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Entre froid et fièvre
Fièvre d'ivresse
Plus de détresse
Je te caresse
Toi ma déesse
Je te paresse
Moi ta diablesse...
Que rien ne cesse
Que rien ne blesse
Que rien ne presseFroid de toi
Effroi, désarroi
Je vous côtoie
Bien malgré moi
Tu es chez toi
Et Moi... Chez moi
Si loin d'en toi
J'ai froid de toi...
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Commentaires
2ClaireMardi 16 Décembre 2008 à 11:09la nuit..
me parle de toi Elle m'apporte ton image Afin que ton absence Ne m'étrangle pas tout-à-fait. Elle voit avec scandale Que je n'ai pas ton corps dans mes bras Et elle allonge près de moi Le fantôme de ta peau. (Alain borne) Toujours un plaisir de venir dans votre chez vous3ClaireMardi 16 Décembre 2008 à 23:08désolée...
de venir m'imiscer dans votre vie mais les larmes me viennent quand je vous lis.Déjà chavirée, ensuite émue, vous avez su me rendre accro à vos mots. Je passe par toutes les émotions : nostalgie, envie, sympathie, vous me faites du mal autant que vous me faites du bien. Que votre amour dur encore...4CoquineMercredi 17 Décembre 2008 à 09:15Claire, tu n'as pas
à être désolée, c'est moi qui suis un peu "honteuse" de me plaindre de l'absence alors que l'amour est si fort pourtant, alors que d'autres, tels que toi, souffrent justement d'un réel manque d'amour. C'est moi qui suis bouleversée... La citation d'Aain Borne, que je trouve très belle, m'a fait penser à Brel : "Pourquoi ton corps qui sombre, Ton corps qui disparait, Et n'est plus sur le quai, Qu'une fleur sur une tombe. Pourquoi ces prochains jours, Où je devrais penser, A ne plus m'habiller, Que d'une moitié d'amour"... Je t'embrasse.5ClaireMercredi 17 Décembre 2008 à 13:06Je commence par.....
Un extrait de la peste : "Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur" (Albert Camus) On ne doit jamais avoir honte, d’aimer fort et de le dire, ne pas avoir honte non plus d’exprimer sa douleur quand la vie ou les kilomètres vous séparent toutes les deux. Je suis des premières à le crier à qui veut bien l’entendre, que la douce qui partage ma vie me rend folle d’amour. Je suis juste une sensible aux mots (pas de double sens ici…), ils me font perdre pieds. Et si vous n’exprimiez pas votre manque, votre tristesse, votre amour ici, que de gens seraient passé à côté de textes magnifiques et s’eut été bien dommage. Du bonheur à toutes les deux et que la vie fasse que votre amour puisse être partagé coeur contre coeur, sans ce manque et ce froid. PS : La Colombe de Brel....bien choisi...6CoquineMercredi 17 Décembre 2008 à 13:31Merci Claire
et dommage que tu n'aies pas de blog pour écrire toi aussi ce fol amour d'Elle... Je suis persuadée que tes mots seraient bien à l'écho des notres...
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celui qui m'ensorcelle et prend ta place auprès de moi, le froid que je maudis et que je côtoie pourtant, comme toi... Vite au chaud de tes bras pour retrouver ton amour... Je t'aime