de force, de feu, de folie, et de tendresse, fragilité, à fleur de peur... Jamais je ne saurai empêcher, ni le feu, ni la glace de monter en moi... Merci de le comprendre toi que J'aime,parce que tu es tombée tout au fond de mon coeur...
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