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    Tes cheveux blonds sur mes épaules dénudées, la naissance de tes seins au détour du tissu, ton souffle sur ma nuque, sans la moindre retenue, je devine ta beauté, la douceur de tes gestes.

    Sous mes sens en fusion, mon cœur ondoie, virevolte, il danse en cadence sur un rythme câlin. tes mains jouent sur moi, elles pianotent des émois, qui attisent mes chairs et me font succomber.

    Lorsque enfin je me perds dans ton regard envoûtant de fierté, que ta bouche ensorcelle la mienne de tes baisers, j'offre tout mon être, chancelant, se pâmant, à l'ivresse de tes bras qui m'appellent et m'enserrent.

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    "Une fois le désir comblé, une sorte de légèreté vous envahit. Cette légèreté, c'est peut-être ça, l'âme heureuse."

    gif etoiles scintillantes dorees André Major gif etoiles scintillantes dorees

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  • Sa peau est comme une consolation, sa chaleur sait apaiser les souffrances, je la regarde se déshabiller, avec quelques frissons et un timide soupçon de rose sur ses joues.

    Nos deux corps se ressemblent trop, l'expérience nous manque mais nous ne cherchons pas à comprendre et nous glissons très loin, dans les abîmes de la volupté.

    D'abord silencieuses, nos fous rires nous surprennent, nos mystères nous inspirent, nous ne voulons plus nous quitter, nos doigts dessinent sur nos corps d'innombrables délices, blotties l'une contre l'autre, dans l'erreur et le chagrin qui nous effraient et nous subjuguent pourtant.

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    C'est dans cet océan de désirs
    Que se noient pleurs et rires
    C'est entre soupirs et fous rires
    Que se mêlent nos plaisirs

    Des mots doux
    Des mots fous
    Des mots tendres
    Le mot « prendre »
    Un autre rendez-vous
    Entre moi et vous...

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    Elixir ou poison
    Fruit de la passion
    Je ne sais qui je suis
    Je ne sais si je veux
    L'amour ou le jeu

    Belle au doux visage
    Coquine pas très sage
    Je ne sais si je vis
    Je ne sais si je peux
    Jouer avec le feu

    Le vent dans les fleurs
    Le sable sur mon cœur
    Je ne sais si je crie
    Je ne sais si je dois
    Seulement t'aimer toi

    Ange ou démon
    Mensonge, trahison
    Je ne sais si je ris
    Je ne sais si je pleure
    L'amour est un leurre

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  • Il suffirait de rien
    D'un amour libertin
    D'une caresse sur ta joue
    D'une rencontre, un matin
    Du hasard qui rend fou

    Il suffirait tu vois
    D'un avenir, d'un émoi
    Qui a vu naître en nous
    Le soleil en nos cœurs
    La rosée sur nos joues

    Il suffirait en fait
    Que nous perdions la tête
    Que de nos deux solitudes
    Réunies en cette chambre
    Nous brisions l'habitude

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    Elle se montre avec pudeur et douceur.
    Un bout de sein, un coin de fourrure, la nonchalance d'un coton.
    Suspendue à tes lèvres savoureuses, des rêves de chair rose, à l'ombre des poils d'or qui palpitent sous mes mains amoureuses.
    Fleurs troublantes, fleurs mystiques, divines à l'encens mystérieux.
    Pleure le désir, goutte à goutte, douces senteurs féminines.


    Je me dévoile délicate et sensuelle.
    Frêle poitrine, décolleté gourmand, l'indolence du satin frôlant ma peau, le velours de tes mains caressant mon dos.
    Tes lèvres collées avidement aux miennes, songes d'innocence et d'interdit, entre mes cuisses frémissantes sous tes mains fiévreuses.
    Femmes fragiles, femmes émues, déesses secrètes et mutines.
    Dans un sanglot de plaisir, s'évanouissent la peur et le trouble, dans la douceur des regards, se confondent le désir et la passion.


    Texte : DCSL et moi

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    L'aile d'un ange frôle ma peau, comme un voile de douceur et de tendresse, non, c'est un de vos baisers, une douce sensation au creux de mes reins. Le matin nous éveille, prometteur d'une délicieuse journée. Je cherche votre main, je découvre votre corps, sa douceur est plaisir, sa chaleur réconforte mes désirs. Je m'y accroche, vous êtes divin, je m'en approche, vous êtes sublime.

    J'aime me tourner vers vous, quand votre corps me sourit, m'allonger entre vos bras, vous êtes ma source de vie. Vos paumes caressent ma chair avide de vos mains, mes lèvres gourmandes de votre bouche, mes seins désireux de votre morsure.

    En cet instant magique, un seul cœur nous unit, le soleil levant brille comme une étoile qui parcourt notre lit, qui anime de bonheur notre si belle étreinte.

    Encore blottie dans mes rêves, je vous sens vous rapprocher de moi, je sens votre souffle sur ma nuque, je devine la cambrure de votre torse, songe ininterrompu, je vous désire encore, je vous adore, je suis folle de votre corps.

    J'ai rêvé de vous à n'en plus finir, je me languis de vous approfondir, de vous appartenir, de vous découvrir. J'ai faim de nos plaisirs.

    Vous êtes tout ce dont j'ai besoin et, en cette journée qui commence, je ne dirais jamais assez, qu'il est doux de vous aimer.

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    Si fort, j'ai envie de votre corps, un bout de vous, une sieste crapuleuse, douloureux manque, délicieux souvenirs qui réveillent cette chaleur humide et les bouches avides.
    Au jeu du corps à corps dansent les amants, mêlant soupirs à sueur, souffles haletants et cœurs battants.
    Tressaillement et chaleur se mêlent aux chuchotements, flux alizés, reflux enivrés aux alcools évaporés.
    Près de moi, dessus mon cœur, du bout des doigts, venez m'effleurer.


    J'ai tellement envie de votre peau contre la mienne, prenez de moi ce que je vous offre, osez avec moi une folle nuit d'amour, nuit câline, nuit coquine entre mes bras, souvenez-vous de votre émoi, de nos bouches gourmandes, de nos gestes empressés.
    Dans cette valse des amoureux, s'enchevêtrent les corps et les cœurs, les sanglots et les plaisirs.
    Le doux froissement des chairs fait place aux suaves gémissements, passions ardentes, sensualités naissantes de nos désirs refoulés.
    Laissez-moi m'allonger auprès de vous, bercer votre corps de mes caresses, vous enivrer de ma tendresse.


    Texte : DCSL et moi

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    Tu aimerais te balader
    Sur mes courbes parfumées
    Voguer sur ma peau si douce
    Ne jamais finir ta course

    Je te permets de tout embrasser
    Tes lèvres sont comme un brasier
    Je te laisse boire à ma source
    Puiser en moi toutes tes ressources

    Tu veux sonder la moindre parcelle
    Le moindre recoin que mon corps recèle
    Tu as des envies de moins en moins sages
    S'il le fallait tu déchirerais mon corsage

    Car quand tu voles par-delà les hauteurs
    Des collines qui surplombent mon cœur
    Moi je me noie dans la douceur du bleu
    Qui palpite encore au bord de tes yeux

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    Je suis en face de toi. Virtuellement
    J'aimerais être face à toi. Réellement

    À l'autre bout de l'écran. Mes mots sont en face de toi
    Je devine tes mains sur le clavier, n'écrivant rien qu'à moi

    Au début le soir, quand tu venais sur le chat, par hasard, par ennui
    Ma solitude m'a conduite jusqu'à toi, te désirant juste pour une nuit

    Tous les soirs maintenant, quand tu lis mes messages. Un jour, tu m'as répondu.
    Jour après jour, j'ai appris à te connaître, mon bel et doux inconnu

    Une belle histoire... tu t'étais caressée en me lisant... tu avais eu du plaisir...
    Le clair de lune éclairait mon bureau, tout mon corps en émoi avait chaud de te lire

    Très troublée... un peu honteuse qu'un inconnu puisse avoir ce pouvoir sur toi...
    Mes lèvres palpitaient, ma langue te cherchait, j'aurais aimé être auprès de toi

    Mais finalement ravie. Tu avais voulu me remercier. Tu m'avais raconté...
    De la brûlure au creux de mes reins au durcissement de mes seins, comment éviter

    Ta surprise d'abord... puis ta fascination... la chaleur dans ton ventre...
    J'ai douté de mes sentiments, j'ai refusé cet élan, l'enfer s'était immiscé en mon antre

    La sécheresse de ta bouche... ta main qui s'était égarée... tes seins durcis...
    La caresse de mes mains sur moi, les yeux fermés sur des rêves interdits

    Tes lèvres mouillées... ton bouton gonflé... tes doigts en toi...
    Jusqu'où je suis allée, je me suis égarée, une brusque envie de toi

    Puis prisonniers de tes cuisses quand tu avais joui
    D'un corps à corps torride, de remous dans ma vie

    Et j'avais aimé tes mots pudiques, et ton aveu impudique
    Et j'adorais que tu me trouves coquine, délicate et magnifique

    Nous avons décidé de correspondre, doucement d'abord
    Nous avions envie l'un de l'autre, de fondre nos deux corps

    Puis de plus en plus directement
    Je t'écrivais maintenant audacieusement

    Jusqu'à nous allumer, jusqu'à nous donner des directives
    Ces jeux faisaient de nous des amants sans mêler nos salives

    Des jeux à jouer et à nous raconter ensuite
    Nous devenions des pions, des prisonniers en fuite.

     


    Je suis en face de toi. Nous sommes un peu gênés
    Tu es enfin près de moi, je t'avoue que je suis troublée

    Le café est grand, plein de monde. Nous ne savons pas quoi dire
    Nous ne sommes plus seuls au monde, la réalité nous aspire

    Nous avons l'impression que tout le monde nous regarde
    J'ai cette sensation étrange d'être là par mégarde

    Nous ne voyons pourtant personne
    Tu ne vois que moi, je ne vois qu'un seul homme

    On se dévisage. Tu me demandes ce que tu fais là
    Je caresse ton visage de mes yeux puis de mes doigts

    Pourquoi tu as accepté de me rencontrer dès que je te l'ai proposé
    Deux solitudes qui s'oublient, un écran, un café, un hôtel, l'amour est né...


    Texte : Charmithorinx et moi

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    Tes mains recouvrent mon passé
    Et ses douloureuses blessures
    Par les ébats de nos envies enlacées
    Elles savent en gommer les ratures

    Tes mains distillent tant de tendresse
    Parmi mes doutes et mes angoisses
    Qu'elles sont comme une eau qui sans cesse
    Recouvrent mes plaies, les effacent

    Tes mains sont des promesses réelles
    Elles allument des étoiles
    M'emportent très haut dans le ciel
    Vers l'abandon, la candeur des voiles

    Tes mains sont des caresses sur ma peau
    Elles recouvrent et cachent mes cicatrices
    Tes mains sont ce que j'ai de plus beau
    J'aime tant lorsqu'elles s'immiscent...

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