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Furieusement
Je veux te prendre, toi que je tiens haletante
Contre mes seins, les yeux de noirs de consentement ;
Je veux te posséder comme un amant,
Je veux te prendre jusqu'au coeur !... Je veux te prendre !...Ah ! rouler ma nudité sur ta nudité,
Te fixer, te dévorer les yeux jusqu'à l'âme,
Te vouloir, te vouloir !... Et n'être qu'une femme
Sur le bord défendu de la félicité !...Et m'assouvir d'une possession ingrate
Qui voudrait te combler, t'atteindre, t'éventrer,
Et qui n'est rien qu'un geste vain d'ongle fardé
Fouillant de loin ta chair profonde et délicate !...
LUCIE DELARUE
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Commentaires
2bickersJeudi 26 Novembre 2009 à 21:13merci
une personne tres chére est parti en janvier 82 elle ma fais decouvrire bilitis et le meme corps parfais plein demotion de cette douce musique,tes poeme son un ensemble,de bilitis, de tous l\'emoie de cette rencontre eternel.merci
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une personne tres chére est parti en janvier 82 elle ma fais decouvrire bilitis et le meme corps parfais plein demotion de cette douce musique,tes poeme son un ensemble,de bilitis, de tous l'emoie de cette rencontre eternel.merci