-
Collées serrées
Tu vois,
C'est comme ça,
Oui juste comme ça
Tout contre toi
Serrée
Tout au long de toi
Collée
C'est comme ça
Que je veux m'endormir près de toi
Je veux pas... juste ta main
Je veux pas... juste te savoir là
A côté de moi
Non, j'ai besoin... de te sentir là, tout contre,
Que mes seins s'envahissent de ta peau
Que ma bouche respire ton cou
Que mes mains emprisonnent tes seins
Alors, seulement
Je retrouve le calme, la sérénité, l'apaisement
Je deviens ta chaleur
Ma peur s'endort
Coeur contre coeur...
-
Commentaires
3CoquineMercredi 10 Décembre 2008 à 18:26Un amour
complètement fusionnel oui, et bien plus encore... un au-delà de l'amour... Merci Phylmots.comme je
vous envie, de voir que vous êtes heureuses à deux... Moi aussi j'aimerais bien dormir avec quelqu'un que j'aime et qui m'aime...5JustmeforyouJeudi 11 Décembre 2008 à 18:21Marion...
Oui on s'aime, heureuses à 2, oui encore... mais les moments à 2 sont si rares, et les séparations si douloureuses, heureusement que l'amour est le plus fort6ClaireVendredi 12 Décembre 2008 à 14:19Chavirée...
le seul mot qui me vient à cet instant. Je parcours vos écrits, je m'ennivre de vos mots et je ne sais plus si je dois envier votre amour si fort, si beau, si pur mais si empreint d'absence et de manque. Vous me bouleversez7CoquineVendredi 12 Décembre 2008 à 18:49Claire, moi
ce sont des commentaires comme le tien qui me bouleverse... Merci à toi, tu peux envier cet amour, oui, car il est ce qu'il y a de plus beau malgré le manque et l'absence...8claireVendredi 12 Décembre 2008 à 20:299JustmeforyouVendredi 12 Décembre 2008 à 21:18Claire
Des mots qui cachent ce qu'ils ont à dire, des mots qui sentent la peine et la douleur... Moi aussi je suis touchée par tes com... J'en lirais bien davantage...10ClaireSamedi 13 Décembre 2008 à 07:11L'ivresse
que ces mots me procuraient et qui ne sont plus. Le frisson lorsque ces mains se posaient sur ma peau. Le manque et l'eloignement transcendent votre amour. Le quotidien c'est la lethargie des corps, l'oubli de ce qui nous troublais avant. Gardez cette fougue, nourrissez cet amour...c'est ce qu'il y'a de plus beau.11ClaireSamedi 13 Décembre 2008 à 08:22Maudites
ces nuits que j'attendais tant. Maudites ces nuits quand elle nous manque mais tellement frustrante de sentir son odeur, la chaleur de son corps, là, à ses côtés et ne rien oser. Ne plus dormir car son absence vous fais detester ces longues nuits, ne plus dormir pour ne plus partager ce lit de peur de la brusquer. Rêver d'elle quand elle n'est pas là, la désirer quand elle est près de soi. Attendre le matin pour que le froid de son absence s'estompe enfin. Attendre le matin pour que sa peau s'éloigne de moi. Vous si loin et pourtant si proche, nous si proche et pourtant si rien...12JustmeforyouSamedi 13 Décembre 2008 à 16:02C'est vrai ...
... que le quotidien peut tuer la passion, je comprends ton triste désarroi et tes mots résonnent encore à mes oreilles tel un glas qui hésite à mourir dans le lointain... Quel est donc ce rien entre vous et s'il n'y a plus rien que reste t-il donc, pourtant je comprends que tu l'aimes toujours, mais qu'elle semble si lointaine... Vrai que nos retrouvailles sont belles, mais, les creux, les vides, sont si longs et si destructeurs entre les bons moments... c'est dur aussi, il faut que l'amour soit toujours le plus fort pour résister à cela
Ajouter un commentaire
c'est aussi comme ça, maintenant, que j'aime m'endormir, sinon... il me manque ta chaleur, ton souffle sur ma nuque, tes seins contre ma peau, tes mains autour de moi, il me manque TOI et j'ai froid... Je t'aime...