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    Avec toi, mes envies deviennent folies
    Et je deviens folle de ces envies
    Pour toi mon corps s'emporte, mon esprit s'embrase
    Un feu sauvage brûle en moi
    Je voudrais qu'il brûle en toi à travers moi
    Je voudrais, de tout ton corps, prendre possession
    Pour régner de toute mon âme sur ton plaisir
    Je voudrais, du bout de mes doigts
    T'entraîner dans mes débordements
    Loin, loin de toi, loin de tes interdits
    Je voudrais, sans retenue
    T'emmener sur mes chemins d'exubérance
    Je voudrais, de mes griffes, de mes yeux, de mon corps
    Tourmenter le tien jusqu'à la jouissance
    Jusqu'à tes cris de grâce, jusqu'à tes "non encore"
    Viens avec moi... je t'aime

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    Si tu savais comme j'aime ta fragilité, alors que tu sembles si forte au contraire, que rien ne paraît te surprendre, que rien ne révèle tes faiblesses, que rien ne trahit tes manques.
    Si tu savais comme j'aime ta sensibilité à fleur de peau, alors que ta folie vient de nous transporter bien au-delà de l'amour.

    Si tu savais comme j'aime cette émotion qui te submerge, après l'amour, qui dévaste ton cœur qui se pâme, qui envahit ton visage qui se couvre de larmes et qui m'émeut tellement que mes larmes perlent, à leur tour, sous mes paupières closes.

    Tes larmes si fines et si jolies, traçant de minuscules sillons sur tes joues rosies de passion. Tes larmes si sereines et si douces, inondant ton regard sombre de mystères et me laissant pleine d'émois, touchée en plein cœur, troublée au plus profond de mon être.

    Si tu savais comme j'aime, sans un sanglot, juste en soupirs, te serrer contre moi, déposer un baiser sur tes lèvres tremblantes, te regarder t'endormir là, entre mes bras, mon front contre ton front, aux derniers vacillements de nos corps après la tourmente.

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    Il est lourd, si lourd
    Le temps de l'absence,
    Le temps de l'attente
    S'entête à me laisser en souffrance
    Dans le pesant de ce silence
    Qui me prive de toi
    Je ne suis qu'ennui et que peine...
    Si tu pouvais,
    Ô volage fil du temps
    Couler alors en torrent sous les ponts,
    Et non en fil d'eau nonchalant,
    Rapproche-nous, rends-nous l'une à l'autre
    Alors, ami, suspends ton cours...

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    J'aime toi
    J'aime calmer tes larmes
    J'aime quand tu rends les armes
    J'aime quand ton corps se donne
    J'aime tes "ça ne se fait pas"
    J'aime tes "oui"
    J'aime tes "je t'aime"

    Je t'aime toi
    J'aime chasser tes drames
    J'aime quand tu me charmes
    J'aime tout ce que tu me donnes
    J'aime quand ton corps s'abandonne
    J'aime que tu sois libertine
    Voire même un peu coquine
    J'aime te murmurer "je t'aime"

    "Justmeforyou" et Coquine

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    Je m'endors avec ton image et toi entre mes bras
    Je t'aime, toi qui sais mettre tant de calme, d'amour et de passion en moi

    Je m'endors avec ton visage et toi entre mes draps
    Je t'aime, toi qui sais mettre tant de folie, d'amour et de pulsions en moi

    Je m'endors dans la douceur et la tiédeur de ton corps et de tes mots
    Sous la caresse de ta main dans mes cheveux

    Je m'endors sous la tendresse et la volupté de tes mains et de ta peau
    Sous la chaleur de tes baisers sur mes lèvres

    "Justmeforyou" et Coquine

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    Je voudrais ton corps
    Pour lui faire l'amour

    Je voudrais tes lèvres
    Pour les caresser des miennes

    Je voudrais tes bras
    Pour être à toi

    Je voudrais ta peau
    Pour qu'elle vibre sous mes doigts

    Je voudrais ton épaule
    Pour y laisser échapper quelques larmes

    Je voudrais ton coeur
    Pour qu'il m'emprisonne

    Je voudrais tes joues
    Pour les caresser

    Je voudrais ton cou
    Pour le couvrir de baisers

    Je voudrais ton regard
    Pour y lire ton amour

    Je voudrais tes yeux
    Pour y lire ton amour

    "Justmeforyou" et Coquine

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    J'ai chaud à mon cœur
    J'ai chaud à ma peau
    J'ai chaud à mes lèvres
    J'ai chaud à mes doigts

    J'ai chaud à ce doigt en toi
    Qui aime tant s'appliquer à ton "en toi"
    Le sens-tu si doux et sauvage à la fois
    Le sens-tu?
    Sens-tu le cadeau que tu m'offres là
    Et dont j'ai tant envie de vivre le goût
    Le vivre de tout mon corps, de tous nos corps
    Ivre de toi...

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    Tu vois, mon cœur il est grand, grand...
    Il ne te promet pas toute la place, mais bien plus de place que ne pourraient en promettre des cœurs qui diraient la donner toute...
    Il ne te promet pas tout son amour, mais bien plus que tant n'en pourraient donner, et tant qu'il a peur de trop en donner...
    Il ne te promet pas toutes ses pensées mais bien plus que n'en tu n'en pourras manger...

    Tu vois, j'ai trouvé un bouton de rose... Contre ce bouton j'ai collé mon oreille. J'ai écouté... Ca pleurait à l'intérieur, ça pleurait... Ca pleurait d'avoir donné, ça pleurait de la souffrance du manque. Alors je l'ai pris entre mes mains, pour qu'il se sente bien, tout protégé, tout bien. Et puis, j'ai mis ma voix la plus douce et je lui ai dit :

    "Souffle petit bouton, souffle. Là, tout doux, repose-toi. Si seulement tu voulais te laisser aller. Si seulement tu voulais te laisser aimer. Ne pense plus à rien, juste à toi. Là, pour une fois, juste a toi. Donne-moi tes sourires
    Donne-moi tes "je t'aime". Donne-moi tous tes "oui". Juste des "oui" pour penser a toi. Parce que moi avec ces "oui ", avec ces sourires, avec ces "je t'aime", je veux de ce bouton.

    Je veux de ce bouton qui ne se laisse pas éclore, faire la plus belle des roses. Je veux de ce bouton qui ne veut pas éclore, faire la plus aimée des roses. Parce que je veux que ce bouton tout fermé s'ouvre, grandisse, s'épanouisse... Je sais je ne tuerai pas son passé. Je sais je ne tuerai pas ses souffrances. Je sais je ne tuerai pas... Mais je sais aussi que je lui donnerai mon amour, mes je t'aime et tous mes "oui"...

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    Envie...
    De mes mains sur tes seins, de mes lèvres sur tes lèvres, de ma langue sur ta langue, de mon doigt... Au fond de toi, de toi, de toi et moi, de moi sur toi, de toi sur moi, de tes sourires, de nos fous rires, de notre vie, de ce qui ne se fait pas, de nos pas, de nos mains serrées, de nos yeux dans les yeux, d'être nue prés de toi, de toi nue prés de moi, de mes lèvres sur ton sexe, de ton feu, de ma langue en toi, de ta chaleur en elle, de ton nectar, d'en devenir folle, d'ivresse de toi...

    Envie...
    De danser nue tout contre toi, de ton corps sous mes doigts, de ta folie, de pas d'interdits, de tuer les tabous, de boites de nuit, de débauche, de t'emmener dans mes délires, que ma folie devienne tienne, de t'emporter loin de toi, de tes oui, de te faire envie, de tes pieds sous mes doigts, sous ma langue, de vibrer... De tes courbes, d'être à toi, rien qu'à toi, rien que pour toi, de toi offerte et vibrante, de tes cuisses écartées, de tes lèvres attendant les miennes, de ton sexe béant suppliant ma main, de toi de toi de toi de toi, de t'emmener là où tu n'es pas, de t'aimer, de ton bonheur, de te dire tout ce qu'il y a en moi, de te montrer mes images, toutes mes images, d'être dingue et de te rendre dingue, de cette boîte où on danserait nues, de renaître, de cette boîte où je t'embrasserais, de tout montrer et tout dire, de faire envie...

    Envie...
    De toi à mes pieds, de moi à tes pieds, de grandir ensemble, que tu n'aies plus peur, que tu n'aies plus mal, que tu crois en moi, que tu sois là pour moi, d'être là pour toi, d'être... ta femme... Des pires folies, de laisser aller, que tu prennes tout de moi, que tu joues amoureusement de mon corps, de nous, de ma vie avec toi, que tu aies mes envies, comme une folle de tes seins de lait qui ne me quittent pas, d'y plonger ma tête, que tu l'y enfermes de tes mains, que tu noues tes jambes autour de moi, que tu me retiennes et m'emprisonnes en toi, de mes larmes sur toi, de ton doigt en moi, de ta langue en moi... Que tu me fasses découvrir ce que personne n'a jamais découvert en moi, jamais mis en moi, le feu en mon intimité, de ce feu venant de toi, de hurler de plaisir, de ta cambrure, de ton corps qui se tord, de ta perversion, de te pervertir, de t'aimer comme jamais on ne t'a aimée, de ne plus lâcher ta main...

    Envie...
    De toi chez nous... chez nous... chez toi et moi, d'amour au coin du feu, de tout lâcher de moi, de ton petit trou aussi... De te voir crier grâce sous mes doigts, d'extrême et de sublime, de ta feuille de rose... Sous ma langue... De te serrer, de t'avoir toute a moi, d'être toute a toi, de pleurer à genoux devant toi, de crier que je t'aime, de ma main en toi... De ton cœur dans mon cœur, de trop d'envies, envie à n'en plus finir, d'à jamais, de toujours... Je t'aime... Pour toi je veux tout, te rendre heureuse à t'en faire oublier tout le reste...

     

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    Tu m'as immédiatement séduite...
    La douceur de tes yeux, la tendresse de tes mots et de ta voix m'ont envoûtée. Je ne peux pas, je ne veux pas, je ne peux plus, je ne veux plus me passer de toi. J'ai besoin de ton réconfort, de ton soutien, de ta force, de ta tendresse. Je me sens si petite à côté de ton calme, si fragile face à tes flammes. Pour toi, je pourrais tout accepter. Pour toi, je pourrais faire n'importe quoi.

    Je me souviens d'une nuit. J'étais couchée lorsque tu es venue me rejoindre. Tu t'es blottie dans mes bras. Toi que je croyais si forte mais qui fonds quelques fois. Toi, sur qui je m'appuis et qui sais si bien me redonner le sourire... Lorsque tu pleures, jamais je ne me sens aussi proche de toi.
    Recroquevillée sur moi, la bouche sur mon nombril, une main entre mes cuisses, l'autre sous mes reins, mon bras sous ton sein droit, l'autre à l'orée de son sexe. Je t'ai caressée et bercée tendrement jusqu'à ce que tu t'endormes... Puis j'ai sombré dans un demi-sommeil. Je me suis réveillée au petit matin, j'avais mal au bras. Je me suis rendue compte que je t'avais serrée à te faire mal... comme si je n'avais pas voulu te perdre. Ta respiration était toujours aussi calme. Tout ton corps était détendu, dans une plénitude totale.

    J'ai voulu remonter le drap sur toi, afin que tu ne prennes pas froid dans le petit matin. C'est alors que tu t'es retournée et m'as souri, en me disant tout bas « Chutttt... ». Tu t'es couchée sans bouger sur moi, m'écrasant de ton corps. J'ai senti des contractions sur mon sexe comme si une main invisible le faisait frissonner, nos respirations se sont accélérées, de plus en plus vite. Ton ventre était parcouru de frissons, le mien se cambrait déjà. Je sentais au plus profond de moi le désir m'envahir. Un petit gémissement venu de ta bouche s'est amplifié en une fraction de seconde. Tes cuisses m'ont serrée à me couper en deux. Comme un éclair ta jouissance a explosé en un cri, De multiples vagues de plaisir t'ont submergée pendant de longues minutes. Je t'ai massé la nuque très doucement, très tendrement, de mille mains, mille bouches, mille souffles, mille caresses...

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    Bisou tout doux à l'entrée de ton antre
    Et sur tes lèvres humides qui me rendent si folle
    Laisse-moi embrasser ton intimité
    La pénétrer de mon doigt et... de ma langue...
    Laisse-moi me délecter de ton nectar à la chaleur de sa source
    Laisse-moi devenir folle de toi et de ton corps
    Laisse-moi m'enivrer de la douceur de ton fruit

    Je voudrais pouvoir tout embrasser de toi, de ma folie
    Je suis feu, flammes, braise, folie... ardence
    C'est tout mon corps qui s'emballe, qui décolle
    A chaque envie du tien et de son plaisir
    Dans mes folles envies de tout toi
    Je voudrais tout goûter de toi, moi
    Et faire jaillir des étoiles de tes yeux
    Et de l'électricité de tout ton corps
    Le voir s'affoler, se tordre et crier grâce...

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    N'aimant pas la lumière, c'est dans l'obscurité que je préfère te deviner. Ta présence me rassure. Tes silences sont murmures. La nuit s'éloigne ainsi, avec son lot de fantômes et de noirceur...

    Allongée, mes mains caressent ton dos, ta nuque et tes cheveux d'ébène et je sens sous ta peau ces vibrations lointaines qui, déjà, sont les prémices des premiers frissons d'émoi te parcourant. Lentement, presque imperceptiblement, tu glisses sur moi et la chaleur de ton corps m'emporte dans des contrées imaginaires que je ne connais que depuis toi. La douceur de tes lèvres sur mes seins dissipe mes peurs. Une multitude de baisers, déposés ça et là, sur mes courbes offertes, attise le feu qui sommeille, le réveille et réchauffe mon corps endolori de tant de froideurs.

    Tout doucement, tu t'immisces, entre le drap et moi, entre le froid et moi, entre la nuit et moi. Et tes lèvres se font langue. Et tes paumes se font soie. Et tes cheveux effleurent mon ventre. Et ton regard se fait tendresse. Et tes jambes se font écrin. Et ton corps se fait forteresse.

    Délicatement, tes mains entrouvrent mes jambes. Je ne cherche pas à te retenir, tandis que tu fuis toujours un peu plus bas, toujours un peu plus loin. Je ne cherche pas à me retenir, tandis que ta langue commence un balai sensuel et langoureux, recueillant à sa source-même, ce que d'uns nomment nectar, ce que tu appelles « amour ». Je ne cherche pas à la retenir, tandis que sa passion me pénètre et que sa fièvre fait naître, en moi l'effervescence, comme une nouvelle naissance, une nouvelle errance, une nouvelle victoire, de l'extase sur le noir.

    Serrant ta main dans la mienne, abreuvée de mon ivresse, repue de ta liesse, inondées de plaisir et parmi nos soupirs, le sommeil nous emporte, en bien d'autres transports, que cet instant délicieux, où pour la première fois, tu goûtas de mon moi...

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    Ce jour-là, sous la douche,
    J'ai longuement caressé ton corps,
    Jusqu'à plus d'eau,
    Jusqu'à ne plus me retenir.
    Mes transes me glissent à genoux devant toi,
    Mes mains par tes hanches épousées...
    L'eau coule,
    Emportant les larmes de mon regard implorant,
    Jetant dans le tien tout le feu de mon désir en folie...
    Pas de mot,
    Juste un geste de toi qui,
    De tes deux mains crispées,
    Aggripes fermement ma tête
    Et la plaques contre ton sexe.
    Cet immense OUI venu du fond de toi,
    Par-dessus tous les NON qui auraient voulu le détruire,
    J'ai envie de lui hurler mon amour,
    Mon bonheur, ma faim...
    Je respire en toi, là,
    Ma tête contre ta passion et,
    Serrant plus fort tes fesses entre mes griffes,
    J'ose alors goûter ce que tu m'offres...
    Je t'aime...

     

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    Ce soir, j'ai juste envie, juste besoin, d'avoir tes lèvres sur les miennes, de sentir cette mèche de tes cheveux venir caresser mon visage lorsque tu m'embrasses...

    Cette mèche de cheveux derrière laquelle j'aime deviner tes yeux, derrière laquelle j'aime chercher ton sourire et que je repousse délicatement d'un geste tendre...

    Cette mèche de cheveux derrière laquelle ton regard se dérobe, derrière laquelle tu aimes à te cacher et que tu repousses délicatement d'un souffle sensuel...

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    J'ai débarqué un jour sur ton blog...

    J'étais moi. Juste moi. Avec une vie « classique », enfants, travail... Et juste mon autre pour s'occuper de moi... Moi... Absurde... Inutile...
    Puis voilà que te voilà, Toi... A travers tes mots d'abord, puis à travers tes maux aussi, enfin à travers ton corps, ton regard, tes sourires et ce petit creux de tes joues qui me rend...
    Alors là, moi je tombe... Je reste là... Je ramasse le petit bonheur en pleurs, tu sais comme dit la chanson, et je le mets dans mon cœur... Depuis il y reste, il y a même fait des travaux lui aussi...

    Depuis ce jour tu ne cesses de m'habiter... D'avancer en moi, et en toi aussi... Et moi j'ai si peur que tu partes, je fais tout pour que tu t'y sentes de mieux en mieux...
    Tu m'as fait le plus beau cadeau qui puisse se faire... Tu m'as donné ta confiance, ton amour, tes secrets, ta foi en moi...
    Un en mot : un sens à ma vie, ma chance de vivre pour une autre que moi... Et moi, voilà, j'en suis restée pétrifiée... Tu es mon vertige, mon cœur qui bat, cette boule dans ma gorge qui ne me quitte plus.
    Tu es cette vague perpétuelle qui m'emporte... De ces vagues qu'on a peur de perdre au moindre faux pas, à la moindre erreur, tant l'équilibre est fragile...
    Mais de ces vagues qui font grandir tant elles vous demandent de vous surpasser, de vous sortir de vous-même, de vous sublimer... Sinon elles continuent sans vous...

    Comment te dire à quel point je suis émue de te voir t'affronter, affronter tes démons, et à quel point je suis heureuse de te tenir la main pour le faire, de la tirer même un peu parfois...
    Je t'ai vue mettre tes pas dans mes pas, tes yeux dans mes yeux pour ce passage difficile, juste parce que tu as confiance et que tu crois en moi... Alors moi... Moi je fais la forte mais je n'en mène pas large...
    J'ai eu si peur de faire des pas trop grands, ou de ne pas faire les bons...
    Puis non, tu avances toi, grâce à toi, à ta force, ton envie, ta volonté... Merci, de ces mercis qui se disent sans s'expliquer, parce qu'ils sortent tous seuls du fond du cœur...

    Quand tu n'es pas là, tu sais « ça me glace »... La place est vide à côté de moi, ou plutôt, pleine d'un grand froid... Même si tu es là en moi, tout au fond de mon cœur... J'adore ces quelques vers qui le disent si bien pour moi...

    « Tu me manques déjà
    Il suffit de quelques heures
    Et la vie me fait peur
    Avec tout ces pourquoi
    Tu me manques déjà
    Et je sais que mes matins
    N'auront qu'un goût de rien
    Que rien n'effacera » (C. Badi)

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    Si tu savais comme je t'aime, toi, qui as croisé mon chemin au détour de mes interdits. Je sais que je ne devrais peut-être pas mais je cède à la douceur de tes lèvres, à cette envie de serrer tes poignets, d'embrasser ta poitrine, de mordre tes hanches.
    J'aime regarder tes yeux plein d'étoiles, des yeux qui, étrangement, ressemblent tant aux miens. J'aime les apercevoir entre deux mèches de tes cheveux. J'aime les deviner à demi-clos par le plaisir t'envahissant, à l'effleurement de mes mains sur tes seins, à la chaude caresse de mes lèvres sur la cambrure de tes reins.

    J'aime ton sourire fiévreux, ton regard envoûtant lorsque tu me serres contre toi et tous ces gestes qui font de moi une esclave de tes désirs, assujettie à tes soupirs.
    J'aime te murmurer que je t'aime et passer ma main entre tes cuisses, jusqu'à ce que les frissons t'emportent, saisie de mon ardeur.
    J'aime me glisser tout contre toi sous les draps et faire de nos deux corps une tempête de douceur, un écrin de saveurs, délicates et sensuelles, toi qui m'ensorcelles de ta fragilité.

    J'aime le moindre de tes baisers, qu'il soit mordant ou sensuel, qu'il soit fougueux ou charnel. J'aime sentir ta langue entre mes lèvres et mordiller ta chair, jusqu'à faire éclore un de tes sourires enjôleurs, à l'instant où nos salives se mêlent, te faisant tressaillir.
    Je vénère la douceur de ta peau sur laquelle mes paumes se posent délicatement pour te caresser tendrement. Et, même si je ne sais pas exprimer alors tous les émois qui montent en moi, tous les fantasmes que tu suscites, j'ai ce besoin que tu continues à prendre possession de tout mon corps, jusqu'à son explosion en mille éclats de tendresse.
    Je garde sa ferveur en moi, au fond de mon cœur, pour ensuite te la transmettre en un baiser des plus intimes. Je suis folle de ses moments-là où, entre le jeu et le désir, entre l'aveu et le plaisir, je serre mes jambes autour des tiennes et que ta chaleur me brûle jusqu'à l'intérieur, et que ton feu me gagne, moi, vulnérable, abandonnée, à tes délicieux excès...

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    Mes caresses viennent de se taire
    Mais elles ont mis le feu en toi... En moi.
    J'ai envie à en pleurer, de ton intimité.
    Mon doigt, messager de mon désir,
    Commence sa danse, tout timide encore,
    Dans sa peur de te faire mal.
    Pourtant, il est là, juste caressant,
    Hésitant encore, tes petites lèvres.
    Sentant leur chaleur, leur humidité,
    Il s'enhardit et délicatement les ouvre
    Et s'insinue tendrement en elles.
    Ce jour-là, c'est si brûlant qu'il en devient fou,
    Que j'en deviens folle de désir.
    Il descend en toi,
    Guettant la moindre réaction de ton corps,
    La moindre vibration qui puisse le guider
    Dans sa quête de ta jouissance,
    Ce plaisir si délicat à faire exploser en toi.
    Ivre de ton abandon,
    Il cherche en toi patiemment,
    Amoureusement, passionnément,
    La source qui mettra le feu à ton corps... Au mien.
    J'en ai des sursauts nerveux si violents
    Que j'ai peur de chasser ainsi
    Ce que je mets tant de passion à vouloir faire jaillir de toi...
    Pourtant ça devient si fort en toi.
    La fièvre de ton corps s'empare du mien
    Tandis que ces presque imperceptibles vibrations
    Assaillent mon doigt affolé.
    Mon corps se colle contre le tien et
    Tandis que tu serres fort ma main...
    Il se vide contre le tien.
    Comme je t'aime toi... Merci...

     

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    Qu'y a-t-il eu entre nous ?
    Le temps s'est tu sur nos soupirs
    Sur nos feux, sur nos flammes
    Tandis qu'arrive le bout de la nuit
    Tandis que s'en va la lune
    Nos yeux se ferment de tant d'amour
    Nos corps se taisent de tant de braise
    Nos doigts s'endorment sur nos dunes
    Apres la plus belle des danses
    Apres la plus belle des transes
    Sous le souffle ardent de nos désirs
    Offrant à nos bouches enflammées
    Tous les goûts de l'amour
    Offrant à nos corps abandonnés
    Tous les goûts du plaisir...
    Qu'y a-t-il eu entre nous...

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  •  

    Ferme les yeux
    Imagine le son de ma voix
    Le souffle de ma bouche sur ta peau
    Sens la chaleur de mes mains parcourant ton corps
    Elles remontent délicatement le long de ton cou
    Se posent sur tes paupières fermées
    Je caresse doucement ton visage
    Tes sourcils, tes joues, ton nez, tes lèvres
    Mes lèvres effleurent tendrement les tiennes
    Puis déposent un baiser sur ta nuque fièvreuse
    Tes traits se relâchent
    Je perçois un sourire
    Ton corps en frémit
    Je perçois un soupir
    Tu m'apparais légère, apaisée, heureuse
    Je frissonne de bonheur
    Tellement cet instant m'est précieux
    Je te murmure bonne nuit
    Toi tu es déjà loin
    Je pose ma tête contre ton sein
    Et je te rejoins
    Emmène-moi avec toi
    Jusqu'au petit matin...

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    Sur mes lèvres, il n'y a plus la saveur de ton amour
    Sur mon corps, je ne sens plus tes mains, ta douceur
    Sur ma peau, plus de caresses, j'ai froid pour toujours
    Sur mes seins, plus de baisers de ta bouche avide de langueur

    Sans toi, le temps me semble si long
    Tout me semble ennuyeux, sans raison
    Mais c'est juste le souvenir de toi que j'étreins
    Et c'est juste toi que je continue d'aimer en vain

    Sans toi, plus rien désormais n'a de sens
    Tout me semble fade, et de cette absence
    Je ne garde que la douloureuse image de nous
    Ton air si coquin, tes bras autour de mon cou

    Sur ma bouche, il n'y a plus l'étincelle de ton sourire
    Sur mes yeux, je ne sens plus ton regard, ton désir
    Sur mes cheveux, plus ton parfum, je manque de toi
    Sur ma joue une larme, dans mon cœur un je t'aime grand comme ça.....

     

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