• un collier de soumisse deux femmes baiser lesbiennes

    Sentir mon cou enserré d'un collier
    Me sentir aimée, aimer, me donner
    Être choyée, désirée, déshabillée
    Enlacée, effleurée, caressée
    Embrassée, attachée, possédée
    Troublée, excitée, bouleversée
    Rassurée, protégée, emmurée
    Et céder, plier, partager, m'abandonner
    Prise, sous emprise, soumise
    À l'amour, au désir, au plaisir, m'offrir
    Jusqu'au vertige de tous mes sens
    Cette délicieuse indécence
    Des longs silences de l'appartenance

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  • baisers silencieux sensuels sexuels deux femmes nues lesbiennes baiser



    Un baiser. Un simple baiser. Tu as l'odeur du soleil et la douceur de l'éveil. Tu en as la lumière et la beauté dans tes cheveux, sur ta peau, sur tes lèvres. Tu en as la tiédeur et la bonté au fond de ton grand regard sombre. Ta langue se glisse dans ma bouche, furtivement. La mienne l'enroule, délicieusement. Une décharge de désir mêle nos salives. Nous nous séparons un instant, juste quelques secondes pour savourer le plaisir qui se distille déjà dans nos corps. Puis nous nous retrouvons, bouches ouvertes, ventres collés, tiédis, mouvants, brûlants de l'intérieur, bras lovés, mains caressantes.

    Et nos lèvres reprennent leur silencieux dialogue. Douce et chaude poussée de nos deux langues. Echange sexuel qui dépasse parfois l'acte lui-même. Préambule. Ouverture. Tu as déjà retiré mon chemisier. Sensation de ta main qui déjà se fraie un chemin sous ma robe. Moi, brûlante pour toi, ouverte, offerte, mouillée, affamée. J'aimerais allumer ta chair, t'ouvrir les jambes, t'insuffler le feu, te boire. Dernières vagues. Cris mêlés de larmes... Et toi qui, au moment de jouir, prends mon sein dans ta bouche...

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  • Elle me prend et me laisse la prendre, dans le soleil du matin. Elle me prend et se donne à moi pour que je la prenne, avec la main ou la bouche, avec la langue ou le doigt. Et elle lape le suc si doux et frais entre mes jambes, ma chair comme un fruit défendu dans sa bouche, la douceur ineffable de ma petite colline, si douce sous sa main, son renflement comme de la soie sous ses doigts, toute cette douceur presque douloureuse, son ventre, ses cuisses, la douceur excitante et terrible sous les lèvres, la douceur sous la langue et dans la bouche. Je fonds. Je suis insatiable. Elle a terminé qu'elle a encore soif de moi, qu'elle a envie de continuer à me boire, à me lécher et de recommencer.

    Elle me prend, encore et encore, avec sa main, avec sa bouche, avec sa langue, avec ses doigts. Sa langue m'agace pour me pénétrer et je m'ouvre de plus en plus grand, elle caresse le petit nid désiré après sa jouissance, délicatement et m'entraîne vers une autre chaleur, un autre spasme. Et elle me désire encore, encore et encore. L'extase de me posséder à nouveau, de prendre, de demander et d'obtenir, de m'ouvrir les cuisses pour y déposer d'autres baisers sur ce lieu sacré, ce mystère, sa bouche sur mes lèvres, la source, ma source. Oubliés les dérobades, les refus, les objections, les rebuffades, le désir qui se détourne, qui s'enfuit. Oubliés dans la joie de me posséder à nouveau. Tout vient en même temps, la satisfaction et le triomphe, la délivrance et le bonheur.

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  • plaisirs feminins femme nue masturbation

     

    Comme un cocon de tendresse, doux et sensuel, la main attentionnée, attentive, caresse ce qu'elle a de plus intime. La main s'approche, petit à petit, et découvre la peau déjà toute en émoi. Juste un effleur, un soupçon qui disperse les doutes, de ce qui semble tabou. La main connait le chemin, la main connait la chaleur. Elle se laisse guider aux frissons sur la peau, au ventre qui se serre, aux jambes qui s'écartent un peu plus, laissant deviner déjà le plaisir qui monte, suave et tiède.
    Seins gonflés entrecoupés de soupirs. Les yeux s'ouvrent et se ferment au rythme du cœur qui palpite. La poitrine se soulève, la nuque se renverse en arrière, dans un vertigineux élan. Vertige sensuel des sens en éveil. Merveilleuse indécence.
    Lorsque le trésor dévoile enfin son fruit minuscule et défendu, délicat secret gardé au plus profond de soi, la clameur de son éveil fait s'étioler les paupières et folâtrer les cils illuminés de mille étoiles éphémères. Le corps pris d'assauts se révulse, onde frénétique et mystérieuse qui embrume jusqu'aux souvenirs. Plus rien d'autre n'existe que ces soupirs entrouvrant les lèvres, que les murmures et les promesses faits au silence, que la chaleur inondant les cuisses, que le raz de marée irradiant l'âme alanguie de cet excès, emportant, dévastant, ce qu'il reste de calme, ce qu'il reste de sain, dans une danse inconsciente, laissant la main inerte, refermée, protectrice, sur son écrin doré, ouvert, humide et encore parcouru de spasmes et couvert d'étincelles.
    L'écrin mordoré qui peut se rendormir, épuisé d'avoir été si délicieusement bousculé, laissant comme une sensation d'apaisement et de bonheur inouï envelopper tout le corps, jusqu'à paralyser chaque trait du visage, y figeant pour de longues minutes encore l'image même du plaisir, sous les doigts d'une fée.

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  • tendre passion douce sauvagerie deux femmes nues lesbiennes toucher sexe main



    Je me souviens la douceur avec laquelle ta main me découvrait, effleurait ma cuisse et ma chair douce plus loin qui t'appelait, te suppliait presque. Comme des étincelles, le contact du bout de tes doigts sur ma peau lisse et humide, pour t'accueillir, te recevoir.
    Et puis, tout à coup, une tempête, une convulsion, tu me pénétrais, durement tout de suite, sauvagerie, puissance, passion d'une créature qu'on aurait dit supérieure à la pauvre humaine tremblante que j'étais pour m'offrir à toi.
    Comme j'étais fière, à ce moment-là, fière et heureuse de découvrir, de ressentir, d'aimer, que tu me possèdes, me détiennes, m'envahisses ainsi. Fière et heureuse d'appartenir à cette créature si belle et si sensuelle, si femme, si toi. Jusqu'à ce que j'échoue sur les rivages du bonheur, à tes côtés, entre tes bras rassurants, tendres et aimants, contre ton corps encore brûlant de mille feux d'émois.
    Alors, je me chuchotais en secret que je t'aimais tant et tant, que pour toi je supporterais tout, que je survivrais à tout, que tu étais la femme de ma vie et que je ne pourrais plus jamais te quitter.

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