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La fièvre aux corps
Une rencontre, un contact, un embrasement, une étincelle qui s'allumait en même temps dans tes reins et dans les miens, une fièvre qui nous montait au front et qui trouvait son apaisement dans notre bouche, sur nos lèvres entrouvertes. Tu avais le tendre besoin, le désir fou, de me prendre dans tes bras avant de t'endormir, le désir de descendre tout le long de mon corps et de me manger, de savourer l'humidité entre mes jambes, de me boire, de me sucer, de jouer et de te rassasier. L'avidité de ce geste. La concentration alors que j'entendais tes petits râles d'excitation, que tu respirais mon parfum et goûtais cette saveur chérie, toujours si fraîche, qui était la mienne, en réponse, en offrande, à ton amour divin.
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Commentaires
2CoquineMardi 17 Août 2010 à 14:16Merci mais
il n'y a plus rien à envier maintenant, à part bien sûr ces doux et brûlants souvenirs de nous deux, de notre Amour passé... et qui ne s'éteindra jamais en moi. Merci de votre passage et de votre petit mot N.4CoquineMardi 17 Août 2010 à 22:15
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Trpo beau, je vous envie