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    A travers ton sourire
    Au détour d'un soupir
    Je vois ton feu intime
    Et cette douceur infime
    Je vois le ciel pour nous
    Notre amour un peu fou
    Le temps qui devient sourd
    A nos souffles trop courts

     

    A travers ton regard
    Au contour ombré de noir
    Je vois fleurir une larme
    Me laissant sous ton charme
    Je vois tes bras en réconfort
    Faire le tour de mon corps
    L'abandon me gagner
    Le plaisir m'inonder

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    Je te prendrai dehors, sur la voiture, toi le dos sur le capot, j'en rêve moi. Je prendrai tout ton corps avec moi, mes mains, ma tête aussi. Je veux toi à en pleurer. Tu seras toute cambrée et offerte pour moi. Je vais craquer pour ton corps, pour tout toi, par amour. Je t'aime.

    Toi, juste là, nue pour moi. Je veux m'affoler de toi, moi et t'affoler de moi, prendre tes seins sous mes doigts, ta bouche, ta nuque, ta folie. Je veux lire l'envie dans tes yeux, je veux la fièvre, la volupté. Je veux te caresser à l'infini et sentir ton abandon total, ta cambrure, ta tête qui part en arrière, l'abandon absolu de ton âme et de ton corps. Mes mains seront partout à la fois, mon corps sur le tien. Je te voudrais toute a moi, jusqu'au bout de toi, de ce que tu peux donner, tout.

    J'aime l'abandon, l'absolu, le tout entier, moi. Je prendrai tout, tout ton corps, là, dehors, sous les étoiles et même sous la pluie s'il pleut. Je m'en fiche. J'effleurerai tes seins du bout de mes doigts. J'ai ce besoin de sentir ton corps se cambrer,réagir, que tu ne contrôles plus rien, ta confiance absolue, ton absolu départ, ta bulle. Je veux te sentir vibrer. Je veux donner ça, savoir faire ça de ton corps, avec passion et folie et pour toujours. Je veux sentir mes doigts devenir fous amoureux, ne plus pouvoir se passer de toi, de ta peau. Je veux tout toi, ton odeur, ton goût. Je veux ton sexe sur ma langue. Je veux te sentir fondre sous mes ardeurs. Je veux te sentir partir, décoller. Je veux tout donner pour ça, ma tête, mon âme, mes gestes, toute ma tendresse, ma folie, ma douceur, mon corps sur le tien, fusion. Trop de manques, je ne veux plus, je ne peux plus, je veux te lâcher, me lâcher, jusqu'au-delà, où tu n'es jamais allée peut-être. Rêve? Ambition? Prétention? Je ne sais. Je veux juste de l'amour, de la passion, de l'abandon, de la folie, de... l'ivresse.

    Je veux mes doigts en toi, mes doigts en ton intimité d'abandon, ta jouissance, ton désir. Je mettrai mes doigts en toi, tous mes doigts... Je veux tout, tout doucement mais tout. Mes doigts en toi, mes seins contre les tiens, ma bouche sur ta bouche, mon feu dans ton feu, ce feu qui me brûle et me dévore quand je pense a toi, quand je me livre. Et mes doigts en toi te livreront au plaisir, à la jouissance. Tu ne penseras à rien, juste à te donner, à être plaisir, à être don, à être à moi... P... que je t'aime. Tu exploseras, fort fort, et là, moi je te prendrai fort fort dans mes bras. Tu recueilleras mes larmes, toutes mes larmes sur ton épaule, parce que c'est trop fort tout ça pour être retenu.

    Je veux tes cris, je veux tes fesses, tes reins. Je ne veux rien que tu gardes. Je veux tout, je ne sais pas à moitié...J'ai la fièvre, j'ai le sang qui bout, me bat les tempes. Envies de folies et de partage...

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    "Vague à l'âme"...
    Une expression qui ne pourrait pas être plus juste, pour moi
    Le manque fait des vagues en mon âme
    Il y a le creux, puis la vague enfle, roule et grossit
    Elle roule ainsi en moi, jusqu'à la limite, le point de rupture
    Lorsqu'elle l'atteint, elle déferle, déferle en milliers de larmes
    Et se vautre sur le bord s'il n'y a personne
    Mais s'apaise, se calme, au bord de ton coeur
    Lui seul sait les recevoir...

     

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    Complémentaires et plurielles, singulières et rebelles
    J'ai besoin de toi comme tu as besoin de moi
    J'ai envie de toi comme tu as envie de moi
    Je te désire comme tu me respires
    Je te succombe comme tu me confrontes
    Je me dérobe comme tes bras m'enrobent
    Je me love en toi comme tu soupires en moi
    Je me donne à toi comme tu acceptes mon offrande
    Je t'aime comme tu m'aimes...

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    Mon amour, c'est comme une folle ivresse de toi qui vient de me réveiller. Je t'ai vue là, devant moi, nue, rien que pour moi. Tu avais les bras en l'air, attachés et juste accrochés pour te soulager de leur poids, mais d'une accroche qu'un simple geste peut ôter. Je t'ai rêvée nue, bras en l'air comme pour mieux m'offrir, me dévoiler cette merveilleuse nudité, tes yeux bandés pour que tu n'aies plus juste qu'à ressentir... Je suis devant ce corps nu, je me sens si petite, si fragile, face à lui. Je me sens comme subjuguée dans cet état puissant qui, moi aussi, me permet un don total... bulle...
    Je m'approche de toi doucement et viens me coller contre ton dos, mes mains glissent le long de tes bras, tout doucement, en une fleur de caresse et je te sens frémir... Moi, je sens l'ivresse monter encore en moi. Je ferme les yeux pour mieux encore capter l'éveil de mes sens... et des tiens... Mon corps épouse ton corps. Mon sort épouse ton sort.
    Collée à toi, je te respire, je m'enivre de toi, je m'abandonne en toi, je te prends, tu te donnes. Douce fusion de nos corps. Tu es là, tu es à moi et j'en suis plus à toi encore, là pour toi avec mes mains, mon corps, pour faire vibrer le tien jusqu'à la folie, jusqu'à la supplique, jusqu'à l'extase absolue. Mes mains paressent sur ton corps qui se tend tandis que je décolle un peu le mien. Caresse de feu du bout des doigts... Un effleur de peau voilà, juste un effleur de peau. De plus en plus ivre de te ressentir ainsi, belle, abandonnée, emportée par le plaisir, je te caresse encore et encore. Ton dos, le creux de tes reins, ta nuque, ton cou... Et ton corps suit mes caresses, s'offre à elles. Il n'est plus que sensations, plaisir. Ton esprit s'envole. Il atteint cet état où n'existe plus que le plaisir, un état d'absence pour n'être plus que sens. Il ressent, libre, et moi je le rejoins. Nous ne sommes plus qu'amour...

    Je tourne autour de ce corps possédé de plaisir, frémissant de plaisir et de fièvre. Je suis lui, il est moi. Je suis toi, tu es moi, emportées dans notre passion. Je tourne de mes mains de plume. Je tourne, tourne, afin de ne rien perdre de ce que tu m'offres, de ne pas oublier le moindre pore de ton offrande. J'atteins moi aussi l'extase, bien au-dessus de l'ivresse, et c'est ton abandon qui m'offre cela. Bientôt je m'arrête, face à toi. Je te regarde, les larmes au bord des yeux tant je suis émue. Toi, là, rien que pour moi... Moi, si petite, si amoureuse, si emprise de toi, mon amour. Oui, si emprise.
    Je prends ta bouche, tu m'offres ta langue. Je prends ton cou de ma bouche, de mes mains, folles de toi. Puis, doucement glissant tout contre toi, mon corps, ma joue, mes mains, je me baisse jusqu'à me retrouver à genoux à tes pieds. Ma fièvre grandit. Ma tête sur ton sexe, ma joue appuyée tout contre lui, contre sa chaleur, contre ton odeur. Ivresse... encore et toujours cette si délicieuse odeur. Je t'aime tant mon amour, je t'aime.

    Je suis à tes pieds, si bien, ma tête sur ton intimité. Tu le sens, tu as décroché tes bras et les as posés, toujours attachés, sur ma tête pour me garder là, juste là. Merci mon amour. Merci de ton amour, je t'aime, je t'aime. Puis tu appuies un peu sur ma tête. Je connais ce signe-là, véritable invitation à prendre plus encore... Mes mains glissent le long de tes jambes, se lovent sur tes mollets, sur tes cuisses. Ma tête descend encore. Mes lèvres se font caressantes. Arrivées à tes pieds, elles osent un tendre, très tendre baiser reconnaissant sur chacun de tes pieds. Je reste un instant ainsi en petite boule à tes pieds. Qu'y puis-je si je m'y sens si bien là ? C'est si profond ce geste d'abandon et de dévotion. Qu'y puis-je si je t'aime à l'extrême, à l'absolu de moi-même? Qu'y puis-je si j'ai cette envie, alors, de relever la tête pour te contempler de là, juste de là? Te contempler, oui, de la moi si petite, si fragile de peur et toi, là, si belle dans ton plaisir. J'ai si peur.

    Mais déjà je remonte, toujours mon corps contre ton corps et là, arrivée sur ton sexe, n'y tenant plus de désir et d'ivresse, ma langue prend tes lèvres. Je prends ton nectar, je le glisse en moi. Ton goût, ton odeur me pénètrent et grandissent en moi. Je deviens folle. Je te vois, tête en arrière, dos cambré. Tu as toi-même raccroché tes poignets... Tu n'es plus là, juste avec moi, quelque part ailleurs, loin de toi. Je t'aime. Abandon de corps et d'esprit. Merveilleux amour. Ma langue écarte tes lèvres inondées de plaisir. Ma langue va te chercher au plus profond de toi. Ton corps s'agite. Folie. Spasmes. Frissons. Je t'aime, ma folie. Tu sursautes. Tu en viens même à espérer que tes bras ne vont pas se décrocher tellement tu t'abandonnes ainsi. Si belle, mon amour. Ma langue, encore et sans répit, t'investit, t'emporte, là-bas, si loin. Je suis là, mon amour. Laisse aller, vis, ressens, prends ce que je te donne, prends, explose, explose... Oui, explose. Je t'aime.

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    À toi qui as quitté ton nid pour venir te poser au creux de mon cœur solitaire
    À toi qui as su te glisser au creux de mes tendres folies
    À toi qui as compris qu'aimer c'est aussi, parfois, se laisser guider
    À toi qui à force d'amour, à force de pourquoi, à force de mots, a tant voulu me comprendre
    À toi qui, aujourd'hui, dis oui à ce qui te faisait peur hier
    À toi qui a su, de nos mille mots, vaincre tes réticences, déposer tes défenses
    À toi, je le dis, mon amour a grandi et moi avec lui... Mais grandi dans tous les sens
    Grandi par son œuvre, sa force, sa puissance
    Et puis parce que je vois qu'il a sur toi les effets qu'il a sur moi
    Il te donne cette envie d'être... Parce qu'aimer, c'est aussi ça... Je crois...

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    Nos corps en abstinence
    Sont tels deux âmes en peine
    Tristes sœurs en errance
    Eperdues, esseulées d'elles-mêmes

    Nos corps en leur absence
    Sont de violents poisons
    Nourris de tant d'impatiences
    Et de troublantes pâmoisons

    Nos corps en toute évidence
    Ont besoin l'un de l'autre
    Pour retrouver leurs essences
    Effluves d'amour qui est notre

    Nos corps en désespérance
    Se meurent de ne rien ressentir
    Jusqu'à ce qu'une nuit de chance
    Les rendent à leurs fol désirs

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    Cette autre femme c'est juste moi, la vraie moi, celle qui se cachait et s'exprimait imperceptiblement.
    C'est celle qui me laisse vivre, être, me déshabille de mes interdits, mes tabous, mes peurs, me fait tout déposer pour renaître.
    C'est celle qui te laisse s'occuper d'elle.

    C'est celle qui a l'amour déchirant, l'amour reconnaissant, l'amour obéissant, l'amour extrême, l'amour fusionnel, l'amour à genoux, l'amour à tes pieds, l'amour d'être à toi, l'amour dévotion, l'amour admiration.
    Tout comme elle a l'amour coquin et libertin, l'amour feu et flamme, l'amour passion, l'amour en larmes, l'amour possession et déraison, mais l'amour fou, l'amour enchaîné mais rebelle, parce qu'elle sait que sous ta « loi », sous ta foi, elle grandira, et ne se laissera pas tomber...

    C'est une elle qui a besoin de toi pour grandir, vivre et ressentir... passionnément... parce qu'elle t'aime...

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    Tu sais le doux frisson qui monte en moi lorsque ta main approche, le goût de mon plaisir lorsque ton doigt frôle mon ventre en torsions, le bonheur de mon cœur lorsque tes lèvres douces cherchent ma chair farouche, la puissance de l'émoi qui emporte mon âme lorsque ton corps enveloppe le mien.

    Tu sais la brusque envie qui remue sous ma peau lorsque ta main caresse, l'odeur de mes frissons, la cambrure de mes reins, lorsqu'à l'intérieur de moi, tout mon être réclame, l'attente interminable de ta lente délivrance et ce sursaut final qui transperce nos âmes et nous transportent jusqu'aux larmes...

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    A la naissance de nos plaisirs
    Là où s'écoulent tous nos désirs
    Tu déposes tes lèvres en baiser

    Sur mon sein pâle et enfiévré
    Ta bouche murmure un doux frisson
    Se mêlant au fruit de mon abandon

    Délicatement ta langue gourmande
    Enveloppe un téton de salive
    Alors que tes pensées s'envolent ivres

    La chair frémit, le dos se tend
    Les doigts s'affolent, la peau attend
    Le tendre amour déversé là en offrande

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    J'ai vu ton corps nu, en boule aux pieds du mien, nu aussi. Et moi qui me baissais vers lui. Je pleurais presque d'émotions. Je le réveillais de douces, très douces caresses.
    Alors tu te redressais doucement, dans un mouvement ondulant et circulaire qui suivait la musique. Mes doigts gardaient le contact, c'était magique... vraiment magique... un balai.
    Puis je me mettais à genoux, comme toi et nos corps dansaient, dansaient sur la musique, une onde unique, comme deux serpent noués.
    Ça m'a bouleversée moi. Mais comme tout me bouleverse tant en ce moment...
    Ils dansaient sans se quitter et la chaleur montait entre eux. Je les vois toujours. Je les verrai toujours, je crois, sur cette musique... Invitation à l'amour...

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    Si je t'étais soumise...
    Les seules violences seraient celles de nos émotions et de nos jouissances
    Les seules chaînes, celles de mon cœur amoureux
    Les seules attaches, celles de mes poignets pour mieux t'offrir mon corps
    Les seuls « ordres », ceux qui naîtraient en moi-même de tes attentions pour moi, et de cette envie d'être ce que tu attends de moi, cette non indifférence de moi, qui ne naît que par toi, et parce que tu m'aimes...
    Et que, parce que quand c'est important pour toi, ça le devient pour moi.

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    Tu m'acceptes moi sans rien m'enlever...
    Et les anneaux prennent même un autre sens, comme s'ils scellaient la paix entre toi et mon passé, je veux dire, le fait que j'ai été à un autre, qu'il y a eu « un avant toi »... Merci de l'avoir compris.
    Ils ont montré aussi que, lorsqu'on est sincère et loyale avec soi, l'autre l'accepte et le comprend. Si je les avais ressentis comme un signe d'appartenance, ou même un souvenir de lui, je les aurais enlevés.

    Mais non, ils sont avant tout ma façon à moi d'assumer certaines choses...
    Ils sont importants pour moi, presque sacrés, ils symbolisent ma rébellion, ma renaissance en tant que femme sans doute, ils symbolisent la force et le courage que je n'avais pas, une certaine volonté en moi-même, liée au fait d'avoir accepté la souffrance éprouvée à les faire poser...
    J'ai aimé cette force-là pour moi, juste pour moi. Le fait de l'avoir fait contre vents et marées, contre la peur de la souffrance, contre ce qu'on aurait pu en penser ici et là.
    Ils sont un pas, loin de celle que j'ai cessé d'être, celle qui vivait cachée et n'existait pas...
    Ils sont le symbole de l'affirmation de moi, de celle que je suis maintenant... alors, non... je ne pouvais pas les renier...

    Et maintenant, ils sont notre nouvelle alliance maintenant, comme tu dis. Maintenant je te les offre... J'aime le pouvoir que tu as sur eux, j'aime que tu les possèdes par ce que tu leur donnes, et que tu me possèdes moi, à travers eux... parce que je t'aime...

     

     

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