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    C'est une maison
    Qui regarde la montagne
    Qui regarde la lune
    De toute ses pierres

    Souvenirs...
    Pieds gelés, trempés
    Eau glacée d'un ruisseau
    Courses folles, égarées

    Des milliers de pas
    Sous des milliers d'arbres
    Juste pour voir
    De l'autre côté d'un là-haut
    Là-haut, tout là-haut...

    Viens... viens
    Sa cheminée toute en pierres
    Chauffera de son bois
    Nos corps nus, nus
    Devant elle étendus
    Détendus...

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    A toi...
    Toi qui hantes mes jours et mes nuits et que j'aime plus que tout au monde. Tu es la merveilleuse embellie de mon ciel lorsque mes orages grondent. Tu es le plus doux de mes mystères, le plus beau de mes secrets, le plus fou de mes désirs, le plus grand de mes plaisirs, le plus sacré de mes soupirs...

    Chaque mot que tu prononces, chaque geste que tu fais, chaque pas de toi à mes côtés me font grandir et devenir un peu plus heureuse, un peu plus femme, un peu plus tienne. Sans toi, plus rien n'est important, plus rien n'a de sens et tout devient fade et vide. Avec toi, tout n'est qu'errance, qu'appartenance, abondance, abandonnance...

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    Les draps de l'amour, les draps maculés de toi, de ce nectar que tu aimes tant et que je t'offre au gré de ma confiance, de mon amour, toujours grandissant, toujours rayonnant. Les draps du silence en extase, du plaisir en solitaire, à deux... à nous deux...

    Les draps qui se souviennent de nos nuits de tourmente. Les draps qui appellent tes gémissements, qui entendent ta plainte, brève mais si intense. Ta plainte silencieuse comme un cri, que seule je suis capable de déceler, de consoler, de toucher du bout de mon âme. Ta plainte comme une berceuse à mon oreille qui pleure sous ta voix en absence, comme une comptine qui réconforte après le froid, remplaçant le manque de tes bras, le manque de tout toi, une mélodie de larmes et de plaisirs mêlés, une mélopée de deux sirènes en peine.

    Les draps du plaisir de l'au-delà de l'amour. Ceux qui renferment notre trésor, notre joyaux, notre intimité sacrée. Cette délicieuse bulle de cristal, notre prison d'amour... Celle dans laquelle tu m'as enfermée à jamais avec toi, celle que j'ai découverte grâce à toi et qui me permet de te posséder librement et si amoureusement, délicatement, sensuellement... sexuellement...

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    Réveillée un peu avant toi ce matin-là
    Je me redresse sur mon coude et te regarde finir ta nuit
    Voilà... le réveil sonne, je le coupe
    Tu ouvres les yeux dans le retour du silence
    Je te souris, tu me souris
    - Bonjour mon amour, bien dormi?
    - Oui, comme toujours quand je suis près de toi...
    Je t'embrasse, je te caresse, je te câline
    Le reste attendra... Je t'aime

     

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    Ta voix, ton amour pour moi, ta magie au creux de mon oreille, tes mots chuchotés, entrés en moi, pénétrés en moi, au plus profond de mon être, aux tréfonds de mon âme de femme amoureuse. Ma belle ensorceleuse, tu as gagné mon cœur, tu m'as guérie de douceurs, tu m'as comblée de bonheurs. Je t'aime tant, toi qui me gardes prisonnière au sein de ta bulle. Magie éternelle et si belle, à l'intérieur de cet écrin qui n'appartient qu'à nous, qu'à nous deux.

    Je te possède, tu me possèdes, on se perdure. Le temps n'existe plus, les secondes s'achèvent en roulements de nos deux cœurs en écho, les minutes nous frôlent et se posent sur nos peaux comme de si douces caresses, comme un miracle de l'amour, un miracle que j'aimerais ressentir pour toujours, avec toi, pour toi et grâce à toi.

    Ta main sur ton sexe, le caressant délicatement, prenant son temps, de découvrir, de chercher, de goûter... Au plaisir de tes mots, au son de ma voix, à l'image de nos corps enlacés, de nos cœurs serrés, de nos lèvres susurrées... Le plaisir nous gagne et l'onde en tournoie. Ta langue sur mon intimité. Elle entre et je ne voudrais plus qu'elle en sorte. Sa chaleur, sa langueur, son amour, sa patience et la force de sa tendresse pour moi.

    Nos corps en explosion, nos corps en fusion, totale, incompréhensible, irrépressible. Peaux contre peaux, toi contre moi, toi en moi... Loin mais si proches à la fois. La pensée nous gouverne et fait de nous son unique attraction. Elle me donne tes cheveux à caresser, ta joue sur mon ventre gonflé de désirs, tes lèvres, sur les miennes offertes à ton sourire. Elle me transporte, me transperce, de mille feux, de mille vagues, de mille flammes, pour toi... mon amour... ma vie... mon âme...

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    Je fixe ce rayon de soleil sur ton bras, qui n'éclaire que là. Volet mal fermé. Un peu de fraîcheur en été. Il fait bon dans cette piece. Pénombre. Et juste ce rayon-là, sur ton bras.

    Tu es assise, nue. Un tabouret, une chaise peut-être. Et je suis venue là, entre tes cuisses. Tu as posé un drap, un vêtement léger, sur mes épaules. Tu as peur que j'ai froid. Moi, je suis bien, juste là, tout entre toi. Mes mains caressent tes genoux. Mes yeux sont perdus, là, sur ce rayon lumière. Je ne suis pas là. Je suis en toi. La bulle s'est ouverte. Je suis entrée. Tu es entrée.

    De ta main sur mon sein, tu fais un doux silence. Ton autre main ose, glisse... Je suis bien. Je te laisse faire. Je te donne, à toi, tout ce qu'il y en moi. Je t'aime. Mon regard s'échappe, le tien le rattrape. Ils sont loin, très loin, sur rien, en nous.

    J'aime cette main qui va faire naître... Garde-moi là, tout entre toi... J'aime tant ces bras autour de moi... Oui, mon Amour, je t'aime...

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    L'amour à genoux c'est ne plus tenir debout, seule, mais m'aider de ta main tendre et attentive, pour ne plus trébucher, pour pouvoir m'épancher, me pencher, à la naissance de tes seins, les voir palpiter juste pour moi, rien que pour moi et les tenir dans ma main comme de délicats bijoux, symbole de ce trésor que l'on s'offre en permanence : notre envie, notre besoin total d'être l'une auprès de l'autre, presque en l'autre, cet indéfectible lien nous retenant prisonnières de nos chairs.

    L'amour à genoux, c'est ne plus savoir vivre sans toi, seule, mais t'appartenir corps et âme, livrée à tes attentions, à ta possession, à tes passions, à l'exclusivité de tes sens, en te faisant don de moi-même, par amour pour toi, par besoin de toi, par désir de toi et m'abandonner à ton destin, celui que, maintenant, je remets entre tes mains pour que tu en prennes soin.

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    Je pourrais t'aimer tous les jours, pour toujours et ça

    commencerait dès le matin par mon tout premier regard pour toi, mon tout premier sourire, ma toute première caresse, mon tout premier bonjour et mon tout premier baiser. Je t'apporterais le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits... accompagné d'une chanson d'amour ou de mots tendres murmurés avec douceur. Je te demanderais si tu as bien dormi et j'écouterais attentivement ta réponse et le récit de tes rêves. Je te lancerais un clin d'œil complice dans le miroir lorsque tu te maquillerais et je t'embrasserais sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.

     

    Je prendrais le temps de te regarder, de te parler et de te toucher avant de commencer ma journée de travail. Je t'accompagnerais à la porte au moment où tu te préparerais à partir, en te souhaitant une bonne journée, les bras autour de ton cou. Je m'installerais à la fenêtre et te ferais un signe de la main, en affichant mon plus doux sourire. Je te téléphonerais pour un rien, juste pour te dire que je t'aime, prendre de tes nouvelles ou entendre ta voix. Je te ferais des surprises, des cadeaux par centaines, sans rien attendre en échange.

    Je t'accorderais parfois la liberté de vivre pour toi-même, sans mon attachement excessif, sans la prison de ma possession, en te laissant sentir que je t'aime toujours, même si nos corps sont loin l'un de l'autre. Je t'assurerais que nos âmes se moquent des distances et qu'elles sont tendrement enlacées en toute circonstance, quelque soit les heures, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent et je te lancerais des pensée par milliers, les yeux fermés, pendant de longs instants.

    Je serais là pour t'accueillir et t'étreindre si fort, à ton retour à la maison, en goûtant tout simplement la sagesse du silence ou en te demandant de me raconter ta journée. Je me serrerais contre toi, je pourrais rire des heures ou m'émouvoir avec toi. On nourrirait notre complicité de n'importe quelle façon. On ferait l'amour jusqu'à l'aurore, encore et encore, comme au tout premier jour, jusqu'à notre tout premier bonjour...

     

     

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    Tu es si douce à aimer
    Si belle à regarder grandir
    Si mienne dans ton abandon
    Si fière dans ton amour
    Et ce timide regard
    Tantôt noyé de vide
    Tantôt noyé de joie
    Et puis...
    Il y a ton sourire
    Ton sourire...

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    Dans cette vie-là
    Dans cet amour-là

    Il n'y aura pas de nuit sans toi
    Il n'y aura aucun jour sans toi

    Pas de lit vide
    Pas de visages livides

    Pas de place nue à côté de moi
    Pas de corps solitaire et froid

    Pas de froid comme une épine dans le dos
    Pas de larmes comme de si longs couteaux

    Pas de repos sans ta main dans mes cheveux
    Pas de sommeil sans tes bras chaleureux

    Pas de réveil sans tes yeux dans mes yeux
    Pas de matin sans nos sourires heureux

    Il y aura toi et moi
    Il y aura nous, là

    Dans cette vie-là...
    Dans cet amour-là...

    "Justmeforyou" & Coquine

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    Ce soir, je suis fatiguée
    Mais je ne veux pas dormir
    Pas dormir, penser à toi
    Laisser venir ces pensées furtives
    Les laisser me rendre un peu de toi
    De ta douceur, de ta présence
    Les laisser m'envelopper de nous
    Pas dormir pour être là, avec toi
    Dans le bal de ces pensées folâtres
    Bal d'allées et venues
    Mélange de souvenirs joyeux et d'images
    Doux fantasmes d'un esprit qui s'entortille
    Dans le moulin de mon âme

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    Recouvre-moi en tentures et parures comme le délice sucré de nos draps parfumés. Je te fais don de mon abandon. Du carcan magique de mon corps qui s'offre à ta peau. De cette intimité sacrée qui, sous le voile de nos mains et la soie de nos doigts, nous possède et me cède à tes désirs, à nos plaisirs.

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    Jambes mêlées emmêlées...
    Force de mon corps sur le tien
    Force d'un esprit épris
    Ma chaleur t'empare
    Effaçant le froid doucement
    Je possède ton corps et ton âme
    Libre sous cette force
    Tu es mienne
    Je suis tienne
    Peau contre peau
    Désir contre désir
    Souffle contre souffle
    Fusion... Jouissance
    Le temps n'existe plus
    Ni le temps ni la peur... enfin
    Je t'aime

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    J'ai ma main sur mon ventre, en ondes inutiles
    Sa caresse est froide, sa douceur bien futile
    Et la tienne est si loin, et la tienne est sans fin
    Sur ma peau qui désire te trouver au matin

    J'ai le drap sur mon dos, en pli désabusés
    Sa parure de glace et son délicat baiser
    Et les tiens sont si loin, et les tiens sont sans fin
    Sur mes lèvres offertes à ton plus doux satin

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  • Pourquoi?
    Parce qu'avec toi j'ai trouvé...
    L'écho de mon âme
    L'écho de mes pensées
    L'écho de mes mots
    Oui... Simplement...
    Un amour en écho à mon amour
    Un écho en accord parfait
    Simplement...
    Quand je dis "je t'aime"
    Tu réponds "je t'aime"...

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    Emmène-moi, emmêle-moi
    Couvre mon corps du tien si j'ai froid

    Embrasse-moi, enserre-moi
    Epouse si fort mes courbes de tes bras

    Tes jambes entre mes cuisses font des nœuds inextricables tandis que nos langues enchevêtrées ne se lassent pas de se caresser tendrement.

    Sentir ta force peser sur moi, tout ton corps en puissance sur le mien en offrande.
    Que chaque parcelle de ta peau recouvre la mienne.
    Que chaque relief de tes formes se referme sur moi comme un divin sépulcre, comme le piège infernal où tombe l'amour en embuscade et son nectar en cascade.

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    A... comme Amour
    M... comme Mélancolie
    O... comme Oser
    U... comme Unies
    R... comme Rêves

    Un jour, tu verras, le temps s'arrêtera sur notre amour...
    On n'aura plus peur des heures qui passent trop vite ou trop lentement...
    Parce qu'on aura tout le temps qu'on voudra et la vie devant nous...
    Je t'aime mon Ange

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    Entre nous, mon Ange, l'amour ne dort pas.
    Il ne se repose même jamais.
    Il a trop à faire, il veille...
    Il n'a même pas le temps de profiter de lui-même...
    Il doit faire face, se battre sans trève.
    Contre tous et tout ce qui veut l'anéantir.
    Il prend des coups, il est même blessé parfois.
    Il a froid, il a faim, il a peur.
    Il a mal aussi encore, mais il se relève toujours et même il grandit.
    Et plus on veut l'abattre, plus il devient fort et fier de lui...
    Parce qu'il possède en lui-même une arme terrible :
    La force et le courage d'être et de vouloir continuer à exister...
    Mais bientôt il trouvera la paix et ce sera le bonheur...
    Je t'aime mon ange...

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    J'ai peur de vieillir, sans toi
    Peur de languir, là, sans tes bras
    J'ai peur que le froid m'enveloppe
    Et que le manque grignote
    Ces quelques heures qui me font trépasser
    Ce long moment d'éternité
    J'ai peur que ma peau ne flétrisse
    Peur que mes yeux se rident
    Même si jamais ils ne se vident
    De ton regard de femme amoureuse
    Où transperce ton âme fièvreuse

    J'ai peur que la vie me quitte
    Peur que les ténèbres m'habitent
    J'ai peur que la nuit me prenne
    Et que ton image ne vienne
    Egayer mes soupirs
    Et dessiner un sourire
    Sur mon visage endormi
    Seul, paisible, si loin de ta folie
    J'ai peur de ne trouver de repos
    Sans tes seins contre mon dos
    Peur de perdre ton amour
    Comme je t'aime, toi, pour toujours

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    Ce soir il pleut.
    Mais juste de ces douces pluies d'été qu'on a envie de partager et de regarder tomber.
    J'ouvre la porte du salon. La pluie est là, dehors.
    Je prends ta main et te tire un peu à moi... doucement.
    Ce soir, j'ai juste envie de regarder tomber cette pluie, avec toi, là, assise sur le seuil, entre mes bras, entre mes jambes, ma tête dans ton cou...
    Te serrer fort qomme tu aimes et te dire des "je t'aime"... sans m'arrêter, là, joue contre joue...
    Laisser parler l'amour et battre ton coeur...
    Mon amour, si tu savais comme tu me manques, comme tu me manques et comme je t'aime...

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