J'ai aimé cet arrêt sur image, cet arrêt en impasse. J'ai aimé la fougue de ma spontanéité et l'ardeur de notre intimité. J'ai aimé le ciel de lune et la nuit en offrande, le silence sur les champs et ta main sur mon sein.

Ma belle mystérieuse, que tes traits semblaient fins à la lueur de l'amour, que ton visage était beau dans l'ombre frémissante.

Je me suis offerte à tes baisers, la tête renversée, le coeur bouleversé, les doigts serrés pour ne pas empoigner ton visage et permettre au mien de céder à tes caresses. L'émotion de nos corps à l'étroit, la magie de nos courbes en cet endroit, l'apaisement de nos sens éveillés, la délicatesse de ta peau contre la mienne...

J'ai aimé la nuit nous couvrant de mystère et d'impatience, les bruits alentours et les ombres du silence et notre intimité, ce soir-là, cette pulsion inattendue, à la fois si sauvage et si tendre, le désir nous emportant loin de tout, loin de tous et tes mots sur ma bouche en "je t'aime" farouches.

S'il y avait mes bras autour de toi
Il y aurait ta tete dans le creux de mon épaule

S'il y avait mes mains sur tes joues
Il y aurait ma bouche sur ta bouche

S'il y avait mes mains sur tes seins
Il y aurait la folie dans ma tête

S'il y avait mon corps contre ton corps
Il y aurait tes yeux dans mes yeux

Il y aurait le bonheur
Je t'aime
T'en va plus de moi
Reste avec moi

Nues, toujours nues, je t'aime nue
Même si pas seulement, mais dans les images
Nues, pour ne rien refuser l'une à l'autre
Ne rien cacher, tout donner
Nues, les yeux qui se posent partout
Qui caressent et les doigts qui suivent
Les frissons qui surgissent, les esprits qui survivent
Puis qui s'enflamment
Mes images c'est tes mains sur moi
Mon dos qui se cambre, le désir dans tes yeux
Et surtout, sentir le plaisir de donner et de faire
Sans ressentir ce que trop souvent j'ai ressenti avant
Quand l'autre semble se débarrasser de quelque chose
Juste pour arriver plus vite a ce qu'il veut
Nous c'est jamais ça, on peut se caresser des heures

Mes images me disent que tu aimes me caresser autant que j'aime te caresser
Mes images me disent que j'aime me laisser faire autant que j'aime faire
Mes images me disent que tu aimes te laisser faire autant que tu aimes faire
Ces images-là, elles sont la passion
Te faire l'amour n'a rien à voir avec le passé
La passion à l'état pur, juste l'envie et le désir sans contrainte, juste la passion
Et ça me dévore cet amour-là, avec tout dedans
Avec toi j'aime ce que je n'aimais pas
Avec toi je vis ce que je ne vivais pas
Et surtout j'exprime ce que je n'exprimais pas, pas si naturellement
Besoin de rien d'autre, juste de toi pour que le plaisir soit là
Que je te caresse ou que tu me caresses
Et là, ça me manque, comme me manque ta tendresse
Ce grand nid de tendresse que tu dresses autour de moi

Ce jour-là, je prendrais ton corps nu, libre et offert, j'attacherai tes mains au-dessus de ta tête, juste pour libérer ton corps, le dénuder plus encore, le prendre plus encore, tout prendre du bout des doigts, qu'aucune parcelle de ton corps ne touche ton corps, juste moi, et lui, et tes yeux fermés. De mes doigts je te caresserais, toute a moi, de haut en bas, glissant sur toi de mes mains, de mes lèvres, de tout mon corps, sans que nul pore de ta peau ne m'échappe, que je puisse te couvrir de moi, partout, d'amour, de feu, de frissons, que tout batte en toi, tout, que tout se tende, se cambre et s'offre, se donne, parce que je ne sais pas vouloir par morceaux, je veux tout.

Mes doigts glisseraient tout doux, tes épaules se crisperaient, ton cou s'offrirait a mes baisers, il n'y aurait que la chaleur de l'amour, je caresserais, je serrerais, j'embrasserais tout, avec passion, de tout mon corps contre le tien. Je sens mes doigts descendre sur tes bras, et les faire tressaillir, je sens ma bouche sur ta bouche, mon souffle sur ton cou, ton corps s'affoler, le mien s'affoler. Je sens mes doigts régner sur ton corps, de tout leur amour, de toute leur passion, régner sur tes rondeurs, tes rondeurs...

Je viendrais tout contre toi, laissant le désir me guider, l'amour me guider, ton plaisir me guider. Plus qu'une danse, je tournerais autour de toi, baiserais ton dos comme tes seins, tes cuisses comme tes fesses, tout ton corps, comme si je voulais le noyer de moi, sans que tu puisses rien empêcher, sans que tu veuilles rien empêcher... Pas tuer l'amour, le laisser vivre, exprimer, être, vivre et ressentir, donner, puis en toi je viendrais... en toi, jusqu'a la délivrance. Alors je te détacherais, je te blottirais dans mes bras, et... des larmes, mais pas de chagrin, des larmes... qui parlent sans mots...

Mon Amour, ma toute petite femme que j'aime, je ferai tout pour que, lorsqu'on vivra ensemble, il n'y ait plus de larmes dans tes yeux.

Dans nos rêves, plus de peurs, plus de larmes, juste le bonheur de ces larmes d'or et de feu... Et sur tes lèvres, ces sourires qui me font fondre de tendresse.
Tous les jours, te voir bouger et vivre, partager tes joies, tes peines, faire de toi une femme heureuse, tous les jours oui, tous les jours.

Tous les jours, pouvoir me réveiller la nuit et te regarder dormir, te faire des câlins et savoir que, si je te réveille sous mes caresses, tu seras heureuse et que tu te donneras à l'incendie de nos corps... Que je t'aime toi.

Je t'aime, mon ange d'amour. Je ne dors pas de toi alors je pense à toi... Je n'ai plus froid mais j'ai noir, tout noir en moi... Je veux toi, ta tête sur l'oreiller, mes bras autour de ton corps, mes mains, ma tête sur tes seins. Je suis si bien sur tes seins.

Encore ton corps qui se donne et qui me prend de tout son être, encore ta tête qui part en arrière et qui me dit "prends tout, tu peux tout", encore mon esprit qui s'affole de toi, mon corps qui s'embrase... Encore te sentir onduler sous mes doigts... Encore, encore, emporte-moi encore et encore, vivre la passion de toi, la passion de ton corps.

Touche à moi
Mets ma peau sous tes doigts, tes lèvres...
Mêle ta chaleur à la mienne
Parle à mes yeux, à mon âme
Perce mes pensées
Prends ma main dans la tienne

Prends mon amour
Ma foi, ma loi...
Prends-moi toute
Touche à tout moi
Je t'aime

Je t'aime à n'aimer plus que toi
A ne vouloir que toi
A ne savoir que toi
A ne voir que toi

Je n'aime à n'avoir que ton prénom à épeler
Que ta voix à écouter
Que ton corps à désirer
Que ta peau à caresser

Quand on a comme moi la chance et le bonheur
D'avoir un amour comme le tien
On fait tout pour le faire grandir
On le protège en le mettant bien au chaud
Tout au fond de son coeur
On essaie de sécher ses pleurs, on nourrit ses espoir
On s'émeut de ses sourires, de ses regards
Et surtout, on essaie de ne pas le décevoir
On l'aime à son tour de tout son feu, de toute son âme
Je t'aime, mon amour à moi
Je t'aime, toi qui me donnes ton coeur, ton corps et ton âme

Un grand lit
Un grand vide
Le sommeil en péril
De nos jeux si puérils
Ta peau qui me hante
Mes larmes qui chantent
Et sur l'oreiller de nos nuits
La douceur qui s'enfuit
Laissant place à la froideur
Des réveils en noirceur
Des appels en absence
De ton corps en silence

"Ton regard sur moi
Tellement doux et chaud
Te sentir contre moi
Me fait perdre les mots
Savourer l'instant
Apprécier le moment
Penser au présent
Te carresser tendrement
Oublions nos manies, nos habitudes
Partons loin
Laissons à la folie sa latitude
Ça me plait bien
Oser comme personne n'ose
Abandonner la prose
Ne dis rien en silence
Au fond de la dernière danse

Tellement beau le souvenir
De nos premiers pas
Tellement chaud ton sourire
Quand tu me revois
Redessiner chaque jour
Comme si c'était le premier
La première fois
La première fois comme ça

Ton parfum sur moi
Me défilent tant d'images
Mon carnet sur toi
N'a bientôt plus de pages
Trop de phrases, trop de mots
Certains en rouge, en mémo
Des dates en vrac
Des soirs qui marquent
Où on s'est donné en cadeau
L'envie de toi, l'envie de nous
L'envie de partager
Ces moments seule
Où tard le soir à nous je rêvais
Aux moindres instants
La douceur des moments
Le désir intense
La mémoire d'une dernière danse"

Shy'm "La première fois"

A Toi qui me donnes
Ce que jamais tu ne donnas à personne...
Ce que sans doute personne d'autre n'aura
Cette place tout au cœur de tes bras
Ce tout donner, tout offrir et tout dire,
Tant... et bien plus qu'un sourire,
A toi je promets tout mon être
Pour que tu possèdes en ton for
Et mon cœur, et mon âme et mon corps...

A Toi qui à moi te donnes
A mon amour qui t'emprisonne
A ma vie, à toute cette existence
Que tu désires à mes côtés sans plus d'absence
A toi je promets tout ce trop plein d'amour
Et de toute de mon âme de t'aimer sans détour.

Pour toi qui te veux mienne
Pour toi ma si douce magicienne
J'ai à tes pieds mon cœur déposé
Car toi seule aujourd'hui a su en trouver la clef
Je t'aime...

Ma toute douce, moi non plus je n'arrive pas à dormir, tu sais...

Sans toi entre mes bras, sans pouvoir m'accrocher à toi, là, tout près de toi, sans pouvoir être à toi, sans pouvoir te toucher, te caresser, te faire frémir ou te faire vibrer, sans ta douce odeur, sans laisser filer mes mains sur ta peau.

C'est si douloureux d'aimer de loin, d'aimer en absence. C'est si vide et si froid. Ca semble si inutile, si dénué de sens, si injuste, si...

Et pourtant je t'aime, même de loin, mais tu me manques et moi, c'est tout mon corps et toute mon âme qui pleurent cette douloureuse absence... Je t'aime.

Protège-moi de tout ton corps
Enserre-moi toujours plus fort
Que je n'aie plus à supporter de douleur
Que je ne sursaute plus à la moindre peur
Que je ne vive plus que dans ta chaleur...

J'ai besoin de réconfort, du bout de tes doigts caressants, de ta douceur... J'ai besoin d'un rempart autour de mon corps, des hauts murs de ton coeur...

J'aime que tu m'écrives ainsi tes pensées les plus secrètes et les plus sensuelles.
Je t'aime à moi corps et âme.

Ton corps, car tu sais à quel point j'aime ses formes et la douceur de sa peau, sa chaleur et même sa simple présence. Combien j'aime me blottir au creux de tes seins, embrasser tes lèvres et ton cou...

Et ton âme, parce que sans elle rien n'existe, le corps ne peut se donner et parce qu'elle me pénètre d'amour et de folie, parce que'elle chante à la mienne et sait si bien la toucher, la faire fondre et chavirer... Je t'aime.

Tu es là, reposant sur ta hanche...
Pour mes yeux, tes courbes sont comme un appel à mes caresses que je ne sais retenir.

Alors, de mes doigts, je lis, je me raconte ces courbes sensuelles qui entrent en moi et m'électrisent...
Juste là, tu sais ? Le creux de ta hanche, la douce rondeur de tes fesses que je pourrais, des heures durant, parcourir comme ces histoires qu'on aime à se relire...

C'est chaud et doux sous les mains, c'est infini à caresser, c'est interminable de plaisir... Je t'aime.

La résonnance
C'est nos cœurs en écho
L'appartenance
C'est notre amour à demi-mots
L'effleurance
C'est nos mains à fleur de peau
La dépendance
C'est notre don plus qu'un cadeau
L'insuffisance
C'est nos sourires sur une photo...

Assises côte à côte... posés devant nous nos assiettes, nos verres... Entrelacées, nos jambes...

Je te regarde depuis un petit moment déjà... Attendrie... La joue posée sur ma main... J'aime te regarder ainsi. Je souris. Je suis là, avec toi, et ailleurs, mais avec toi en même temps... Des envies, des images... Des peurs aussi... Mais tu m'as dit... « Tu peux, tu peux toi tout essayer... » Libérée, je me lève, amoureuse... Je t'aime... Je t'aime... Je viens derrière toi... J'entoure ton cou de mes bras... ici et ailleurs, dans ma bulle... Je te berce un moment. Tendresse... Toi,Tendre corps féminin je t'aime...
Une envie... Je passe dans la chambre et je reviens, j'ai à la main les petits bracelets de cuir dont on a parlé déjà... Des bracelets, juste des bracelets, ainsi qu'un petit bandeau noir...

Te voici maintenant devant moi, allongée sur le côté, recroquevillée sur toi-même, les mains dans le dos, bandeau sur les yeux... Tu ne peux voir mes larmes, mais elles sont là... pour toi, parce que... cette image de toi, que tu m'offres là à cet instant, je ne l'oublierai jamais... Tu es si belle ainsi, si belle... Emue, jusqu'au plus profond de moi, je pleure de l'intérieur jusqu'au bord des yeux... Des yeux mouillés, mais secs de larmes... émotion intérieure...

Une envie... te recouvrir et de tout mon corps, épouser le tien, être ta carapace, douce et protectrice, une carapace de tendresse et d'amour, mais comme forte et dure... Je suis là, sur toi, je te respire, ivre...
Mes mains s'abandonnent sur toi, et s'offrent à toi pour les plus douces des caresses, et moi, je pars, je te rejoins dans un monde ou tu ne sursautes plus au moindre bruit, notre monde de silence et d'amour... Mes doigts courent sur tes formes, les dessinent, les réveillent dans une danse qui m'emporte. J'ai soif de toi, jusqu'à l'ivresse, jusqu'à l'envol. Je serre ta main, je ferme les yeux, tandis que mes doigts continuent leur bal sensuel sur les rondeurs de ton corps... Et là, dans le noir, doux vertige, doux abandon, je vais te chercher plus encore et... c'est en toi que le désir m'emporte... En toi... et...
« C'était la grande onde ?
- Oui, c'était la grande onde... »
Merci de cela ma tendre...

Je t'aime en mille partout...
Mille partout me dirais-tu ?

Oui, ces mille partout qui sont tant de ces petits riens qui me sont tout, tant de ces grands touts de toi qui ne me sont pas rien.
Mille partout parce que j'aime rien tant que tous ces petits gestes entre nous, ces petits mots tendres qui me font fondre.
J'aime rien tant que poser mes mains sur toi, sur tes hanches, te toucher, te caresser ici et dévorer tes rondeurs de mes mains câlines... et là aussi, juste là, bien au chaud de toi...
J'aime rien tant que tes mains sur moi, sur mon cou.

Mille partout pour mille je t'aime.